Les banques centrales et les banques périphériques
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Laure
Victor le chacal
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Les banques centrales et les banques périphériques
Manière de suggérer au tandem vedette du podcast économique une émission sur les rapports entre banques centrales et banques pas centrales (qui ne sont pas clairs, du moins pour moi, mais je ne crois pas être le seul), je saisis l'occasion de ce que me dit l'AFP via mon lecteur rss :
Bon, la "crise", les subprime, tout ça c'est à peu près clair (grâce aux émissions passées).
Ce qui me le semble moins, c'est le rapport qui existe entre ces banques centrales et celles qu'elles abreuvent ainsi de milliards.
Je vais me contenter de deux questions, même si elles n'épuisent sans doute pas le sujet :
— Ces milliards dont on nous dit qu'ils sont injectés, correspondent-ils à une réalité tangible, à une richesse réelle ? Et cette richesse est elle en réserve qu'on pût en faire profiter des banques en manque ? Ou n'est-ce qu'un jeu d'écritures qui, via la monnaie-monopole et la notion même de liquidité reporterait ce qui manque aux banques sur les banques centrales, donc, in fine, d'une manière ou d'une autre, même indéfiniment différée en apparence, sur tout le monde ? (parce que simple manque de liquidités je veux bien, mais si ça manque c'est bien parce que les banques soupçonnent avoir perdu de l'argent, et leurs consoeurs avec elles, ce ne peut être le simple manque d'un moyen de paiement ?)
— La BCE dit ne pas voir de terme pour l'intant. Mais sauf à imaginer que les banques centrales pussent créer indéfiniment de la monnaie au bas de feuilles de papier, laquelle monnaie aurait magiquement une valeur quelconque sans rapport avec la réalité, il doit bien y avoir une limite à leurs possibilités d'intervention ?
AFP a écrit:La Banque centrale européenne a mis mardi un montant massif d'argent pas cher à la disposition des banques de la zone euro pour rétablir un semblant d'ordre et de confiance sur les marchés monétaires minés par la crise du "subprime".
La BCE avait promis la veille aux établissements un montant illimité de liquidités, et ces derniers ne s'en sont pas privés: 348,6 milliards d'euros à un taux de 4,21% -inférieur aux niveaux pratiqués actuellement sur le marché monétaire- ont été prêtés (alloués) mardi, a annoncé l'institut de Francfort.
La Banque centrale réalise toutes les semaines une opération de refinancement pour les banques de la zone euro, destinée à les approvisionner en liquidités pour remplir leurs réserves minimum.
Elles sont obligées de mettre cet argent de côté -qui n'est ni investi, ni prêté- et disposent ainsi d'un coussin de sécurité en cas de crise majeure, ce qui contribue à la stabilité du système bancaire de la zone euro.
La BCE a évalué le montant nécessaire pour remplir les réserves à 180,5 milliards, mais a alloué quelque 168 milliards de plus. Un montant massif, qui intervient seulement quelques jours après l'annonce d'une vaste action concertée de soutien aux marchés impliquant, outre la BCE, la Réserve fédérale américaine, la Banque d'Angleterre et la Banque centrale suisse.
De quoi se poser des questions sur la santé des banques, que la BCE estime peut-être plus mauvaises que redouté.
Pour Jonathan Loynes de Capital Economics, cela "fait monter les inquiétudes sur le fait que les choses vont particulièrement mal dans la zone euro". "Nous avons le sentiment que l'exposition" des banques européennes à la crise du crédit immobilier à risque aux Etats-Unis est "significative", ajoute-t-il.
"C'est simplement une question d'aider les banques sur cette période de fin d'année qui est toujours tendue, mais cette année particulièrement", précise à l'AFP un porte-parole de la BCE.
Les banques bouclent leurs comptes en fin d'année, et veulent présenter à leurs actionnaires le meilleur bilan possible.
"Le marché monétaire ne fonctionne pas normalement (...) le besoin en liquidités est plus grand qu'habituellement", souligne-t-il.
BCE et économistes espèrent un retour à la normale au début de l'an prochain, quand les établissements de crédits auront publié leurs comptes de l'année écoulée, qui devraient donner une idée précise de l'étendue des dégâts.
"Nous avons besoin de plus de transparence", insiste le porte-parole de la BCE.
Car les soubresauts actuels sur le marché sont avant tout liés à l'ignorance. Comme les banques ne savent pas à quel point leurs consoeurs sont affectées par la crise du "subprime", elles rechignent à se prêter entre elles et préfèrent parquer les liquidités qu'elles détiennent. D'où la montée des taux sur le marché monétaire, largement au dessus du taux minimum de la BCE actuellement à 4%, car le crédit se fait plus rare.
