"La victoire du bon droit" selon SdB

Qlq'un a-t-il l'article du LJFC que nous puissions rigoler des arguments juridiques pour justifier cette clownerie ?

Ca vient, ca vient, mon cher . Nous avons l'article. Dans notre programmation il n'était prévu que dans 1 semaine. Pour vous, nous le posterons dès demain.

Maintenant, nous ne sommes plus une Officine, nous sommes des "gangsters"

Bav.

Merci Victor, j'ai bien hâte de lire la propose juridique de SdB ! Je trouvais triste que la presse de la droite nationale garde le silence sur ce coup tordu, mais il y a une exception le LJFC qui lui ne donne pas d'infos il contente de désinformer ses 2000 lecteurs

Blondin a écrit:mais il y a une exception le LJFC qui lui ne donne pas d'infos il contente de désinformer ses 2000 lecteurs

Je pense qu'il y a au moins un 0 de trop dans les chiffres que vous avancez.
Sinon Patrick ne serait pas obligé d'y aller de ses 20 mn de promotion tous les 15 jours.

Bav.

Victor le chacal a écrit:(...) nous sommes des "gangsters"

Sournoisix, tu connais la règle. Pour quitter l'organisation, il faut se faire couper le petit doigt.
Rv cette semaine à Paris.

Son petit doigt, il peut déjà l'offrir à l'Oyabun et lui rendre la coupe à saké.

L'article comme convenu. Il semblerait que nous ne soyons pas si nombreux que cela à être abonné.



C'est cela que tu appelles un article de qualité, Sournoisix? Tu es hypercrédible en prétendant que tu n'aides pas HdL et ses valets. Pauvre type.

Je répondrai à Serge dans un deuxième temps. Il n'y a pas un seul mot de vrai dans cet "article". Mais je le comprends : il joue gros.

Oh Serge ! Vous auriez au moins pu dénombrer les membres de l'Assemblée générale (sic), ça c'était de l'info. Et le passage sur Paucard vous grandit d'autant moins qu'il doit bien y avoir quelques abonnés au LJFC qui ont entendu son départ et ses explications sans fard et très claires : il partait parce que Lesquen ne l'appréciait pas et ne lui faisait pas confiance, ayant refusé plusieurs fois une émisison qui paraissait novatrice et au moins digne d'essai. Que vont-ils en penser ?

Puis cette histoire d'équilibre comptable retrouvé quand Quinquin vient encore de mendigoter hier soir en déclarant qu'il restait deux cent mille euros de dettes... est-ce bien sérieux (et scientifique) ?

Ah là là, Serge, qu'est-ce que vous devez vous emmerder sur cette barricade d'en face pour en arriver à ce genre d'articles… qui n'est d'ailleurs compréhensible qu'aux gens déjà au moins partiellement informés. Allez, Serge, lâchez l'autre Quin : vous savez bien que tôt ou tard Lesquen virera Sarkozyste dans un réflexe gammellier de fonctionnaire et que vous en ferez les frais, car il faudra bien qu'il sacrifie quelqu'un.

Ça permet de juger ce que vaut l'aune des autres informations du Libre Journal.
Rien de tel, pour connaître le rapport à la vérité de quelqu'un, que de prendre connaissance de ce qu'il dit sur un sujet qu'on connaît soi-même assez bien.
Encore que… ça ne soit nécessaire qu'aux personnes atteintes d'Alzheimer. Remarquez comment l'article sur "Ebola" parle de la grippe aviaire : qui est-ce qui nous annonçait naguère la foudroyante épidémie du siècle ?

vous savez bien que tôt ou tard Lesquen virera sarkozyste dans un réflexe gammellier de fonctionnaire

Oui, quand le Chirak aura été arrêté, il faudra bien qu'il aille à Canossa.

Il faut en remercier ses cotisants qui ont redoublé de générosité

Haha bonne blague, combien d'euros svp ?
Le LJFC a une crédibilité nulle avec ce genre d'article

Il ne parle pas des "cotisants" d'outre-tombe, comme il y a, par faux témoins interposés, un "successeur" de même origine.

La Victoire du bon droit ...un anonymat de lopettes

Depuis les travaux des érudits allemands, au XIXème siècle, c'est chose fort bien connue que l'anonymat des lopettes. La lopette vit dans l'anonymat comme le polygraphe dans le pseudonyme, avec toutefois cette nuance de lâcheté propre à décourager la fréquentation des honnêtes gens. On entrevoit même à travers la vertigineuse absence de nom qui la caractérise un gouffre béant ouvrant directement sur un monde indicible qu'il vaut mieux, de peur d'attirer certains esprits malcommodes, se contenter d'appeler le monde de Là-bas.

"Car l'Eternel Dieu avait formé de la terre toutes les bêtes des champs, et tous les oiseaux des cieux; puis il les avait fait venir vers Adam, afin qu'il vit comment il les nommerait, et afin que le nom qu'Adam donnerait à tout animal fût son nom."

