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Pour votre information

Le Libre Journal de la France Courtoise - n° 401 du 2 mars 2007 - p. 22
Mise au point
A propos de "Radio Courtoisie"...
Depuis la mort de Jean Ferré à qui Henry de Lesquen a succédé, une campagne de rumeurs tente d’accréditer l’idée que Radio Courtoisie aurait fait l’objet d’un pronunciamiento en vue de la priver de son identité de radio libre du pays réel et de la francophonie, ouverte à toutes les droites et à tous les talents.
De nombreux auditeurs et lecteurs du Libre Journal me demandent ma version des faits.
Je me suis tu jusqu’ici pour ne pas donner à cette manoeuvre de désinformation un écho qu’elle ne mérite pas.
A présent, je crois le moment venu de résumer les faits dans leur simplicité.
Depuis l’arrivée d’Henry de Lesquen :
- Claude Reichman, responsable d’émission, a été exclu de l’antenne pour avoir mis en cause au micro la gestion de Radio Courtoisie. C’est-à-dire la gestion de Jean Ferré puisque Lesquen était alors trop nouveau dans ses fonctions pour porter la moindre responsabilité dans d’éventuelles malversations (sans aucune réalité au demeurant). Reichman qui avait saisi le juge des référés d’une demande d’annulation de son éviction a vu sa requête rejetée. Je ne m’en étonne pas. Journaliste depuis quarante ans, je ne connais pas de média qui supporterait sans réagir d’être attaqué dans ses propres colonnes ou sur ses ondes par un collaborateur fût-il bénévole.
- Olivier Pichon, responsable d’émission, a été exclu pour avoir, lors du déjeuner traditionnel de Radio Courtoisie, fait distribuer ou laissé distribuer par un de ses employés un tract insultant, faux et diffamatoire, dont il a repris les termes dans son intervention au micro.
- Jean-Luc de Carbuccia a été exclu pour avoir, arguant du fait qu’il était l’exécuteur testamentaire de Jean Ferré, déposé comme marque commerciale l’appellation "Radio Courtoisie" que l’association CDARS utilise depuis vingt ans. C’est un comportement que la jurisprudence qualifie d’une manière constante de "manoeuvre frauduleuse".
- Geneviève Seguin n’a pas été exclue. Elle n’avait simplement plus à assister ou à remplacer Carbuccia puisque ce dernier n’était plus à l’antenne.
- Jean-Gilles Malliarakis n’a pas été exclu. Il a quitté la radio de son propre chef pour marquer sa solidarité avec les sortants.
Je comprends la surprise des adhérents de n’avoir pas reçu d’explications détaillées sur ces changements, mais gloser à l’antenne sur ces incidents leur aurait donné une importance qu’ils n’ont pas.
Cinq départs sur soixante responsables d’émission ne prouvent ni que la ligne éditoriale a été modifiée, ni que Radio Courtoisie est en proie à une crise interne.
Il n’y a pas de crise. Il y a simplement des gens qui ont fait une crise en apprenant que le lundi 24 juillet 2006 Jean Ferré avait confié à Henry de Lesquen une succession qu’ils croyaient leur revenir. Décision approuvée et entérinée par les membres du Conseil d’administration (Philippe Varlet, Didier Roy, Jacques Besançon, Me Patrick Simon et le président Langlois).
Les déçus ont donc protesté que l’identité de Radio Courtoisie était menacée et que seul un syndicat de responsables pourrait la sauver des arrière-pensées dictatoriales d’Henry de Lesquen.
C’est inepte.
Quant à la ligne éditoriale de la radio, à ce jour, elle est préservée. L’essentiel est là et je m’en porte garant.
Quant à la prétention d’imposer je ne sais quelle "démocratie interne" c’est un rêve bleu. Radio Courtoisie, navire fragile qui affronte des flots hostiles ne peut pas être le lieu de débats interminables sur les choix que commande l’urgence.
Quant à l’argument selon lequel Lesquen s’autorise ce que Jean Ferré se serait toujours interdit, il ne résiste pas à l’examen des faits.
La vérité, j’en porte témoignage, est que, pendant vingt ans, Jean Ferré a, de sa seule autorité, retiré le micro à quiconque lui paraissait mettre en danger la radio.
Il a mis ainsi un terme à la collaboration d’au moins six responsables d’émission.
Le premier, pour de supposées relations avec une secte, un autre pour avoir fait à l’antenne l’éloge de Maurice Bardèche, un troisième pour avoir reçu un responsable d’émission évincé, une quatrième qui animait une soirée musicale dont Jean avait décidé de changer le responsable, enfin deux autres pour des motifs que j’ignore.
En ce qui concerne les bénévoles et les techniciens, j’estime à une vingtaine le nombre des personnes dévouées que Jean Ferré avait congédiées (c’est le mot) parce qu’elles avaient eu l’heur de lui déplaire ou simplement de ne plus lui plaire.
Je ne critique pas ces décisions. Pas plus que je n’ai protesté quand Jean Ferré a fait couper voire supprimer certaines de mes propres émissions. Cette liberté de recevoir ou de récuser qui il voulait était une prérogative normale du seul maître à bord de la radio.
Pourquoi, à l’inverse des évincés d’hier qui se sont inclinés dignement, ceux d’aujourd’hui font-ils un tel charivari ?
Parce que cette agitation participe d’une stratégie qui, j’en suis témoin pour avoir été sollicité de m’y joindre, était déjà en oeuvre du vivant de Jean que certains avaient décrété "gâteux".
Cette stratégie a pris toute sa dimension subversive le jour où Lesquen (que ceux qui le contestent aujourd’hui avaient prié de se charger d’un audit sur la radio) a été choisi par Jean Ferré qui avait pu apprécier sa compétence.
Aujourd’hui, les sortants annoncent leur intention de créer leur propre radio.
C’est leur droit et je leur souhaite d’y parvenir. Ils auraient simplement dû commencer par là au lieu de dilapider leur énergie et leurs talents en vaines manoeuvres où seuls ont à gagner ceux qui veulent voir disparaître l’unique radio de droite existant en France.
Serge de Beketch

