"Révélations fracassantes" d'Alain Paucard à 13H15

Uncle Toby a écrit:

On va lui fermer le bec au coincoin, vous allez voir

Votre réactivité m'impressionnera toujours! Bravo.

Bav.

Bravo Paucard
Laissons Quinquin se couler tout seul avec le code la sécurité sociale autour du cou

Hic jacet lupus! Certains patrons d'émission encore en place disent ne rien vouloir connaître du conflit en cours et leur argument en direction de ceux qui sont partis est le suivant:" ne tuez pas RC" outre le fait que ceux-la ont bien d'autres choses à faire que de s'amuser à tuer RC, ils ne comprennent pas que le seul qui tue la radio est son " patron" lui-même et que leur immobilisme les en rend complices.Si vous ne voulez pas que Radio Courtoisie meurre ragissez donc avant de donner des leçons à ceux qui en ont été chassés, faites comme Paucard! On m'informe aux dernières nouvelles que Radio Courtoisie n'est pas en train de mourir! Elle est morte!

fromentin a écrit: leur argument en direction de ceux qui sont partis est le suivant:" ne tuez pas RC" outre le fait que ceux-la ont bien d'autres choses à faire que de s'amuser à tuer RC, ils ne comprennent pas que le seul qui tue la radio est son " patron" lui-même et que leur immobilisme les en rend complices.

Faquen est-t-il bien le "patron" de RC. J'ai cru comprendre dans son communiqué brejnévien du 3 mai, il avait reconnu lui-même quelques menues irrégularités.

Faquen a viré des gens sans en avoir le droit.

Nous connaissons le discours des collabos, qui pour justifier de rester bien au chaud à RC ("tant que Lesquen paye, ça va") le reproche aux autres.

Ce sont là des nabots qui se complaisent dans la condition de valets de pied de Sa Seigneurie. Ceci est à la hauteur de leurs ambitions et de leur talent. On peut comprendre ce point de vue. Qui voudrait de ces bras cassés ailleurs, je vous le demande?

Bav.

Les dernière minutes du dernier Paucard...

Chers amis, je voudrais faire une révélation sensationnelle. Et je voulais dire d’abord aux auditeurs que ce que je vais dire là n’a strictement aucun rapport de près ou de loin avec Jacqueline mon assistante, avec les Volfoni, avec Jean Bertot (?) et avec Isabelle. Cela fait bientôt, ça fait d’ailleurs neuf ans que je dirige une émission sur Radio Courtoisie et pendant ces neuf ans, j’ai passé des moments fabuleux, j’ai écouté vos encouragements, vos critiques et vos suggestions. J’ai notamment retenu deux choses, la première, vous m’avez souvent dit : Radio Courtoisie c’est formidable, mais c’est un peu toujours les mêmes qui invitent les mêmes pour parler des mêmes choses. Aussi, reconnaissez quand même que j’ai toujours essayé de faire des émissions différentes à chaque fois, et même essayé de les varier à l’intérieur même de l’émission. Et puis vous m’avez dit aussi, assez souvent, bah ! on aimerait bien, surtout le vendredi soir, une émission qui serait une émission un peu de repos, qui nous proposerait des activités pour le week-end à venir. Alors ça m’a donné envie de proposer une émission du vendredi soir, une émission qui serait destinée à parler des sorties, des lectures, et j’avais même trouvé cette idée que je trouvais pas bête, j’ai même trouvé cette idée qui n’est pas bête du tout d’ailleurs, ça serait de faire aussi cela en liaison avec des intervenants, avec des correspondants de province, et notamment — par téléphone bien sûr — dans des régions et dans des villes où nous sommes quand même bien mieux écoutés que seulement par TPS ou par Internet. Je pense notamment à Cherbourg, au Havre, à Caen, au Mans et à Chartres. J’ai donc fait une proposition d’une émission pour le vendredi soir, et vous savez qu’il y en a eu des émissions le vendredi soir qui étaient libres... Je l’ai proposé à la direction quatre fois et la direction l’a refusé quatre fois. Alors, j’en ai tiré une conclusion : je ne suis guère apprécié de la direction et je ne peux pas décemment continuer de travailler dans une radio où je suis si peu apprécié, ou alors que je me sens un peu dans la peau d’une voiture de sport, on me laisse avec une deux CV. Ceci est donc ma dernière émission sur Radio Courtoisie et je voudrais dire, c’était ma dernière émission mais j’ai encore une petite surprise à la fin et je ne veux pas vous en priver. Je le regrette, j’en suis vraiment désolé mais je n’ai pas pour habitude d’avaler des couleuvres. Je remercie évidemment pour ces neuf ans Jean Ferré, qui m’avait donné cette émission, parce qu’à l’époque j’avais été plébiscité par les auditeurs, il faut s’en rappeler. Je remercie les bénévoles, parce qu’on n’en parle jamais des bénévoles : nous aussi on est bénévoles, mais on a notre petite gloire, on vient nous serrer la main dans les fêtes de Radio Courtoisie, on nous reconnaît à notre voix dans les lieux publics et tout, mais les bénévoles font un travail beaucoup plus dur, on ne les remercie jamais, et particulièrement Jacqueline, avec qui j’ai passé des moments fabuleux, qui n’est absolument pour rien dans cette décision. Bon, Jacqueline, parfois il ya des mots que vous ne voulez pas prononcer (rires...), mais je ne vous en veux pas, vous savez comme je suis. Et puis bien sûr, je remercie les auditeurs qui m’avaient plébiscité, je le rappelle il y a neuf ans et qui m’avaient fait obtenir cette émission. Au revoir donc, je ne dirigerai plus d’émission sur Radio Courtoisie, mais cela dit j’y ai beaucoup d’amis et si un patron d’émission veut m’inviter un jour pour parler d’un de mes livres, par exemple, j’accepterai avec plaisir...
Pour terminer un petit peu en beauté, je me suis dit qu’est-ce que je vais bien leur proposer, j’ai décidé de faire une chose, je vais vous chanter une chanson d’amour qui est une de mes chansons d’amour préférées, vous allez la reconnaître, avec Paul Volfoni au piano, Franck Orny (?) au saxo... It’s not my song, but I want to sing for you :

