Brassotte est-elle dans les choux? (LJ du 01-05-2008)

Aujourd'hui, Jeudi 1er Mai, Brassotte nous refait le coup des vacances intempestives autant qu'inopinées (un adjectif qui semble si bien résumer toute sa "carrière" d'écrivaine...)

Pas de service Bd Murat en ce jour de Fête du Travail et d'Ascension réunies par les facéties du calendrier, l'Asinesque nazhysthérique des Quatre Jeudis...

Où peut-elle bien être retenue?
Sous les pommiers en fleurs... ou ne me dites pas qu'elle défile avec la CGT (elle pourrait, notez, - car, comme je la soupçonne d'être plutôt aller déshonorer la Pucelle avec Noeunoeil et sa famille, on devrait lui expliquer qu'à anti-sarkozysme et obsession antisémite égales, elle peut sans crainte adhérer dès demain à la LCR...)

A la place de ses bafouillis ordinaires, on eut donc droit à une redif d'une vieillerie de la nazionale Sotte-au-paf de la PED... Redif qu'on avait habilement (par une ruse qui sent à vingt lieues son 1100 qui ne veut rien f...tre de ses dix gros doigts) rebaptisée : "hommage"...


Prétexte : la mort d'un vieux tromblon qu'elle avait naguère produit dans sa dérision du Jeudi, et qui s'est éteint en Janvier (alors que, même vivant, à ce que j'ai capté au vol, il ne brillait déjà pas par ses lumières... )
Vous voyez le genre d'ici : un de ces sous-écrivains qu'elle aime à inviter, pour se donner le genre de parler "Littérature" à peu de frais.

Donc, elle nous a repassé (facile) la causerie qu'elle avait naguère commise avec le vieux...

Pas foutue (on la comprend) d'improviser toute seule une émission nécrologique digne de ce nom, et de tenir tout ce temps, sans répondant en face d'elle, à se torturer la permanente à essayer de trouver deux idées pour meubler le néant.


Notez qu'elle nous avait déjà fait le coup de la "redif-en-guise-d'hommage", pour honorer la mémoire de son complice ès-pu-putschs foirés, le Gras-Sketch... lui aussi "écrivain" comme un char leclerc s'y connaît en dentelle de Bruges...

Je remarque donc en passant :

1/ Que pour Brassotte, la cave aux archives et aux cassettes pourries n'a pas (comme dirait Varlet de Pied ou Roy d'on sait quoi) de "porte qui coince"...

2/ Que l'Ânette se permet bien des privautés avec l'Endive, qui n'eussent point été tolérées de feu Jean Ferré (R.I.P.)...(imaginer seulement dire à Ferré : "je ne peux pas être là, rediffusez un vieux machin de moi"... la réponse eût cinglé : "Ou vous vous faites remplacer, ou vous vous arrangez pour faire votre direct, comme à l'ordinaire".)


Mais, peut-être l'explication est-elle beaucoup plus simple : qui sait si, même pour la Brassotte, l'invité ne se fait pas de plus en plus rare (vu l'âge moyen du débris littéraire PEDiste, en effet, la ressource s'amenuise chaque hiver... et puis, dans un studio qui sent -dangereusement - le gaz, depuis le 9 Avril dernier...)

Ou alors, subodorerait-elle que "ce n'est même plus la peine" de se mettre en quatre (Jeudis) , vu que l'aventure R.(ex)C. commence décidément à sentir le sapin?...