La BCE a choisi très tôt, peu après le plongeon des marchés mondiaux en août, d'injecter des liquidités afin de faire comprendre aux banques qu'elles pourront toujours se refinancer à des conditions favorables, et les aider ainsi à retrouver confiance. Jusqu'ici sans succès durable.
Jusqu'à quand va-t-elle continuer? Nous "ne sommes pas en mesure de dire quand" la situation va s'améliorer, reconnaît le porte-parole. Et pour ce qui est des mesures d'aide aux marchés, la BCE ne s'est fixé "aucune limite dans le temps".
Bon, la "crise", les subprime, tout ça c'est à peu près clair (grâce aux émissions passées).
Ce qui me le semble moins, c'est le rapport qui existe entre ces banques centrales et celles qu'elles abreuvent ainsi de milliards.
Je vais me contenter de deux questions, même si elles n'épuisent sans doute pas le sujet :
— Ces milliards dont on nous dit qu'ils sont injectés, correspondent-ils à une réalité tangible, à une richesse réelle ? Et cette richesse est elle en réserve qu'on pût en faire profiter des banques en manque ? Ou n'est-ce qu'un jeu d'écritures qui, via la monnaie-monopole et la notion même de liquidité reporterait ce qui manque aux banques sur les banques centrales, donc, in fine, d'une manière ou d'une autre, même indéfiniment différée en apparence, sur tout le monde ? (parce que simple manque de liquidités je veux bien, mais si ça manque c'est bien parce que les banques soupçonnent avoir perdu de l'argent, et leurs consoeurs avec elles, ce ne peut être le simple manque d'un moyen de paiement ?)
— La BCE dit ne pas voir de terme pour l'intant. Mais sauf à imaginer que les banques centrales pussent créer indéfiniment de la monnaie au bas de feuilles de papier, laquelle monnaie aurait magiquement une valeur quelconque sans rapport avec la réalité, il doit bien y avoir une limite à leurs possibilités d'intervention ?
Dernière édition par le Mar 18 Déc 2007 - 20:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Bon, alors la prochaine fois je ferai comme Faquen : semblant de tout savoir sans avoir jamais rien appris.
Invité- Invité
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Nos éminents amis économistes vous répondront incessamment. La question est de savoir à quelle politique de réserve est tenue elle-même la banque monopolistique.
Je ne crois pas que la BCE ait acheté pour 348 milliards d'or récemment
Je ne crois pas que la BCE ait acheté pour 348 milliards d'or récemment
Dernière édition par le Mer 19 Déc 2007 - 1:29, édité 1 fois
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Victor le chacal a écrit:Nos éminents amis économistes vous répondront incessamment.
Ils vous expliqueront que le but du jeu est de collectiviser les pertes en dévaluant la monnaie sans le dire.
C'est la seule façon d'empêcher qu'une banque fasse faillite, ce qui ferait désordre.
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Uncle Toby a écrit:— Ces milliards dont on nous dit qu'ils sont injectés, correspondent-ils à une réalité tangible, à une richesse réelle ? Et cette richesse est elle en réserve qu'on pût en faire profiter des banques en manque ? Ou n'est-ce qu'un jeu d'écritures qui, via la monnaie-monopole et la notion même de liquidité reporterait ce qui manque aux banques sur les banques centrales, donc, in fine, d'une manière ou d'une autre, même indéfiniment différée en apparence, sur tout le monde ?
Gagné, c'est bien un jeu d'écritures.
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Je peux répondre à ma manière , et ce , du fait mon expérience professionnelle :
Travaillant dans une société de convoyage de fonds et de valeurs , je me souviens qu'il fallait traiter les DEUX monnaies en circulation en 2002 , le Franc et l'Euro . Or , s'il y a deux monnaies en circulation ( et c'était vrai pour la plupart des Etats ayant adopté l'Euro ) , alors une inflation gigantesque a dû se produire , puisque l'ancienne monnaie nationale n'avait pas disparu de la circulation et la nouvelle est arrivée en très grand nombre , soit-disant pour que personne ne manque de rien pour l'adoption de la nouvelle monnaie ( il y a eu une période asez longue concernant ce phénomène unique dans l'Histoire , c'est-à-dire DEUX monnaies en circulation , et ce , dans tous les Etats ayant adopté l'Euro , aussi pour la raison suivante : )
Or , d'autre part , si vous aviez pris la peine de regarder les pièces en Euro d'un peu plus près , vous auriez dû vous apercevoir que des pièces en Euro avaient été réalisées , en très grand nombre , pour les millésimes suivants :
......1999 .....2000.....2001 , et ce pour la plupart des Etats , c'est-à dire bien avant la date de 2002 , date officielle du passage à l'Euro . Autrement dit , dès que l'Euro a été mis en circulation , les indexations par rapport aux millésimes concernés étaient devenus incontournables et inévitables . D'où le phénomène d'une inflation considérable , qui a été soigneusement cachée aux Européens , en 2002 puis en 2003 . Ainsi les Banques monopolistiques et la BCE , ont voulu mentir aux Européens , mais ce mensonge ne peut tenir très longtemps car le fait que l'Euro soit surévalué de façon démesurée , et ce de façon permanente , implique donc si ces Banques monopolistiques et la BCE font baisser l'Euro , alors la preuve de leur mensonge sera établie car cela consisterait à reconnaître cette inflation excessive citée précédemment . Or , les prix , dans la zone Euro n'ont cessé de grimper , montant que l'on subit les conséquences du phénomène de la double monnaie en circulation et de la création des monnaies en Euro , avant même la date véritable de son introduction .