Mais rassurez-vous, de nos jours, la lopette ne s'aventure guère hors de sa tanière, si ce n'est de temps à autre pour calomnier, et dans ce cas, elle s'arrange toujours (c'est prouvé) pour choisir la victime le plus innocente du monde. Donc, en principe, nous n'avons rien à craindre.

Il existe évidemment des exceptions. Voila un brave homme décidé à faire le bonheur de ses semblables. Bien né, la tête bien pleine, il a juré à genoux dans l'humidité du caveau familial, sans ménagement pour son pantalon en tergal, de redonner le lustre passé à la noblesse de Province. Ce n'est pas le but de sa vie qui pose problème (faire le bonheur des manants à travers le sien propre, comment en imaginer un de plus noble), mais le moyen ? Et chaque jour, tout en amassant un savoir admirable, il songe à son affaire:
"Comment m'y prendre, par Saint-Corentin et Meynard Keynes ? Par une vigoureuse administration des deniers publics ? eheheh ! elle est bien bonne, j'en ricane tout seul. Ne dit-on pas, d'ailleurs, que tout ce qui est exagéré est excessif ? Par la méthode horlogère paranoïaque-critique ? Oui, certes... mais au fond de moi, je sens tout de même qu'il doit exister une autre solution, plus en rapport avec mes dons hors du commun..."

Et un beau jour, à force de se creuser les méninges, il finit par trouver mieux, beaucoup mieux : la radio du cancéreux, tout simplement !

Bien sûr, une bonne idée comme celle-là, la lopette de base ne peut la lui pardonner! Le moindre de ses mouvements est épié, critiqué. Voulant exercer son autorité naturelle, notre homme renvoie, comme de juste, les meilleurs amis et collaborateurs de feu son prédécesseur, et sous prétexte que les personnes exclues étaient à la fois légitimes, compétentes, aimées des auditeurs et plébiscitées par les cotisants, la lopette jaillit hors de sa fange, toute griffes et crocs, prête à en découdre. C'est dans sa nature et je ne comprends pas la nécessité qui pousse certains journalistes à s'en offusquer. Comme la hyène des plaines africaines profite de la nuit pour manger les animaux malades, la lopette, sous couvert d'anonymat, répand la calomnie. Quoi de plus naturel ?


Au fait, c'est quoi au juste, une lopette ?

Ami Bibi, j'oserais, quant à moi, cette analyse, et cette définition.

Comme tout ce qui n'est pas Quinquin est, aux yeux de celui-ci, vil manant et populace corvéable autant que cotisante, tout ce qui n'est pas gros Pilou-Pilou des Vaudous de la Pleine Lune est, selon la "Weltanschauung" de ce dernier : "Lopette"...

On peut donc, par défaut, définir la Lopette :

- comme n'ayant jamais trahi son propre camp, ni conchié ses meilleurs amis par hypertrophie nazional-délirante de l'Ego,

- comme n'ayant jamais pris plaisir à diviser le Parti politique qui lui sert la soupe, ni les coteries qui soutiennent ses entreprises et chez qui on lui met le couvert,

- comme n'ayant jamais affabulé ni trompé en vendant de la camelote de charlatan pour de l'Elixir du docteur Miracle,

- comme n'ayant jamais fricoté avec les sectes les moins recommandables, ni n'ayant reçu subsides et soutien d'icelles,

- comme n'ayant jamais mis en scène son arrestation et sa garde-à-vue bidons (nous y reviendrons un de ces jours en détail, car c'est juteux ), les entourant d'un grand renfort de larmoyante publicité, destinée à se donner de l'importance et à faire pleurer dans les chaumières d'abonnés bernés,

- comme n'ayant jamais servi de Messes noires ou brunes, dans l'espoir de s'accorder le soutien des Puissances des Ténèbres dans ses entreprises foireuses et ses putschs qui ont fait "pschuttt",

- comme n'ayant jamais (dans le même registre) enfoncé des aiguilles dans des poupées de cire à l'effigie de son bienfaiteur Jean Ferré (R.I.P.) en souhaitant que "le vieux c... finisse enfin par crever, et lui laisse la place"(sic),

- comme payant ses collaborateurs et employés-pigistes autrement qu'en coquilles d'huîtres,

- comme n'ayant jamais ruiné ni coulé deux ou trois supports de presse écrite de la "très petite extrême-droite",

- enfin, comme ne continuant pas à désinformer sur tous les fronts et tous les sujets, dans un torchon tirant à 600 papillotes dont on a (fort virilement et couillûment) fourré la raison sociale au nom de sa femme, pour que son papier gras soit insaisissable par Juges et créanciers...

Bref, la Lopette, qui n'est pas tout ce qu'on a dit et énuméré ci-dessus, n'a qu'un tort : celui de s'indigner sous un pseudonyme, sur un Forum Libre, des agissements et tripatouillages immoraux et illégaux que d'autres (avec un courage qui atteint, reconnaissons-le, à une remarquable impudence) ne craignent pas de perpétrer, faisant fi de tout scrupule ou sens moral, à visage découvert!

Quelle saleté, en effet, cette Lopette!

Le plus drôle c'est que cet article, du moins tel qu'imprimé là, ne porte pas de signature.