Wise men say,
only fools rush in.
But I can’t help falling in love with you.

Shall I stay?
Would it be a thing,
if I can’t help,
falling in love with you?

Like a little flower’s surely to the sea,
Darling so it goes,
some things are not to be.
Take my hand,
take my whole life too,
for I can’t help falling in love with you.

Like a little flower’s surely to the sea,
Darling so it goes,
some things are not to be.
Take my hand,
take my whole life too,
for I can’t help falling in love with you,
for I can’t help falling in love with you.

("I can’t help falling in love with you" d’Elvis Presley)

Salut à vous, Paucard de Paris, et grand merci pour tous les bons moments. Je vous regretterai.

"Je ne peux pas décemment continuer de travailler avec une Direction qui ne m'apprécie pas."
"Je remercie Jean ferré."
"Ceci était ma dernière émission".

"Je n'ai pas pour habitude d'avaler des couleuvres"

Compris Quinquin ?

Message reçu les patrons d'émissions couchés, piètres laquais à la botte du régent-lune ?

Haha, Paucard avait informé le FL au préalable
Très heureux de vous savoir parmi nous cher Alain !

Voyons si le passage critique sera rediffusé.
Oui, rediffusion intégrale, ça aura échappé à la vigilance du Quinquin et de son valet 1100.

La nouvelle est doublement bonne.

Chers Frères et Amis,

Notons que chez les Noeuds du Forum-de-chez-l'Endive-en-Face, le silence sur l'éclatante démission du Paucard est aussi pesant qu'une tournure syntaxique d'homélie versaillaise du Lundi soir, aussi illimité, infini et absolu que le néant sous les bigoudis de Maryvonne...

Sans doute le P.G. va-t-il nous affirmer (recopiant la dépêche officielle de l'Agence TASS que lui aura faxée Quinquin), que, de même que l'arrivée de Monique et le placement de R.C. sous Administration Judiciaire, ce camouflet bien senti et bien mérité, asséné dans la figure de Sa piteuse Seigneurie, de la part d'un des patrons d'émissions les plus populaires de la bande, est un non-évènement?

Comment la panzer-division des Zozos décervelés qui ont usurpé les clés du regretté Forum Libre et Unique de R.C. d'avant Janvier 2007, peuvent-ils, après ça, se targuer de réprésenter autre chose que leur propre nullité, et leur lâcheté de vendus bénis-oui-oui au plan quinquinnal de destruction en règle de ce qu'ils osent encore nommer leur "chère Radio"?