Les banques centrales monopolistiques et la BCE ont-elles CREE DE LA MONNAIE "ANTIDATEE " . Et avaient-elles intérêt à le faire ?
( Car , mes amis , c'est la première fois qu'une monnaie a été créée avec des dates ou des années antérieures à celle officielle de son introduction . D'habitude , on dit que l'on crée une monnaie à telle date ou à telle année et quelques semaines plus tard , on la crée à la date ou à l'année qui a été retenue )
La réponse est malheureusement oui dans les deux cas !!!!!!....Pour jouer sur deux tableaux opposés :
Car , ces Banques Centrales monopolistiques et la BCE voulaient présenter aux yeux des prêteurs internationaux une apparence de maîtrise financière , alors que les populations européennes subissaient et subissent toujours cette inflation . D'où une certaine contradiction apparente.......
Travaillant dans une société de convoyage de fonds et de valeurs , je me souviens qu'il fallait traiter les DEUX monnaies en circulation en 2002 , le Franc et l'Euro . Or , s'il y a deux monnaies en circulation ( et c'était vrai pour la plupart des Etats ayant adopté l'Euro ) , alors une inflation gigantesque a dû se produire , puisque l'ancienne monnaie nationale n'avait pas disparu de la circulation et la nouvelle est arrivée en très grand nombre , soit-disant pour que personne ne manque de rien pour l'adoption de la nouvelle monnaie ( il y a eu une période asez longue concernant ce phénomène unique dans l'Histoire , c'est-à-dire DEUX monnaies en circulation , et ce , dans tous les Etats ayant adopté l'Euro , aussi pour la raison suivante : )
Or , d'autre part , si vous aviez pris la peine de regarder les pièces en Euro d'un peu plus près , vous auriez dû vous apercevoir que des pièces en Euro avaient été réalisées , en très grand nombre , pour les millésimes suivants :
......1999 .....2000.....2001 , et ce pour la plupart des Etats , c'est-à dire bien avant la date de 2002 , date officielle du passage à l'Euro . Autrement dit , dès que l'Euro a été mis en circulation , les indexations par rapport aux millésimes concernés étaient devenus incontournables et inévitables . D'où le phénomène d'une inflation considérable , qui a été soigneusement cachée aux Européens , en 2002 puis en 2003 . Ainsi les Banques monopolistiques et la BCE , ont voulu mentir aux Européens , mais ce mensonge ne peut tenir très longtemps car le fait que l'Euro soit surévalué de façon démesurée , et ce de façon permanente , implique donc si ces Banques monopolistiques et la BCE font baisser l'Euro , alors la preuve de leur mensonge sera établie car cela consisterait à reconnaître cette inflation excessive citée précédemment . Or , les prix , dans la zone Euro n'ont cessé de grimper , montant que l'on subit les conséquences du phénomène de la double monnaie en circulation et de la création des monnaies en Euro , avant même la date véritable de son introduction .
Les banques centrales monopolistiques et la BCE ont-elles CREE DE LA MONNAIE "ANTIDATEE " . Et avaient-elles intérêt à le faire ?
( Car , mes amis , c'est la première fois qu'une monnaie a été créée avec des dates ou des années antérieures à celle officielle de son introduction . D'habitude , on dit que l'on crée une monnaie à telle date ou à telle année et quelques semaines plus tard , on la crée à la date ou à l'année qui a été retenue )
La réponse est malheureusement oui dans les deux cas !!!!!!....Pour jouer sur deux tableaux opposés :
Car , ces Banques Centrales monopolistiques et la BCE voulaient présenter aux yeux des prêteurs internationaux une apparence de maîtrise financière , alors que les populations européennes subissaient et subissent toujours cette inflation . D'où une certaine contradiction apparente.......
