La singerie de la commission Rueff-Armand
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Victor le chacal
georges lane
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Forum Libéré de Radio Courtoisie et de Lumière 101 :: L'air du temps :: L'actualité politique et économique
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La singerie de la commission Rueff-Armand
Chers amis du Forum libéré.
Je vous propose, en attendant le départ prochain de notre nouvelle radio numérique, d'écouter une émission à quoi j'ai participé sur bfm le 3 septembre 2007 (et non pas le 4 comme faussement indiqué par le site http://www.radiobfm.com/index.php?id=pagesearch ).
Elle avait pour thème "l'anti commission Rueff-Armand", i.e. officiellement la "commission attali", officieusement la "commission Piqueur de la Mirandole"
Pour l'écouter, vous allez à
Les grands Débats du Lundi - 04/09/2007
10h - 11h : Commission Attali : peux-t-on libérer la croissance?
- Geoffroy Roux de Bezieux, Président de Croissance Plus, membre de la commission Attali
- Georges Lane, professeur à l'université Paris IX-Dauphine
- Franck Dedieu, journaliste au magazine L'Expansion
Et cliquez sur "un signe que je ne peux malheureusement reproduire sur notre forum..."
J'espère que l'émission vous intéressera et, si vous l'avez écoutée, qu'elle aura contribué à démystifier le projet ...
En tout état de cause, une émission de JGM sur notre nouvelle radio enfoncera les clous.
Je vous propose, en attendant le départ prochain de notre nouvelle radio numérique, d'écouter une émission à quoi j'ai participé sur bfm le 3 septembre 2007 (et non pas le 4 comme faussement indiqué par le site http://www.radiobfm.com/index.php?id=pagesearch ).
Elle avait pour thème "l'anti commission Rueff-Armand", i.e. officiellement la "commission attali", officieusement la "commission Piqueur de la Mirandole"
Pour l'écouter, vous allez à
Les grands Débats du Lundi - 04/09/2007
10h - 11h : Commission Attali : peux-t-on libérer la croissance?
- Geoffroy Roux de Bezieux, Président de Croissance Plus, membre de la commission Attali
- Georges Lane, professeur à l'université Paris IX-Dauphine
- Franck Dedieu, journaliste au magazine L'Expansion
Et cliquez sur "un signe que je ne peux malheureusement reproduire sur notre forum..."
J'espère que l'émission vous intéressera et, si vous l'avez écoutée, qu'elle aura contribué à démystifier le projet ...
En tout état de cause, une émission de JGM sur notre nouvelle radio enfoncera les clous.
Dernière édition par le Sam 2 Fév 2008 - 18:16, édité 1 fois
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Belle prestation.
Et au plaisir de vous entendre sur http://www.lumiere101.com
Bav.
Et au plaisir de vous entendre sur http://www.lumiere101.com
Bav.
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Je viens de découvrir sur http://64.233.183.104/search?q=cache:ljfysiWl3BcJ:www.alain-lambert-blog.org/index.php%3F2006/08/26/652-vive-l-italie-monsieur-par-alain-minc+rapport+rueff-armand&hl=fr&ct=clnk&cd=17&gl=fr
le texte suivant.
Je suis atterré.
Ne lisant pas Le Monstre et étant donnée la tournure du billet, je ne sais si le passage cité est de la plume de M. Alain Lambert - fiche de lecture ? - ou de celle de M. Alain Minc.
Je penche pour qu'elle soit de ce dernier, un vrai dernier de la classe qui se veut faire partie de l'élite, plutôt que de l'honnête homme qu'est M. Alain Lambert !
Avant d'écrire n'importe quoi du type
Les remèdes préconisés en France en 1958 par le rapport Rueff-Pinay ont été tous mis en pratique, ce qui a permis au franc de redevenir convertible en or - convertibilité externe -, au "nouveau franc" de remplacer l'"ancien franc", au budget de l'Etat de retrouver l'équilibre, au gouvernement de l'époque de pouvoir commencer à appliquer le traité de Rome signé en mars 1957, bref à la France de retrouver l'ordre financier perdu et d'être a priori en mesure d'affronter la concurrence, première étape de l'ordre social.