Et comment quiconque se soucie du sort de R.C., et de ce qui s'y passe, peut encore aller poster et se compromettre chez ces autistes?

Nous pardonnerons, peut-être, l'égarement des brebis égarées ou galeuses, parce que nous sommes Chrétiens, - mais quant à pardonner la bêtise, ça devient de plus en plus difficile : errare humanum est... sed, perseverare, c'est, comme chacun sait, beaucoup plus grave.

Courage, certes quelque peu "de la onzième heure", de la part de Paucard...

Mais excellente initiative, - et surtout, - comme dirait le Frère Victor - : "Bon esprit" de sa part, que d'avoir déballé le linge sale et vidé la poubelle en public, et en direct...

Qui osera dire encore qu'il n'y a pas something rotten, au Royaume Courtoisen?

Rantanplan a écrit:La nouvelle est doublement bonne.

Cher et avisé Canidé,

Je vous reconnais bien là, tout entier, dans cette perfide et subtile remarque à double tranchant.
Je n'eusse pas fait mieux, dans l'art de fourrer la délicatesse à l'arsenic, et d'assaisonner le compliment d'un miel aussi fielleux que délectable.

Littérairement à Tous!

S.-B.

Victor le chacal a écrit:auditeur : "Monsieur Paucard, vous êtes un pornographe, vous n'avez pas votre place sur radio Courtosie".

Signé : HdL, truffe versaillaise, candidat municipal à l'échec, et pisse-vinaigre de bénitier, aussi coinçé que scandalisé...

Victor le chacal a écrit:"trop de nénés de mémère" en choeur!

Là, on connaît des dames-patronne(sse)s d'émission de R.C. qui ont dû se sentir directement visées... on n'ose dire "sous la ceinture"... Quoique pour certaines, elles aient la mammelle triste, au point que celle-ci s'affaisse jusqu'au-dessous du mou du genou...

Est-ce une nouvelle étape du processus itératif darwinien qui annonce la mue de RV vers une nouvelle forme de radio libre ou une nouvelle avancée dans la remise au pas de la droite dissidente, dont la liberté d'expression se réduit comme peau de chagrin? Le Gauleiter Mesquen aura sans doute droit à son procès Barbie dans une génération lorsque ses successeurs juristes voudront blanchir l'image ternie de leur profession.

Mon cher Courtoisrazzo,

Vous aussi vous vieillirez, vous vieillissez déjà, d'ailleurs, d'un jour tous les jours comme tout un chacun et toute une chacune.

Alors ce type d'argumentaire...

Bonsoir Dame Guinevere,

Votre propos servi avec la délicatesse que l'on vous connaît, me fait penser à cette stance due à Pierre Corneille, "Marquise, si mon visage..." complétée (pour le moins énergiquement) par Tristan Bernard et joliment chantée par le grand Georges (avec des triolets pas toujours évidents)...

En tout état de cause, félicitations pour votre 500e, à votre santé !

Chers Amis et vénérables F.F:. du F.L.,

Je m'autorise à faire ici écho à l'excellent F.F:. JUDEX, qui s'étonne (à juste titre), un peu plus haut dans ce fil, qu'excepté chez nous, la démission d' A. Paucard ne suscite pas plus d'émotion, au sein des foules "courtoises"... et notamment, chez les "décervelés du bulbe" (bonjour à BRUGIER Philippe-Arnaud ... qui me prêtera, j'espère, l'usage de son copyright) du Forum "Courtois".

Ce silence est aussi désobligeant pour Paucard, qu'ignominieux, de la part d'auditeurs qui prétendent haut et fort leur "attachement" et leur "fidélité" à une antenne qui, chaque jour, grâce au grand niguedouille versaillais qui en a usurpé la direction, perd non seulement de l'argent et de l'audience, mais aussi, ses animateurs les plus "emblématiques" : ceux qui, dans des domaines divers, et avec un ton qui n'appartenait qu'à eux, faisaient l'originalité, la qualité et la liberté du 95.6.

Enfin, jusqu'ici, rien ne m'était tombé sous les yeux, chez les associated-misfits d'en face, qui ressemblât même à une oraison funèbre du LJ de Paucard, ni même à une simple annonce, ou à un coupé-collé du Kapo-chef P.G. d'un quelconque communiqué, émanant de la "maison-mère" du Bd Murat, et relayant l'info...