BRUGIER PHILIPPE-ARNAUD- Régulier
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Date d'inscription : 17/01/2007
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Laure a écrit:Uncle Toby a écrit:— Ces milliards dont on nous dit qu'ils sont injectés, correspondent-ils à une réalité tangible, à une richesse réelle ? Et cette richesse est elle en réserve qu'on pût en faire profiter des banques en manque ? Ou n'est-ce qu'un jeu d'écritures qui, via la monnaie-monopole et la notion même de liquidité reporterait ce qui manque aux banques sur les banques centrales, donc, in fine, d'une manière ou d'une autre, même indéfiniment différée en apparence, sur tout le monde ?
Gagné, c'est bien un jeu d'écritures.
Pour tout dire je m'en doutais un peu
Mais j'avoue que le mécanisme exact qui permet à ce jeu de tromper tant de gens (qui il est vrai en sont peu curieux), et finalement de faire durablement illusion ne m'apparaît pas clairement.
Invité- Invité
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Ne dit-on pas Out of Thin Air.
Doug- Bizuth
- Nombre de messages : 8
Réputation : 0
Date d'inscription : 28/02/2007
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Qui croit en l'euro, au 9/11 et aux subrimes ?
Savoir quelles sont les mains cachées où sont leurs QG et autres think tanks devraient être les vraies questions à se poser.
Savoir quelles sont les mains cachées où sont leurs QG et autres think tanks devraient être les vraies questions à se poser.
Sparte- Régulier
- Nombre de messages : 201
Réputation : 6
Date d'inscription : 24/03/2007
Re: Les banques centrales et les banques périphériques
Je prends le débat au vol. Je ne peux pas être long. J'y reviendrai un de ces prochains jours.
Une seule chose : Uncle Toby a écrit :
La réalité tangible est donc celle des créances achetées - dans le langage technique, "prises en pension" dans le cadre national et "swap de monnaies" dans le cadre mondial -. Et les créances ne sont jamais que des reconnaissances de dette, qui ont comme valeur celle que les gens prêts à les acheter leur donnent !
Autre question de Uncle Toby :
Personne ne saurait connaître la limite, ni un voisinage où se trouve celle-ci. C'est la raison pour laquelle on se rend compte toujours trop tard, après coup, des chaos quand ils se réalisent. Le dernier chaos en date significatif a été, dans le "monde libre", celui de l'Argentine.
Et il y a eu aussi celui de l'URSS qui a amené celui du "monde esclavagiste".
Une seule chose : Uncle Toby a écrit :
Ma réponse est que la BCE achète des créances des banques - centrales ou de second rang - pour une certaine durée - quelques jours, quelques semaines ou quelques mois - contre monnaie qu'elle émet (elle crédite les comptes des banques en question) avec l'engagement de celles-ci qu'elles rachèteront leurs créances au prix convenu au départ, à la fin de la durée (leur compte sera alors débité et la monnaie émise annulée).Ces milliards dont on nous dit qu'ils sont injectés, correspondent-ils à une réalité tangible, à une richesse réelle ? Et cette richesse est elle en réserve qu'on pût en faire profiter des banques en manque ? Ou n'est-ce qu'un jeu d'écritures qui, via la monnaie-monopole et la notion même de liquidité reporterait ce qui manque aux banques sur les banques centrales, donc, in fine, d'une manière ou d'une autre, même indéfiniment différée en apparence, sur tout le monde ? (parce que simple manque de liquidités je veux bien, mais si ça manque c'est bien parce que les banques soupçonnent avoir perdu de l'argent, et leurs consoeurs avec elles, ce ne peut être le simple manque d'un moyen de paiement ?)
La réalité tangible est donc celle des créances achetées - dans le langage technique, "prises en pension" dans le cadre national et "swap de monnaies" dans le cadre mondial -. Et les créances ne sont jamais que des reconnaissances de dette, qui ont comme valeur celle que les gens prêts à les acheter leur donnent !
Autre question de Uncle Toby :
Ma réponse est que la limite est donnée par l'ensemble des marchés financiers où les épargnants/investisseurs mettent leur épargne.La BCE dit ne pas voir de terme pour l'intant. Mais sauf à imaginer que les banques centrales pussent créer indéfiniment de la monnaie au bas de feuilles de papier, laquelle monnaie aurait magiquement une valeur quelconque sans rapport avec la réalité, il doit bien y avoir une limite à leurs possibilités d'intervention ?
Personne ne saurait connaître la limite, ni un voisinage où se trouve celle-ci. C'est la raison pour laquelle on se rend compte toujours trop tard, après coup, des chaos quand ils se réalisent. Le dernier chaos en date significatif a été, dans le "monde libre", celui de l'Argentine.
Et il y a eu aussi celui de l'URSS qui a amené celui du "monde esclavagiste".
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