A l'opposé, les remèdes préconisés en France en 1960 par le rapport Rueff-Armand - seconde étape pour favoriser l'ordre social -n'ont guère été mis en pratique, ce qui a "permis" en particulier à M. Giscard d'infliger aux Français un "plan de stabilisation des prix" absurde en 1963 et lourd de conséquences néfastes auquel s'est vivement opposé Jacques Rueff.
Ce n'est plus Papa pique et Maman coud, c'est Jacquattali pique et Alainminc coule.
le texte suivant.
Vive l'Italie, Monsieur ! par Alain Minc
Par Alain Lambert, samedi 26 août 2006 à 23:35 :: Fiches de lecture
Article paru dans l'édition du Monde du 26.08.06 :
On a oublié le temps où dans une France altruiste, un journaliste, Charles Floquet, apostrophait le tsar Nicolas II en visite à Paris (1896) par un "Vive la Pologne, Monsieur !" provocateur. Aujourd'hui c'est un "Vive l'Italie" qui brûle les lèvres.
Habitués à regarder au-delà des Alpes avec condescendance et mépris, comment admirerions-nous un président du conseil terne, peu éloquent, effacé, sincèrement modeste ? Comment pourrions-nous admettre que Romano Prodi incarne, avec son allure de petit-bourgeois de province, le courage politique ? Courage de rappeler que la bonne gouvernance commence par la réduction des déficits publics. Courage de se déclarer viscéralement européen au moment où l'Europe a mauvaise presse. Courage de régulariser d'innombrables sans-papiers quitte à braver les quolibets des nationalistes de tous acabits. Courage d'appliquer brutalement aux professions protégées - taxis, avocats, assureurs, pharmaciens... - les remèdes préconisés en France en 1958 par le rapport Rueff-Armand et jamais mis en pratique chez nous. Courage, de la part d'un gouvernement de gauche, de proclamer sa foi dans le libre jeu de la concurrence pour le plus grand bien des consommateurs. Courage enfin, sans prendre la pose d'une grande puissance, d'échapper au lobby des généraux, au syndrome de la guerre à zéro mort et de porter haut au Liban le drapeau de l'Europe que la France, après avoir fait des moulinets diplomatiques a, par pusillanimité ou inconséquence, laissé tomber !
La gauche française peut aller apprendre du côté de Rome le réalisme et le bon sens économiques ; la droite y découvrir les principes d'une politique d'immigration raisonnable ; et notre diplomatie se convaincre que l'absence de prétention et la capacité d'agir donnent au monde une meilleure image d'un pays que le verbe gratuit, la morgue inutile et à l'arrivée la faiblesse de caractère.
Alain Minc est président du conseil de surveillance du "Monde".
Je suis atterré.
Ne lisant pas Le Monstre et étant donnée la tournure du billet, je ne sais si le passage cité est de la plume de M. Alain Lambert - fiche de lecture ? - ou de celle de M. Alain Minc.
Je penche pour qu'elle soit de ce dernier, un vrai dernier de la classe qui se veut faire partie de l'élite, plutôt que de l'honnête homme qu'est M. Alain Lambert !
Avant d'écrire n'importe quoi du type
ou de mal choisir vos nègres, M. Alain Minc, au moins informez-vous.les remèdes préconisés en France en 1958 par le rapport Rueff-Armand et jamais mis en pratique chez nous.
Les remèdes préconisés en France en 1958 par le rapport Rueff-Pinay ont été tous mis en pratique, ce qui a permis au franc de redevenir convertible en or - convertibilité externe -, au "nouveau franc" de remplacer l'"ancien franc", au budget de l'Etat de retrouver l'équilibre, au gouvernement de l'époque de pouvoir commencer à appliquer le traité de Rome signé en mars 1957, bref à la France de retrouver l'ordre financier perdu et d'être a priori en mesure d'affronter la concurrence, première étape de l'ordre social.