Rien, disais-je donc... jusqu'à ce que je lusse, sous la touche de notre vieille amie Freddy la petite frappe galonnée, la folle du régiment bien connue dans les bacqueroumes d'internet et les groupes d'échanges très spécialisés et orientés de chez MSN, cette appréciation qu'on me pardonnera de citer, et rapporter, entre des guillemets dont je me permets d'user comme de pincettes à remuer la crotte :

"Si le fait que certains patrons d'émissions soient remplacés par d'autres, que certains arrivent ou soient amenés à s'absenter momentanément pour revenir ou pas... mais dans ce cas, celà fait 18 ans que Radio Courtoisie est en crise !!

Etant moi même à la tête d'une association, je peux vous assurer que ce genre de chose fait partie de la vie normale d'une structure : ça bouge, ça change, ça s'en va, et parfois, ça revient ! "

Eh! oui :"ça s'en va, et ça revient", comme la Freddy, qui nous manquait, et qui, sans doute de retour de lointaines grandes manoeuvres dans les fourrés, nous est réapparue, pour nous régaler de son habituelle prose à déguster "d'un derrière distrait".
Bon. Sans doute, il serait vain de tenter d'expliquer à la petite frappe qui est le bas auteur de ces lignes, à la tordue HdListe qui a commis ce résultat de colique, que R.C. n'est pas "en crise", - certes!-, mais qu'elle est tout simplement en train de crever, placée en survie artificielle depuis le putsch auquel son idole Riton-les-rillettes-d'Oie s'est livré, le 12 Novembre dernier, en transformant un banquet funèbre à la mémoire de J. Ferré en champ-clos de bataille, de règlement de comptes, d'usurpation, d'iniquité et de déshonneur...

Mais on va, néanmoins lui enseigner une bonne chose, à la Freddy-à-son-Lesquin : c'est que ce qui "s'en va", et risque de lui "revenir", c'est le coup de pied au cul qu'elle mérite.

Parce que, traiter avec autant de mépris, en éléments "négligeables", ou "interchangeables", des patrons d'émission qui, après avoir donné, pour pas un flèche, leur temps, leur talent à R.C. (depuis dix, voire vingt ans pour certains), se sont vus virés, ou contraints à la démission par une Endive aussi nullissimement incompétente que le HdL, ce n'est même plus de la grossièreté, c'est de l'arrogance (fort déplacée) de tout, tout petit résidu de fond de poubelle qui se permet de sonner et tempêter plus haut que ses fesses.

Qu'on "entre" et qu'on "sorte" de R.C. sans que ça n'émeuve personne... surtout pas les auditeurs... dont acte!

Les patrons concernés seront heureux d'apprendre que leur sort ne remue, ni n'émeut davantage un public qu'ils se sont donné, bénévolement, des heures durant, la tâche d'instruire, d'éclairer, ou de divertir...

Cela dit, désormais, je crains que n'entrer à R.C. (pour ceux qui auront encore l'inconscience insensée d'y aller se compromettre, ou s'y ridiculiser), ce ne soit faire un dernier voyage, sans retour, dans le néant, et dans l'oubli... programmé.

Certes, le Génie des Quinconces, qui n'est plus à une imposture, ou à une menterie près, annoncera que "la porte reste ouverte" à tous les remplaçants de ceux qu'il virés ou poussés vers la sortie, à tous les charognards pas-dégoûtés, (genre Hamichou-la-soutane-de-velours), qui viendront asseoir leur séant de faux-culs dans le siège encore tiède d'où les piliers "historiques" de la radio furent éjectés...

Mais, plus qu'à la coquette porte d'immeuble du 61, Bd Murat, l'entrée d'honneur de Courtoisie sous Lesquen, c'est à ceci, maintenant, qu'elle ressemble :



Avec, gravé au linteau, l'avertissement dantesque : Lasciate ogni speranza

Et j'ajouterais même : ogni libertà.

Bonjour à tous chers estimés Forumeurs et chères estimées Fausses Rumeurs

Souricette indique sur un autre fil nos petits démêlés (réglés) avec le placement de l'émission de Jean-Luc de Carbuccia.

C'est donc avec retard que je réagis à la démission de Paucard. Tout a été dit. D'abord par lui, quoiqu'il fût resté pudique sur deux ou trois points vraiment obscènes du comportement de "la direction" à son égard. Et je lui donne raisons. Ne soyons pas aussi mesquins que Mesquin : parler de son comportement serait parfois se salir. Rien que de penser à ses immondes accusations systématiques (c'est le seul secret du bonhomme) j'éprouve une nausée.