Quelle déchéance, de reprendre à ce point les mensonges de l'usurpateur.
On fait des paris sur la date de son éviction ?

On la connaît, la version Beketch!

Qu'il la publie, ou l'envoie à ses quelques correspondants privés, elle est toujours le résultat du même coupé-collé, à peine "personnalisé", selon le destinataire.
On pourrait la réciter d'avance, et la résumer sous un titre parent des restés tristement fameux communiqués russes de 1831 : "L'Ordre règne à Courtoisie".

Avec tout ce qu'on peut (et doit) sous-entendre, bien sûr, sous la péremptoire autorité d'une telle déclaration de mauvaise foi!

Divertissant, sinon étonnant, tout de même, de voir notre national Facho Pansu finir sa carrière de brillant polémiste et de rebelle en chambre, en donnant dans la circulaire d'hagiographie stalinienne, et dans le communiqué de désinformation KGBiste...

On le crut Dénikine, il n'était que Brejnev...

Ou pis encore : il restera un Jdanov de fanzine, après s'être amusé à goûter au vichinskysme de radio périphérique.

Même pas la peine d'éplucher, ou de relever, une fois de plus, ce qui sonne faux dans cette bafouille aux ordres.

Ce fut, ici, fait cent fois...

A force de répéter mécaniquement, comme un mainate qui tournerait à l'hypocondrie monomane sans plus tourner très rond de la tête, les mêmes inexactitudes, mensonges et omissions volontaires, le gros Serge espère peut-être finir par s'en persuader, et arriver lui-même à y croire ?

