LJ du vicomte romantique du 15.12.2008

1ère partie: poésie
2ème partie:U nouveau mai 1968 est il possible suite aux événements de Grece, la France va t'elle sombrer dans la crise financière.

Invité : Gonzague Saint-Bris

1ère partie : poésie... (ou comment meubler), François Ier

2eme partie : la France peut-elle éviter la faillite (et toi Quinquin?)

Faquen trouve François Ier romantique

Faquen cherche à briller sur les termes "pluisyllabiques"

Horreur! Quinquin fait encore dans la pohaisie, ce soir... Et commence par demander aux Auditeurs de lui rappeler le nom de la Muse afférente à la chose ...
Quelle culture ces Enarques... Quelle érudition, cette PED!

Invités (du moins de la première partie) :
- le Païen de l'Appenzell (on fait dans le bigornot plus frais du Vendredi, resservi à la mayonnaise du Lundi)
- Gonzigue Sans Bras ... Qui, dans le genre : "quand je tiens le crachoir, faut pas qu'on me coupe" risque de donner du fil à retordre à Quinquin, qui (comme on sait) ne manque jamais de couper la parole à ses interlocuteurs, pour placer une endiverie...

On va se marrer, mes F:. F:. !

Premier pataquès de Quinquin : «La muse de la poésie… dont j'ai oublié le nom d'ailleurs…» ça commence très fort.

Ne serait-ce pas Anne, la muse de la poésie, surtout à Versailles ?

Invité : "Internet est l'équivalent de l'imprimerie au XVème siècle."

Apologie du système européen Erasmus par l'invité qui devrait de demander où il est tombé.

François premier et la Renaissance était romantiques. Dans la bouche de Quinquin comme dans celle de Gonzague, ça a l'air laudateur. Qu'en penserait le maurrassien Jean Ferré ?

Goinzigue commence (est-ce langue qui fourche, ou langue fourchue?) par prononcer ostensiblement le patronyme de S.A.V. "Henry de Lesquène"...

Le Gonzigue doit en vouloir à Faquen d'avoir viré Mémé (chez qui il avait son couvert, pour venir vendre sa soupe).

Quinquin, toujours aussi culturé, nous résume le règne de François Ier (sujet de la dernière dérision publiée du Gonzigue) : "Marignan 1515" (sic).

Ces poncifs sur la Renaissance et François Ier qu'on croirait issus du Lagarde et Michard vont-ils continuer longtemps?

Ah oui, Gonzague, il peut tenir presque indéfiniment.

OK

Faquen : "C'est captivant"

Faquen : Traité de Villers-Cotterêts en 1549. Joli

Gonzigue cite : "François Ier ne voulait pas déjeuner idiot, ni mourir inculte. C'est pourquoi il s'entourait de personnages brillants"...

Quinquin appréciera la comparaison facile à faire avec la Cour du Roi Pétaud du 61.

Quinquin d'ailleurs, se pique de défendre la francophonie, - et demande à M-F (dinde de service du jour) qu'on lui rappelle la date de l'EDit de Villers-Cotterêts...

Qu'on ne se demande plus (mais qui se le demande encore?) si le pitre prépare ses émissions...

Qui se dévoue pour appeler et dire que la muse de la pantomime, qui sied tant à la performance radiophonique de Quinquin, c'est Polymnie ?

SAV n'a plus d'invité. elle doit se rabattre sur le Gonzague Débris et le Païen-à-peine-Zeller.

C'est tragique je trouve.

Victor le chacal a écrit:Faquen : "C'est captivant"

Faquen : Traité de Villers-Cotterêts en 1549. Joli

Pour les élèves de MF : la bonne réponse est 1539.

Belle perf du Faquen.

Victor le chacal a écrit:SAV n'a plus d'invité. elle doit se rabattre sur le Gonzague Débris

Mais va-t-il l'appeler en direct M. Bellepaire, de Loches ? c'est peut-être pour ça qu'il l'a invité ?

Bon, allez je reviendrai pour la 2e partie, parce que là, Gonzague, Payen et Quinquin s'entrecitant le doigt en l'air des vers renaissance, c'est trop affreux.

Faquen : "On n'imagine pas Nicolas Sarkozy en train d'écrire un poème".

Contre-attaque du Débris : Carla Bruni-Sarkozy a pour livre de chevet Joachim du Bellay. "Bravo!" lance Quinquin

Quinquin commet un impair pipeule : "Sarkozy ne serait pas capable d'écrire un poème".
Le Païen abonde.


Le Gonzigue (qui est très Sarkophile) assure que Carla lit Malherbe et Du Bellay.

Quinquin est fort embêté. Il a l'air à la fois crétin et plouc de banlieue qui n'est pas reçu à l'Elysée...

Victor le chacal a écrit:

Faquen : Traité de Villers-Cotterêts en 1549. Joli

C'est normal, cet acte est selon les propres mots du vicomte "capital pour RC."

Oh pauvre Hdl qui confond un traité avec une ordonnance. Confondre les catégories d'actes juridiques n'a pas du l'aider dans la gestion de la succession .

Faquen : François Ier parlait un langage poétique.

Quinquin essaie une nouvelle plaisanterie sur la taille de Sarkozy... Qui tombe à plat... Gonzigue (qui veut entrer à la Cacadémie Française) tient à ménager le pouvoir...

Cet échange va mal finir.

Uncle Toby a écrit:Bon, allez je reviendrai pour la 2e partie, parce que là, Gonzague, Payen et Quinquin s'entrecitant le doigt en l'air des vers renaissance, c'est trop affreux.

A tout'

C'est la technique chronique du Faquen pour combler. Faire faire des lectures de poésie par ses valets à l'antenne pour :

- meubler
- éviter de dire trop d'inepties.

Le niveau monte :

Faquen : "A l'époque les Français étaient plus petits à tel point que Nicols Sarkozy serait presque normal".

Courtois et intelligent. On a les arguments qu'on peut.

Gonzague s'emporte : Bayard pouvait combattre 28H de suite.

Débris : "On aurait pu gagner la bataille de Pavie"

Faquen : "si la cuisine anglaise était ce qu'elle est aujourd'hui..."

Là Zézen et les grabataires en maison de retraite arrivent à suivre.

On sent que cette émission a été bien "préparée"...