Donc j'étais loin de tout ordinateur et je connaissais la nouvelle à l'avance. Paucard avait fixé lui-même sa date, depuis longtemps, en fonction de la politesse due à ses propres invités. Tous les patrons d'émissions un peu sérieux ont le même problème.

Alain Paucard, a priori ne désire venir ni à Arcole à la "nouvelle radio". Mais notre porte lui sera toujours ouverte comme elle le sera, au départ, à tous les exclus et démissionnaires de l'ex-Courtoisie.

Son départ représente donc une perte sèche, précisément à cause du message imbécile disant qu'il n'a "pas sa place". Il nous changeait du discours systématiquement et faussement "bon genre" orléaniste hypocrites et tartuffiers. Sa gouaille sans méchanceté manquera, elle aussi, à RC et aux auditeurs.

La banlieue ouest l'emporte sur le vieux Paris. Je me demande qui, dans le monde, s'intéresse à la banlieue ouest : même pas ses habitants.

Oh je sais que "la direction" doit éprouver une sorte de satisfaction conformiste. On reste "entre nous" : c'est vraiment la preuve de son imbécillité, de sa petitesse, de sa bondieuserie de façade. Pauvre bureaucratie minable !

L'édifice fragile comme l'équilibre subtil voulu par Jean Ferré se dissout ainsi et se désagrège un peu plus. De cela seulement j'éprouve un petit regret, une sorte de pincement au cœur. C'est vraiment fini, voila ce que je ressens.

Et je tire tardivement mais sincèrement ce dimanche matin mon chapeau à l'indépendance d'Alain Paucard.

Bon dimanche à tous : à ceux qui croient au Ciel, à ceux qui croient à la Terre, et à ceux qui aiment la Liberté.

Cher Amis, et vénérables F.F:.,

Soyons clairs, puisque désormais, la démission (ô combien éclatante et courageuse!) de Paucard nous délivre du devoir de réserve que nous nous sommes sentis obligés de respecter, afin de ne pas éventer l'effet de cette gifle publique, en direct, qu'il a envoyée à la "direction" du 95.6... (au fait, quelle "direction"? Quinquin, sous Monique, n'encaisse même plus les chèques qu'il a réussi à arracher aux derniers naïfs nostalgiques qu'il a persécutés, via mailing, en Mars-avril dernier...)

Depuis Février, le Paucard, à qui on aurait tort d'essayer de la faire, était remonté contre l'Endive, - qui d'ailleurs, (il s'en est, à force, rendu compte), le méprisait cordialement...

Vous pensez, un Paucard de Paris, baptisé à la paroisse St Pierre du Gros-Caillou, qu'est-ce, pour un Lesquen, qui croit avoir embouché sa trompette de la renommée par où on prenait, sous Louis XIV, son clystère, - et qui y souffle, aux quatre vents, son néant, - d'un cul-pincé de paroissienne "bien" de Saint-Louis de Versailles?

Paucard l'anar, Paucard le paillard faisait par trop "tache de gras", aux yeux et aux oreilles de Monseigneur, qui tend à transformer R.C. en bouillon maigre tradi-coincé, et le péno-villériste faux-cul.

Ce qui a définitivement hâtéé les choses, et exacerbé le contentieux, c'est l'affaire de l'émission proposée, pour le Vendredi soir (qui, franchement, ne lésait personne... au contraire!), et qui eût été une excellente initiative, afin de rendre à R.C. un ton de "culture" bien venu, au moment où l'Endive, piètre tacticien, mais ambitieux imbécile, distribue aux factions politiques les plus confidentielles de l'Extr-Haîme-Drouhête (qu'il représente à soi seul, c'est bien connu), les émissions d'une radio mise en pièces et en coupe réglée, afin de servir ses illusions de second tour municipal à Versailles...

Si l'on savait comment Monseigneur, après avoir essayé de le faire "chanter" sur l'affaire Mallkiarakis (alors que Paucard ne chante que le rock n'roll cher à Sainte-Bob), lors du fameux dîner à la Mère Agitée (voir fil de Victor plus haut), l'a finalement désobligé, en lui faisant des promesses non suivies d'effet, - et puis, en omettant même de le rappeler (même pour lui dire : "non"), on comprendra comment, et pourquoi Paucard, qui a parlé de son incapacité à "avaler des couleuvres" a préféré rester, à ce sujet, dans l'euphémisme...