A l'opposé, les remèdes préconisés en France en 1960 par le rapport Rueff-Armand - seconde étape pour favoriser l'ordre social -n'ont guère été mis en pratique, ce qui a "permis" en particulier à M. Giscard d'infliger aux Français un "plan de stabilisation des prix" absurde en 1963 et lourd de conséquences néfastes auquel s'est vivement opposé Jacques Rueff.
Ce n'est plus Papa pique et Maman coud, c'est Jacquattali pique et Alainminc coule.
Dernière édition par le Ven 7 Sep 2007 - 12:51, édité 1 fois
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Alain Minc - ce ne peut être que lui - apporte une fois de plus la preuve d'une inculture presque sans limites...
fortune de mer- Intervenant
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Date d'inscription : 10/07/2007
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Merci à G.Lane pour l'émission, c'est toujours un plaisir de l'écouter !
Blondin- Régulier
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Date d'inscription : 24/01/2007
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Piqueur de la Mirandole a commis, début septembre 2007, un article dans L'Express où il explique qu'en définitive les économistes ne servent à rien !
Cette position a amené Jacques Garello, président de l'aleps, à se demander sur le site libres.org, le 19 septembre 2007, "A quoi sert Jacques Attali" dans les termes que je reproduis ci-dessous :
Soit dit en passant, et je reprends là un message précédent, Jacques Rueff savait lui à quoi servaient les économistes, par exemple quand il écrivait à propos des taxis, profession fermée par les réglementations socialo-communistes :
Et cela, Piqueur de la Mirandole, est vrai et le restera tant que la réglementation perdurera. Tandis que les étatisations que vous avez conseillées et à quoi vous avez contribué en 1981-82 ont vécu ce que vivent les roses..., leur parfum en moins, leurs coûts en inflation, dévaluation, chômage et augmentation des impôts et taxes soufferts par les Français en plus !
Cette position a amené Jacques Garello, président de l'aleps, à se demander sur le site libres.org, le 19 septembre 2007, "A quoi sert Jacques Attali" dans les termes que je reproduis ci-dessous :
La question peut surprendre, puisque tout le monde sait que Jacques ATTALI va faire redémarrer la croissance, grâce aux analyses et aux propositions qu’il remettra au Président de la République. Mais cette question prend un nouveau relief après l’article que le brillant intellectuel a commis dans les colonnes de l’Express : Or il vient une nouvelle fois d’étaler son ignorance encyclopédique dans un article de l’Express intitulé « A quoi sert un économiste ? ». Observons d’ailleurs qu’il est particulièrement qualifié pour parler des économistes et de la science économique, lui qui s’est rendu célèbre par son plaidoyer « anti-économie », soutenant que l’économie n’est pas objet de science, mais affaire de choix politique. Ainsi après la science économique voici que Jacques ATTALI vient d’épingler les économistes.
1° Les économistes ne servent à rien parce qu’ils sont mal utilisés « Les seuls enseignants rarement appelés à diriger des administrations sont ceux dont la discipline aurait dû justifier qu’on les attende au premier rang : les professeurs d’économie ».
Première erreur : le rôle d’un économiste n’est pas de diriger une administration ! Il confond économiste et énarque.
2° Les économistes constituent une secte. « De fait, leur réputation est sulfureuse et chacun les considère au mieux comme des experts aussi doués que les météorologues et au pis comme des rebouteux. Et, comme le disait très justement l’un des meilleurs prêtres de cette « Eglise », qui défroqua pour s’intéresser à l’art, Kenneth BOULDING, « un économiste est un expert qui saura parfaitement vous expliquer demain pourquoi ce qu’il a prévu hier ne s’est pas passé aujourd’hui ».