Si ça peut le rassurer sur l'avenir proche de son cas en suspens, et du sort "délicat" qui risque de lui être réservé, laissons-le à sa manie de radotage!... et passons à autre chose.

SdB = Pinocchio
hdlisme = méthode Coué

Serge de Beketch
Je comprends la surprise des adhérents de n’avoir pas reçu d’explications détaillées sur ces changements, mais gloser à l’antenne sur ces incidents leur aurait donné une importance qu’ils n’ont pas.

En effet, il ne faut surtout pas affoler les auditeurs du 4ème âge qui n'ont pas Internet pour s'informer, et qui donc ne savent rien de ce qui se passe à RC.

Méfiez vous du 4e âge, il y en a plus que vous pensez qui ont Internet.

Je crois quand même qu'il faut se donner la peine de répondre point par point à ce compendium des mensonges HdListes : parce qu'il risque de circuler et qu'il faut lui opposer une réfutation (et moi j'ai un travail à terminer).

Ach ! Sehr geehrter Herr Rantanplan
et vous Très chers tous,

patients qui attendez dans la salle commune de ce forum en lisant Valeurs actuelles ou Der Spiegel

C'est vrai, Rantanplan, il faudra répondre point par point à ce "compendium de mensonges" parce que nous avons affaire à Bosch -- du travail de "pro", -- professionnel de la demie vérité.

Donc disséquons ce compendium. On le fera ensemble si vous voulez bien.

Mais la question centrale est aussi le pourquoi d'ensemble de ces mensonges. Pourquoi cet assemblage fallacieux.

Warum ?

Nous avons affaire à un groß malade. Pas groß malade dans sa ventre comme il cherche à faire croire. Groß malade dans son tête, si vous évidationnez ce que je voulurais dire. Et, comme il fait pas mal de choses de travers, groß malade dans son compte en banque. Pauvre groß malade, il faut le plaindre.

HdL aura toujours besoin d'un bon avocat.

SdB aurait surtout besoin d'un bon médecin, d'un vrai médecin, pas d'un rebouteux mage celtique spécial OVNI, un médecin des esprits embrumés. Clinique des têtes fêlées surtout.

Bien sûr, il pourra encore, de temps en temps, nous faire rire : mais nous n'aurons plus recours à lui pour nous informer zérieusement sur les choses zérieuses.

Il n'est bas grédible votre Graf von Bekechtein.

Voyons mais c'est scientifique.

Très cher Docteur,

Je ne suis pas convaincu du tout que le Sieur de Beketch soit malade.
SdB défend ses intérêts. Il le fait mal et puis c'est tout, d'autant qu'il n'y a pas le début d'un commencement de preuve dans ses allégations dignes de l'Agence TASS.

Tant que sa Seigneurie lui concède une tribune à RC, il a un véhicule publicitaire pour sa feuille de chou. Donc pour l'instant il doit composer avec l'énarque de Bercy qu'il doit profondément exécrer en espérant lui survivre. Mais je pense que Quinquin le remerciera en le congédiant à son tour. Pas très reconnaissant le Quinquin (voyez son comportement avec GS).

SdB aura et le déshonneur et la défaite.

Au plaisir de vous lire.

kr kr kr

Eh bien moi qui ne suis qu'un petit rongeur j'attends avec impatience que les humanoïdes du forum, et même ce sac à pucesde Rantanplan,

hi hi hi

autopsient très vite, un par un, les mensonges du groß malade.

Et quand

Docteur Koch a écrit:groß malade dans son compte en banque.

je me demande s'il ne dit pas exactement la même chose que

Victor le Banni a écrit:SdB défend ses intérêts. Il le fait mal et puis c'est tout, d'autant qu'il n'y a pas le début d'un commencement de preuve dans ses allégations dignes de l'Agence TASS.

TASS : Tribunal des affaires de sécurité sociale
TASS : Tribunal des assassins sournois de souris

hi hi hi

J'ai hâte de connaître la réponse des intervenants à l'Homme du Libre journal de la France courtoise.