Car c'est, au moins, du boa constrictor que le Génie des Quinconces a tenté de lui enfoncer dans la gorge!

Rappelons aussi ceci : que la proposition d'émission du Vendredi de Paucard n'était nullement, pour ce dernier, une question d'ambition, ou de vanité égoïste, ni un calcul "personnel"... (ceci, afin de démentir les mauvaises langues dénoyauteuses d'olives et épépineuses de pommes, qui prétendirent que ce projet n'avait pour but que de "servir la vanité" de son initiateur).

Contrairement aux arguties en question, il s'agissait, en fait de partager, chaque Vendredi du mois, l'émission en question entre quatre patrons (Paucard compris), dont, pour deux d'entre eux, au moins, c'eût été l'occasion de mettre en valeur des talents réels, et neufs, qui ne demandaient qu'à servir la radio, et le plaisir des auditeurs.

Si on me le demande, je donnerai les noms (y a pas de raison)...
et on verra ce qu'on a manqué, à cause de la bêtise sectaire de la Pâle Légume qui s'obstine dans son usurpation, quant à l'évolution de R.C. dans le bon sens (celui de la culture vivante, et non de la nécropole fleurant la naphtaline).

Paucard a, malgré ça, été désobligé, - humilié par Monseigneur, qui ne fraie pas avec les manants... et encore moins, avec les libertaires de la pensée...

Car malgré ses (énormes et nombreux) défauts, Paucard est un type bien, un type droit, un type sincère... parfois, c'est vrai, jusqu'au ridicule.

Mais ses ridicules étaient, du moins, sympathiques et divertissants; - quand ceux de Riton-les-Rillettes-d'Oie sont sinistres.

Paucard est un homme libre, qui n'a pas supporté la courtisanerie consistant à vendre sa liberté... ni surtout, à s'humiler devant un pantin illégitime.

D'aucuns ont peut-être encore le souvenir de ce déjeuner du 12 Novembre, où, "oublié" de passation de micro par la Collin et ses deux gorilles, il clamait (sans se départir de son sourire gouailleur) entre les tables, à qui voulait l'entendre : "C'est quoi ce b...l, c'est qui ce Lesquen, ce bleu-bite qui vient me marcher sur les arpions, moi qui ai dix bouquins derrière moi, et neuf ans de R.C. à mon actif?"

Hélas! Paucard, c'est par-là que vous péchâtes!

Un tel langage, - celui de la franchise -, a dû paraître trop poivré, ou salé à la grande Gigue morose, qui tient à faire de R.C. une annexe et un prolongement des édifiants ouvrages de l'Abbé Béthléem, qui en son temps, (les années 20, tout de même), persistait à déconseiller Chateaubriand, Flaubert et Proust à la lecture des "jeunes filles", - comme trop immoraux!

Ah! Paucard, nous le savions depuis deux ou trois mois, que vous prépariez un congé mémorable! Rien n'y manquait, ce dernier Vendredi, de ce que vous nous aviez promis.

Timing au quart de cheveu du poil!

Une dernière émission de pro, en quelque sorte... Et beaucoup de R.C. qui s'en va.

N'ayons pas peur : Anne Brachieuse a dit ailleurs
(cité ici : https://libreforum.forumactif.fr/A-l-ecoute-de-RC-c2/Les-emissions-et-les-archives-f3/Grandes-Faquineries-du-Lundi-25-06-t690-30.htm par une excellente référence...)

Victor le chacal a écrit:La Brassié : "je suis là depuis 20 ans".

Elle a même ajouté, ce soir-là, (cette fois, c'est moi qui cite) :"Radio Courtoisie, c'est un peu moi".

Après Henry le Mesquin, (surnom officiel dont on le gratifie à Versailles), voilà sa Montespan déçue qui se prend pour l'astre du jour... à la place du Régent-Lune!

Donc, ne regrettons pas Paucard. La relève est brillamment assurée, et perpétuée...

JUDEX a écrit:Si on me le demande, je donnerai les noms (y a pas de raison)...

Justement, je vous le demande mon fidèle frère :.

Cordialement.