* Deuxième erreur, ce n’est pas une « église », il confond avec le socialisme, qui ressemble souvent à une secte.
* Troisième erreur : la prévision n’est pas la tâche majeure d’un économiste, mais un bon économiste peut réellement faire des prévisions à long terme, puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets ( exemple : le SMIC crée du chômage)
3° Les économistes au pouvoir font des catastrophes. Suivent quelques méchancetés sur BARRE : « Raymond BARRE semble une exception : un économiste monté au plus haut niveau de la vie publique. En réalité il n’était pas un économiste, mais un professeur ; et peu importe ce qu’il enseignait ; il était surtout un formidable vulgarisateur (je fus très heureux d’être son élève) des idées des autres, aussi complexes fussent-elles, sans jamais avoir été capable d’exprimer la moindre idée personnelle, ni même l’avoir souhaité ». « Depuis son passage au gouvernement, qui laissa le pays dans une situation pire que celle ou il le trouva, presque personne n’a éprouvé le besoin de renouveler l’expérience… ».
* Quatrième erreur : BARRE, même si nous n’étions pas toujours d’accord avec lui, était un économiste et valait mieux que ce qu’en dit ATTALI.
* Cinquième erreur : être professeur, c’est aussi être économiste, donc chercheur et scientifique.
* Sixième erreur : a-t-il entendu parler de Ludwig Ehrard, ou de Balcerowicz, ou de Klaus ou de Laffer, auteurs de « miracles » allemand, polonais, tchèque ou américain?
4° Les discours des économistes sont éphémères Le prix Nobel d’économie est « cette récompense magnifique qui distingue chaque année des travaux sans doute considérés dans cinquante ans comme aussi ridicules que le sont aujourd’hui les œuvres des écrivains récompensés de ce même prix il y a un demi-siècle ».
* Septième erreur :le Nobel d’économie n’existait pas il y a 50 ans, il a été créé en 1969.
* Huitième erreur : non, les prix Nobel comme HAYEK, FRIEDMAN, BECKER ou bien d’autres ne sont pas les auteurs de travaux oubliés et ce que disait BASTIAT il y a 160 ans n’est pas ridicule au prétexte que cela aurait 160 ans !
5° Pourtant les économistes savent se vendre :« Parce que cette science n’excelle que dans l’art de se vendre » comme le disait l’un de ses plus lucides maîtres, John Kenneth GALBRAITH : « Un économiste, c’est quelqu’un qui ne sait pas de quoi il parle et qui vous fait sentir que c’est de votre faute ».
* Neuvième erreur : GALBRAITH n’était pas un véritable économiste et surement pas un des plus lucides ; il s’est tout le temps trompé.
* Enfin, dixième erreur, cette définition : ne pas savoir ce dont on parle et vous faire sentir que c’est de votre faute, ce n’est pas celle des économistes, c’est la définition de ce que fait Jacques ATTALI…
Tout cela promet pour le prochain rapport ATTALI sur la croissance...
Soit dit en passant, et je reprends là un message précédent, Jacques Rueff savait lui à quoi servaient les économistes, par exemple quand il écrivait à propos des taxis, profession fermée par les réglementations socialo-communistes :
"... en 1937, la profession était libre, en 1938, on a fixé un maximum de 22 000 taxis pour l'agglomération parisienne, et par suite de pressions diverses, ce nombre a été réduit progressivement à 12 500, de telle sorte que, pour une ville qui a doublé depuis 1938, le nombre des taxis jugés strictement indispensables en 1938 a été réduit de moitié. On protège non seulement les hommes, mais aussi les machines, car sur ces 12 000 taxis autorisés, il y en a 1000 seulement qui sont autorisés à faire le "doublage", c'est-à-dire à travailler avec deux chauffeurs, mais pour tous les autres, il ne peut y avoir qu'un seul chauffeur travaillant dix heures par jour.