Le numéro de cette semaine vaut le détour. Il y a l'article sur Courtoisie, mais aussi un "dossier" qui devrait intéresser sérieusement les professionnels de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme. Oui : vous avez bien lu ! SdB a publié un article accréditant la vieille accusation des "crimes rituels". Rêve ? Cauchemar ? Quels malades peuvent bien prendre au sérieux ce provocateur ? Et avec ça il paraît que les contestataires "mettent en danger la radio".

Aves des soutiens comme lui Radio hdl-FM et son Chef n'ont pas besoin d'ennemis.

Vos procédés sont infects mais ils ne sont pas nouveaux ! Les auditeurs de RC égarés ici apprécieront !

Comme toujours lorsqu'une intervention gêne la version grotesque ou commode que vous avez forgée des événements, vous vous en prenez immédiatement et assez médiocrement à son auteur, plutôt que d'examiner ses arguments plus avant.

Vous utilisez la raillerie et l'insulte pour vous protéger de vérités qui déstabilisent vos certitudes et qui sapent les fondements de vos propres affirmations.

Le texte de Serge de BEKETCH est clair, solide et circonstancié. Il avance des éléments factuels incontestables, que les intéressés eux-mêmes (au-delà du cercle de leurs quelques admirateurs fanatiques) n'ont pas osé contester. Les approches dont BEKETCH a été l'objet bien avant le décès de Jean FERRE, sont des faits précis qui retiennent notre attention.

J'ai toujours pensé que la personnalité de LESQUEN n'était qu'un prétexte à cette brigue, qui couvait de longue date. Tout autre que LESQUEN aurait essuyé leurs critiques et se serait trouvé confronté à leur opposition. Tel directeur conciliant, se serait vu reprocher sa faiblesse, tel autre innovateur se serait vu accuser de mettre en péril la radio, tel autre encore se serait vu reprocher son amateurisme, son inexpérience ou que sais-je d'autre. Bref, seul l'avènement de l'un des contestataires aurait pu satisfaire ceux-ci (et encore, en est-on tellement sûr ?).

La menace d'une implosion imminente de la radio ou de son délitement progressif (c'est selon !) que quelques activistes ne cessent de faire planer depuis des mois ne repose sur rien. Aucun argument sérieux n'a été apporté par ces généreux déclamateurs de lieux communs. Leurs "arguments" ne valent pas plus qu'un pet de lapin ! Les auditeurs sont du reste les mieux placés pour constater telle ou telle dérive. L'auditeur que je suis n'a rien remarqué de scandaleux ou de déviationniste dans la ligne éditoriale de Radio Courtoisie depuis la disparition de Jean FERRE. S'il a sincèrement déploré la récente démission de Jean-Gilles MALLIARAKIS (un véritable gâchis pour la radio et ses auditeurs), il s'est réjoui qu'une émission ait été confiée à Paul-Marie COUTEAUX, à Jean SEVILLA et à Catherine ROUVIER. La formule du libre journal de la nuit, confiée à COÛTEAUX est une innovation intelligente, appréciée de ceux qui rentrent trop tard à leur domicile (et qui en partent trop tôt) pour profiter de l'intégralité des libres journaux quotidiens.

La haine bouillonnante qui déborde de ce forum est le mercure du thermomètre de votre échec. La brigue que soutiennent la plupart des membres de ce forum a déjà fait pschitt, comme dirait l'autre ! Nos révolutionnaires en herbe n'ont pas eu de chance. Eh oui, LESQUEN n'était pas Louis XVI !

Serge de BEKETCH emporte la conviction parce que son texte est à la fois modéré et intellectuellement honnête. Prenez en de la graine les enfants !