Courtoisrazzo, vous utilisez le pluriel de majesté ?

Parce que si vous (pluriel de politesse), vous ne regrettez pas Paucard, ce n'est apparemment pas le cas de Judex -- ni le mien d'ailleurs. Ses émissions étaient de celles que j'écoutais avec plaisir, bien que trop rarement, vu les horaires.
Que voulez vous, on ne peut pas être grave et politique 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, ni confit en distinction comme d'autres le furent en dévotion.
J'aime bien la gouaille populaire, de temps à autre.

Arcoolo a écrit:Les dernière minutes du dernier Paucard...

Chers amis, je voudrais faire une révélation sensationnelle. Et je voulais dire d’abord aux auditeurs que ce que je vais dire là n’a strictement aucun rapport de près ou de loin avec Jacqueline mon assistante, avec les Volfoni, avec Jean Bertot (?) et avec Isabelle. [...]

Mon cher, Ceci est très impressionnant.

Comment avez-vous fait? Avez-vous seulement écouter l'émission ou avez-vous une autre source?

Encore merci.

Bav.

Guinevere a écrit:Courtoisrazzo, vous utilisez le pluriel de majesté ?

Parce que si vous (pluriel de politesse), vous ne regrettez pas Paucard, ce n'est apparemment pas le cas de Judex -- ni le mien d'ailleurs. Ses émissions étaient de celles que j'écoutais avec plaisir, bien que trop rarement, vu les horaires.
Que voulez vous, on ne peut pas être grave et politique 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, ni confit en distinction comme d'autres le furent en dévotion.
J'aime bien la gouaille populaire, de temps à autre.

Ma chère, vous me décevez beaucoup : cela fait la deuxième fois, dans ce même fil, que vous m'entendez à contresens.

L' habitude de la litote et du second degré vous feraient-elles défaut, - ou auriez vous perdu l'usage de la plus élémentaire rhétorique de l'antiphrase ou du paradoxe, à force d'aller par trop perdre votre temps et votre bonne parole, à tenter d'enseigner aux raseurs de pâquerettes sans humour de chez le P.G.?
Et le consternant premier degré-zéro de la réflexion qu'on pratique chez les dérisoires "Courtois" homuncules d'en-face vous contaminerait-elle, dangereusement?

Allons, reprenez-vous. On vous a connue et préférée plus fine dans l'analyse et l'intuition littéraire...!

Effectivement je ne crois pas qu'il y ait bcp d'ambiguïté dans les propos de l'ami Courtoirazzo dont j'espère qu'il saura nous apporter de nouveaux scoops dans pas longtemps.

Grand Architecte du Forum a écrit:

JUDEX a écrit:Si on me le demande, je donnerai les noms (y a pas de raison)...

Justement, je vous le demande mon fidèle frère :.

Cordialement.

Grand Maître, vos ordres comblent mes désirs, et j'y souscris d'autant plus volontiers que j'ai à coeur, pour ce que j'en connais, de défendre, contre l'obtuse inculture et indifférence de l'Endive à tout ce qui est culturel, la mémoire d'un défunt (ou plutôt : mort-né) projet d'émission, dont l'excellent et regretté Paucard était l'instigateur.

Il a lui-même, d'ailleurs, expliqué, (en gros), dans son laïus final de Vendredi dernier, en quoi consistait le "concept" de l'émission en question (de l'actu culturelle, dans la diversité, la légéreté, la bonne humeur, - n'excluant pas l'esprit critique).
Quelque chose, en tout cas, d'un peu plus sexy et punchy que la tisane du soir de Coûteaux and C°, ou que la tasse de thé mensuelle de la Bertin, où on n'a guère l'appétit, ni l'envie de tremper son boudoir.

Afin que la diversité soit complète, et de renouveler un peu le sang et l'âge des cadres (et nous changer un peu de la consaguinité sénile qui sévit actuellement sur HdL-FM,où on finit par éprouver l'impession que dix personnes qui s'entre-invitent et se passent la rhubarbe et le séné en remuant du dentier et en s'auto-congratulant, entre patrons d'émission, font désormais la Radio), Paucard avait prévu un "roulement" entre quatre responsables (un par Vendredi du mois), chargé, selon son caractère et ses inclinations, de donner un "ton" différent à chaque édition, et de privilégier tel ou tel sujet, ou domaine.