Merci donc du « scan » de l’article.

Le libre journal doit être lu par moins de 2000 personnes.
Vous comprenez pourquoi des gens que l'on entend le mercredi ne survivent que grâce à Radio Courtoisie.

A commencer pour l’amateur d’OVNI.

Pourquoi tant de haine contre Olivier Pichon et Jean-Gilles Malliarakis ?
Parce que le premier à dit « Zut » au FN, et que le second reste indépendant ?

De toute façon, l'article reste au niveau du journal : pas terrible.

Un ancien abonné.

Que vaut-il mieux:
- une lopette sous pseudo
ou
- un article de presse anonyme?

De plus, n'existe-t-il pas de journaliste sous pseudo?
Dans l'affirmative, est-il pour autant une lopette?

Et l'anonyme, qu'est-il?

Le doute m'habite...

Une carpette à son Quinquin ?

Un caniche pire que son Hamiche ?

Un giton à son Simon ?

Ou un journaliste toujours libre et toujours courtois ???

Un Hamiche sous pseudo amiche?
Merci les aminches!

Comme l'homme de la pampa,
le journaliste reste toujours courtois.

"les défenseurs de la résistance palestinienne"

Le Libre Journal de la France Courtoise
- n° 382 du 30 juin 2006

La "résistance palestinienne", ce sont des gens qui se cachent derrière les femmes et les enfants de leur propre peuple pour assassiner les femmes et les enfants d'un autre peuple, dans le but ultime d'exterminer celui-ci ; qui n'ont jamais songé qu'à infliger davantage de morts et de souffrances aux premiers comme aux seconds pour les avantages de propagande que cela leur apporte auprès de ceux qui refusent de raisonner en matière morale.
Le Libre Journal ne traite donc pas de la même manière tous les gens qui n'agissent pas à visage découvert, et cela expose la position à partir de laquelle il prétend donner des leçons d'honneur.

Quelqu'un a-t-il l'article du LJFC que nous puissions rigoler des arguments juridiques pour justifier cette clownerie ?

Le seul argument juridique qu'on y trouve c'est que Jean Ferré n'était pas propriétaire de Radio Courtoisie : ce n'est qu'une variante de la (toujours pseudo-)"légalité" dont l'Usurpateur se réclame depuis le début, et qui passe soigneusement à côté des deux faits essentiels:

-- que dans cette fiction juridique qu'était le CDARS Jean Ferré n'avait aucun titre et aucune fonction, pas plus que les patrons d'émission qui n'y ont toujours "aucun droit", ni les "cotisants", privés du droit de vote, alors qu'en revanche ceux que son article désigne implicitement comme étant à "bon droit" les véritables propriétaires de la radio n'y ont en rien contribué ;

-- que ce que prouve la désignation par Jean Ferré du fondateur de Lumière 101 comme son exécuteur testamentaire : à savoir qu'il n'a jamais choisi Lesquen comme son sucesseur.

On notera que c'est la première fois qu'il met en cause Jean-Gilles Malliarakis, bien entendu sans fournir d'explication.

Rantanplan a écrit:

"les défenseurs de la résistance palestinienne"

Le Libre Journal de la France Courtoise
- n° 382 du 30 juin 2006

La "résistance palestinienne", ce sont des gens qui se cachent derrière les femmes et les enfants de leur propre peuple pour assassiner les femmes et les enfants d'un autre peuple, dans le but ultime d'exterminer celui-ci ; qui n'ont jamais songé qu'à infliger davantage de morts et de souffrances aux premiers comme aux seconds pour les avantages de propagande que cela leur apporte auprès de ceux qui refusent de raisonner en matière morale.
Le Libre Journal ne traite donc pas de la même manière tous les gens qui n'agissent pas à visage découvert, et cela expose la position à partir de laquelle il prétend donner des leçons d'honneur.

Et que dire (dans le genre larvatus prodeo), de l'Antisémitisme viscéral, irrationnel, psychomaniaque (que la très-petite-extrême-droite du tonneau des délires de la grosse tonne barbue du Mercredi partage d'ailleurs, en loucedé, avec l'extrême gauche tendance "rouge-brun-vert" à la Gofman), qui, - comme c'est le cas ici -, se déguise de "philanthropie" pro-palestinienne, d'indulgence panarabe... et qui est appelée, un de ces jours à venir (n'en doutons pas), à se changer en objective complaisance pro-islamiste?!

Le gros Serge croit-il qu'on ne le voit pas venir, avec sa si élégante et délicate façon de dénier, entre les lignes, l'existence des camps, pour se lancer dans le patriotisme "territorial" anti-israëlien, et de cracher sur la mémoire des gazés du nazisme, pour porter au pinacle les terroristes à kéfieh de la bande de Gaza?

Toujours le même "montage intellectuel" nauséabond, qui ne trompe plus personne (excepté les dingues ou les analphabètes du Goulag Courtois, les abonnés du torchon décadaire de la Place Franz Liszt, ou les sectateurs décervelés et ébahis du Dr Rosenberg de l'ANF qui est en train de nazifier le 95.6).