Lesdiguières


P.S : A propos de délitement, il me semble que la fréquentation de ce forum est en baisse. Les enragés arcolesques seraient-ils déjà fatigués de tourner en rond ? Les preuves et arguments exclusifs que vous annonciez à grand fracas ont-ils déçu ? Il est vrai qu'ils ne nous apprenaient pas grand-chose. Qu'on en juge ! La dernière "exclu" en date nous révélait qu'Henry de LESQUEN avait pris acte de la démission d'un patron d'émission démissionnaire ! Ça c'était du scoop !

Lesdiguières a écrit:Comme toujours lorsqu'une intervention gêne la version grotesque ou commode que vous avez forgée des événements, vous vous en prenez immédiatement et assez médiocrement à son auteur, plutôt que d'examiner ses arguments plus avant.

Tu te répètes, pitre. Et tu n'apportes aucun élément contradictoire. Tu es un rat sans élément. Point. Tu n'es pas intéressant. Tu es médiocre.

Lesdiguières a écrit:Vous utilisez la raillerie et l'insulte pour vous protéger de vérités qui déstabilisent vos certitudes et qui sapent les fondements de vos propres affirmations.

Quelles insultes, ? Cet intervenant est trop mauvais. Cela ne peut etre Sa Seigneurie. C'est trop répétitif et affligeant. Même Faquin ne se ridiculiserait pas de la sorte.

Lesdiguières a écrit:Le texte de Serge de BEKETCH est clair, solide et circonstancié.

Ou sont les preuves, le drôle?
Arrête de t'écouter parler, tu es pathétique. Heureusement qu'il y a SdB, sinon que deviendrais-tu? Rien. J'te l'ai déjat dit : tu es un néant.

Lesdiguières a écrit:Il avance des éléments factuels incontestables, que les intéressés eux-mêmes (au-delà du cercle de leurs quelques admirateurs fanatiques) n'ont pas osé contester.

Tu rigoles, le clown. Ce sont des craques. Quels éléments, pitre? Il n'y a pas un debut de commencement de preuve. On te l'as déja dit mais tu n'entraves rien visiblement.

Lesdiguières a écrit:P.S : A propos de délitement, il me semble que la fréquentation de ce forum est en baisse.

Dis donc, le , tu prends tes désirs pour des réalites?
Compare donc avec le mandarom ou comme dans les musées sociaux-démocrates ou il y a plus de surveillants que de visiteurs; on surperforme! (tu me dis si tu n'as pas compris).

Lesdiguières a écrit:Vos procédés sont infects mais ils ne sont pas nouveaux ! Les auditeurs de RC égarés ici apprécieront !

Dis donc le fruit, tu l'as lu l'"article" ou pas? On voit que tu ne te confrontes pas a la realite.

Ce soir, tu es en-dessous de tout.

Ceux qui ont écouté l'émission de ce soir du Beketch apprécieront d'autant plus qu'on célèbre sa "pondération", sa "clarté dialectique" et sa "lucidité"!

Comme aux pires moments où il se prend pour une drôle de Jehanne à Barbe, entendant les voix venues de l'espace, ou répondant à la rubrique "courrier des lecteurs" de la planète UMMO, chère à son grand plaisantin d'ami JP Petit (qui, comme le Serge, cherche toujours "un raccourci qu'il ne trouva jamais"), il nous a convoqué, pêle-mêle (et dans le plus grand désordre mental), une brochette d' "auteurs"- invités de son genre de prédilection (le genre prêt à tout, - surtout à payer, pour faire éditer des élucubrations crypto-déliro-paranoïaques pas du tout critiques, - et pour venir en faire part à l'humanité ravie, au micro d'une radio dont leur haute fantaisie déconsidère depuis trop longtemps la tenue et le sérieux).

On eut droit, trois heures durant, à tous les grands classiques de la galerie nazional-fêlée, et de l'anthologie facho-brindezingue : aux Atlantes et à leurs copains Touraniens, aux Glozéliens et aux Hyperboréens de Thulé, - évidemment représentants de la "supérieure Race Blanche", ancêtres tout à la fois des Celtes, et des Chinois... enfin : les Aryens de l'époque, en quelque sorte, revus et corrigés par les élucubrations de Rosenberg, Otto Rahn, et Lyssenko, pour le coup pacsés tous trois ensemble en une monstrueuse et contre-nature génération d'anti-science...