Parmi les patrons déjà "en place" dans la boutique :

1 / Lui (bien sûr)

2 / P.-E. Prouvost d'Agostino (de la bi-mensuelle "Clé des Chants" du Lundi)

Parmi les "nouveaux venus" :

1 / Marie-Joséphine Strich, drôlissime et brillantissime spécialiste de littérature-comparée, et auteur non moins brillante d'excellentes études d'histoire littéraire (en particulier sur la Comtesse de Ségur) que Paucard avait justement trouvé un peu scandaleux de laisser cantonnée au rôle d'assistante et de victime favorite de la méchante Sainte-Bob, dont la misogynie n'est plus à prouver. Outre que Mademoiselle Strich écrit elle-même ses excellents livres, et que, (bien qu'ayant publié un récent ouvrage sur la cuisine et les meilleures recettes de l'auteur des
Malheurs de Sophie, pour lequel elle fut invitée, à son grand dam, à se compromettre chez la périgourde gastronome Bertin), elle n'abuse pas des "Euh..." dans l'omelette, sa verve et son excellent mauvais esprit nous eussent changés de la lénifiante et ignorante vulgate "littéraire", servie par l'ineffable Reine des Pommes, depuis peu promue dénoyauteuse d'olives, de la Semaine des Quatre Jeudis.

2 / Olivier François, - le seul vrai "apport extérieur" non-déjà "courtoisien" de l'équipe -, jeune journaliste réchappé des ouvroirs de l'A.F. (où on ne trouve pas, Dieu merci, que de vieux crabes confits en dévotion orléaniste, ou les derniers dévôts ramollis de la casquette du père-Pujo!), et amateur et spécialiste de Jazz et de musiques qu'on n'entend pas assez sur R.C. (genre Rock'n'roll, variété US des cinquante dernières années, et autres modernités rythm and blues à faire dresser le cheveu sur la tête du grand Noeud de la paroisse St Louis qui a usurpé R.C. et l'oeuvre de J. Ferré (R.I.P.)...
Cela nous aurait, d'ailleurs, permis, entre autres, de réentendre un peu de Jazz sur le 95.6, où les excellentes et bienvenues "soirées musicales" hebdomadaires consacrées au genre ont été sucrées par l'infâme 1100 (qui n'en rate pas une dans la malfaisance), après que J.-P. Tardif, qui les avait instiguées, eut décidé de prendre sa retraite de R.C.

Tout cela promettait du plaisir aux oreilles (et accessoirement, à l'esprit).

Mais Quinquin ne l'a pas voulu.

Chacun le sait maintenant, la différence entre HdL-FM et le "Titanic", c'est que sur le "Titanic", il y avait de la musique... et de la culture.

Sans doute, le week-end, à Versailles, on s'emmerde ferme, - et Sa Seigneurie n'a-t-elle pas jugé que ses paroissiens eussent besoin, le Vendredi, de conseils de sorties pour divertir leur Samedi soir, et leur Dimanche...
Chacun sait que le Jour du Seigneur, dans la riante préfecture des Yvelines, est consacré, après l'oraison et le déjeuner de famille, à la lecture, suivie de récitation collective et recueillie, du dernier bulletin paru de l'U.R.V., qui suffit à pourvoir à l'omnisciente et universelle connaissance de toute chose, en ce monde!

Victor a écrit:Comment avez-vous fait?
Avez-vous seulement écouter l'émission ou avez-vous une autre source?

Il est des patrons dont j'aime bien les émissions et donc que j'enregistre plus ou moins régulièrement : Paucard, Darnel, Kerros, Marin, ou que j'enregistrais (Pichon, Cdt Guillaume et désormais le Paucard de Paris...)

JUDEX a écrit:Chacun le sait maintenant, la différence entre HdL-FM et le "Titanic", c'est que sur le "Titanic", il y avait de la musique... et de la culture.

Mon cher!

Je vais faire graver ceci en lettres d'or sur ma cheminée, c'est admirable!

Et bravo pour ces infos inédites que nous ne pouvions nulle part ailleurs que sur le FL, le forum qui donne l'info qu'il vous faut sur RC.

Et PG, arrête de dire que ta RDA est le seul forum sur RC, tu n'es pas crédible. Il n'y a que la propagande hdliste dans ton vivarium pour lobotomisés dans ton genre. Je sais que tu t'informes toi-même en venant ici. Il ne se passe rien dans ton camps de concentration.