Ceci veut dire que l'on a doublé systématiquement le montant de l'investissement nécessaire pour desservir la population parisienne, c'est-à-dire que l'on a absorbé là des capitaux qui faisaient défaut ailleurs, par exemple pour construire des maisons (Rueff, L'expansion sans inflation, p.109)"
(Claassen, E.-M. et Lane, G. (eds.), Oeuvres complètes de Jacques Rueff, tome III : Politique économique, livre 2, Plon, Paris, 1980, p.454n)
Et cela, Piqueur de la Mirandole, est vrai et le restera tant que la réglementation perdurera. Tandis que les étatisations que vous avez conseillées et à quoi vous avez contribué en 1981-82 ont vécu ce que vivent les roses..., leur parfum en moins, leurs coûts en inflation, dévaluation, chômage et augmentation des impôts et taxes soufferts par les Français en plus !
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Pour mémoire : http://lumiere101.com/2007/09/11/a-propos-de-la-commission-attali/
Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
Point de détail: est-ce M.Minc ou M.A.Lambert, qui écrit:
C'est le tsar Alexandre II qui, lors de sa visite à Paris à l'occasion de l'exposition universelle de 1867, fut aussi grossièrement interpelé par un avocat, au Palais.
La grossièreté était dans le "Monsieur".
Ayant, de plus, subit un attentat au Bois de Boulogne, Alexandre II ne donna pas suite au rapprochement qu'il amorçait avec la France.
Floquet, le président du conseil qui s'était battu en duel avec le général Boulanger,
Floquet, le président du conseil (88-89) qui ne s'était pas opposé à l'émission d'un emprunt russe de 500 millions en 1888, ni à la fourniture des tout nouveaux fusils Lebel.
Floquet, l'ancien président de la Chambre, sénateur,
Floquet, qui s'est toujours officiellement défendu d'avoir prononcé la phrase qui fonda sa réputation,
Floquet donc aurait réitéré cette incongruité face à notre allié le Tsar accueilli dans l'enthousiasme populaire?
La convention militaire établissant vraiment l'alliance Franco-Russe date de 1894.
Je suis, comme Monsieur Lane, atterré.
Il faut vraiment oser montrer une pareille inculture.
??? a écrit:
On a oublié le temps où dans une France altruiste, un journaliste, Charles Floquet, apostrophait le tsar Nicolas II en visite à Paris (1896) par un "Vive la Pologne, Monsieur !" provocateur.
C'est le tsar Alexandre II qui, lors de sa visite à Paris à l'occasion de l'exposition universelle de 1867, fut aussi grossièrement interpelé par un avocat, au Palais.
La grossièreté était dans le "Monsieur".
Ayant, de plus, subit un attentat au Bois de Boulogne, Alexandre II ne donna pas suite au rapprochement qu'il amorçait avec la France.
Floquet, le président du conseil qui s'était battu en duel avec le général Boulanger,
Floquet, le président du conseil (88-89) qui ne s'était pas opposé à l'émission d'un emprunt russe de 500 millions en 1888, ni à la fourniture des tout nouveaux fusils Lebel.
Floquet, l'ancien président de la Chambre, sénateur,
Floquet, qui s'est toujours officiellement défendu d'avoir prononcé la phrase qui fonda sa réputation,
Floquet donc aurait réitéré cette incongruité face à notre allié le Tsar accueilli dans l'enthousiasme populaire?
La convention militaire établissant vraiment l'alliance Franco-Russe date de 1894.
Je suis, comme Monsieur Lane, atterré.
Il faut vraiment oser montrer une pareille inculture.
Dernière édition par le Sam 6 Oct 2007 - 23:54, édité 1 fois
Peau d'âne- Régulier
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Re: La singerie de la commission Rueff-Armand
On n'a pas besoin d'êre cultivé pour consulter Google.
C'est plutôt une mentalité de parasite social institutionnel qui se moque de ses lecteurs.
C'est plutôt une mentalité de parasite social institutionnel qui se moque de ses lecteurs.
Rantanplan- Bavard
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