Puis, on nous servit une bonne louche de complot maçonnique, à un niveau que n'eût pas renié l'excellent Léo Taxil lui-même (lointain précurseur lyrique du Serge, d'ailleurs, tout aussi capable, pour vendre sa soupe, de pondre des brûlots sur les messes-noires autour du Baphomet au fond des Loges, qu'une vie sexuelle illustrée du Christ, ou qu'un manuel d'apprentissage de lévitation transcendante pour Grands Lamas du bas-Berry)...

Là, ce fut d'ailleurs drôle d'entendre le gros Serge jouer l'étonné... lui qui pourtant, se laisse-t-on dire en quelques lieux très forts et très fermés, porta le tablier avant d'arborer la barbe, - alors que son partenaire duettiste, le "marquis" (de l'élémentaire particule), quant à lui, pour s'être laissé poussé le poil en collier, n'en continue pas moins de pratiquer, au moins une fois par mois à la nouvelle lune, le grand Vaudou des Fils de la Lumière, paré d'ornements qui n'ont rien à voir avec la dernière collection printemps/été de chez Dior ou Balenciaga...

Bref, il ne manquait à l'appel que les Géants d'avant le déluge, la grippe aviaire déchaînée sur Paris comme une huitième plaie d'Egypte, les dinosaures toujours parmi nous, les Mammouths contemporains de Louis XIV, la théorie de la Terre Creuse chère aux grands dignitaires nazis délirants de la Loge Thulé, ou l'existence prouvée, dans le désert Mongol, du fameux "trou" par lequel les Juifs sont sortis (chacun connaît l'histoire) des entrailles du globe, pour envahir le monde et faire cauchemarder, des nuits et des nuits durant, le "regretté Chancelier", cher à son grand zélateur du Mercredi...

Alors, après tant d'élucubrations (que nous aurions tort plus longtemps de penser que leur propagateur les prend à la déconnade, puisqu'il s'y complaît avec trop de plaisir, pour que ce soit pour des motifs platement, uniquement et vulgairement "alimentaires"), le coup de l'article sur les "crimes rituels", dans son papier gras décadaire, ça n'a rien d'étonnant, et c'est dans la ligne de ce que, tout au fond nauséabond de lui-même, le Monsieur prend finalement très au sérieux, dans ses plus sombres et haineuses obsessions, et dans ses plus noirs fantasmes...

Bref, pour résumer la Foi (c'est à dire, la grande, inquiétante et quasi psychotique crédulité) du gros Serge : les cons, ça gnose tout, et c'est même à ça qu'on les reconnaît...

Bravi, mon cher!

Ce post est une oeuvre d'art!

Au plaisir de vous relire.

Je dois dire que l'azimuthé de la première heure avec sa théorie sur les cycles de l'histoire (d'une nullité rare en plus) mettant en parrallèle Pompidou et les Sumériens puis Chirac et Ramsès II méritait 20 / 20.

Depuis longtemps (et au fréquent désespoir du regretté J. Ferré) le gros pépère pas tranquille SdB ressemble à une tache de doigt gras dans la marge de R.C.

Il se dit (vaniteusement) lui-même "incontrôlable"...
Il est plutôt, du côté des "maladies de la tête" chères à E. Kant, du genre à s'être farci le ciboulot de références scientifico-ethno-crypto-philsophico-théosophico-politico-noix de coco aussi dangereuses qu'incontrôlées...

On se demande (sauf à se ridiculiser, ou à s'en foutre et en rigoler sous cape) ce qu'un type comme Gollnish (à qui on peut reprocher bien des choses, mais pas d'être un universitaire sérieux et rigoureux, doublé d'un homme cultivé) peut trouver d'opportun à aller se compromettre, certains Mercredis soirs, avec la bande à Beketch : les Lyssen-cocos, ou les zozos-nazis de la Science...

Facho Pansu a bien respecté les ordres de son maître, il s'est abstenu de la moindre remarque ou allusion concernant le départ du grand historien de la pensée politique.
Et nous qui pensions bêtement que cet homme était libre.

Nous sous estimions Riton et sur estimions Pansu.

Le pitbull muselé du Mercredi s'investit beaucoup, en ce moment, de source intra-courtoisienne, pour contrer et désobliger les patrons d'émission encore en poste qu'il juge, par antipathie personnelle, indignes de partager avec lui le gros gâteau...

Il jouerait aussi, le gros cachottier, auprès du niguedouille de Versailles, le rôle de directeur occulte des programmes... et de conseiller ès-purges.

Gageons donc que nous ne sommes pas au bout des démissions, ou exclusions (dont il sera le premier, ensuite, à nous déclarer qu'elles sont d'autant mieux négligeables et sans importance, qu'il en aura été le tordu et occulte inspirateur)...

Ne nous leurrons pas, Vengeur : Beketch croit pour l'instant qu'il ""tient" Quinquin, et se vante d'ailleurs à qui veut l'entendre (car il cause trop haut, dans des lieux où les murs et les voisins de table ont des oreilles), que le pâle Mécompte du Contentieux lui "mange dans la main" (sic)...

Finalement, par HdLisme interposé, il réalise (ou croit en passe de réaliser) ce qu'il a maintes fois, ouvertement tenté, sans succés, contre J. Ferré : devenir, de l'Iznogoud qu'il est, le Bigverybad Chief et Khalife de R.C.

il réalise (ou croit en passe de réaliser) ce qu'il a maintes fois, ouvertement tenté, sans succès, contre J. Ferré

Tiens, c'est vrai, lui qui accuse les victimes de l'épuration d'avoir "comploté" contre Jean Ferré, lui-même n'a pas toujours été aussi soumis qu'il prétend qu'il faudrait l'être.
Le Duc de Saint-Sermon en a déjà parlé, mais on aimerait bien en savoir un peu plus…

Ceux qui ont écouté l'émission de ce soir du Beketch apprécieront d'autant plus qu'on célèbre sa "pondération", sa "clarté dialectique" et sa "lucidité"!

N'oublions pas l'"honnêteté intellectuelle" de quelqu'un qui présente Geneviève Séguin comme une simple "assistante" de Jean-Luc de Carbuccia.

Pas faux, j'ai le souvenir(les plus anciens pourront-ils le confirmer?) d'un coup de gueule lors d'une émission dans laquelle on lui parlait du sondage réalisé par RC auprès des auditeurs dont personne n'avait plus entendu parler. C'était déjà le grand mystère sur l'avis des auditeurs, mais à cette époque SdB avait fait une sortie à l'antenne contre ce fait!

S'il consent à sortir du devoir de réserve que lui imposent sa délicatesse habituelle et son toujours louable excès de scrupules, le très estimé JGM aurait sans doute beaucoup à nous en dire, à ce propos, pour nous rafraîchir la mémoire.

Et si ce n'est lui, d'autres intervenants apparemment fort bien renseignés comme le non moins estimé Ultor, pourront, je gage, se charger de nous éclairer.

Nous ouîmes dire, naguère, d'une bien vilaine conjuration du gros pépère Beketch et de la chaisière des Lettres Brassié, qui visait à faire éclater un putsch F.N. au sein de R.C. et qui laissa J. Ferré (RIP) bien amer, et dénué d'illusions sur l' "honnêteté" morale et intellectuelle des deux comparses : nouveau couple Macbeth, dont Shakespeare n'eût pas voulu des tribulations et complicités d'aventure pour sujet de tragédie, ni même de farce...