Beketchaille du 20 mai

J'ai cru comprendre que cela entrait (comme d'habitude) dans la stratégie de Faquen en vue de son procès en "diffamation" contre le "minus habens", "l'arracheur de dent" et le "charlatan"...
C'est donc à l'audience que CR répondra.

Bav.

La différence de Messire avec les autres ENArques c'est qu'il prétent vouloir réformer le système. On voit dans le concret ce que çà donne ! Remuez de idées dans des Clubs pendant des decennies il en retera toujours quelque chose.

Euh...non. Il ne reste même plus les clubs en question. Dites-moi ce que sont devenus le CDH et VDF après leur usurpation, mon cher?
Des Rotary pour petits vieux qui émettent trois polycopiés miteux par an dont je ne voudrais pas pour la Fac de Tolbiac.

Bav.

Je faisais allusion par exemple au Club de l'Horloge ou HdL est sensé avoir réfléchi sur le fonctionnement de la société française contemporaine au regard de l'Histoire.

bacalou a écrit:Je faisais allusion par exemple au Club de l'Horloge ou HdL est sensé avoir réfléchi

« Un peu d'action !… il est temps ! »

(Céline)

Sans transition.

A propos de bobard, Quinquin, si tu nous parlais de ton AG du 30 juin 2005? Comment tu ne t'en rappelles plus?
C'est peut-être qu'elle n'a jamais eu lieu alors?

Parle-nous aussi du faux PV que tu as fait signer par ton domestique Varlet. On aimerait plus de détail. Tu sais que l'affaire nous intéresse grandement, espèce de petit usurpateur de banlieue ouest.

Certes tu n'es plus rien puisque c'est Monique le patron maintenant. (Grâce en soit rendu à l'estimé JLdC.).
Mais il conviendrait de rappeler que tu n'as JAMAIS rien été à RC.

Arrête de raconter des bobards, vieux. Et va réviser ton droit communautaire, petit fonctionnaire médiocre. J'ai l'impression (comme sur bcp de sujets entre nous) que tu as des lacunes.

J'attends tes réponses.

A propos de lacunes, ce cher Boukovsky vient opportunément nous rappeler à notre devoir de résistance vis à vis de tous ces ronds de cuir européens et subsidiaires, dont la vocation suprême est de nous rendre la vie impossible. Avec la nouvelle avancée du "machin fou" de Bruxelles enregistré cette semaine - il sont même allés jusqu'à menacer la Pologne d'exclusion - il devient plus qu'urgent de contrecarer le totalitatrisme bureaucratique. Confère l'interview ci-joint à propos de la fameuse "maison commune européenne" (tiens, c'est quoi au juste?) et du rapprochement entre le centralisme bureaucratique européen et son confrère de l'est. Avec de telles ambitions, il n'est pas étonnant que notre Quinquin de basse cour crie au fou à la simple pensée que Bruxelles aurait pu laisser échapper la libéralisation des régimes sociaux. Lisez donc la suite, c'est terrifiant: http://www.brusselsjournal.com/node/865

BRUGIER PHILIPPE-ARNAUD a écrit:ET CELA MONSIEUR DE LESQUEN , CELA N'EST PAS DES BOBARDS , MAIS LA STRICTE REALITE JURIDIQUE !!!!!!!!!!!!!

Moi je dis, ca va barder pour le Quinquin

Commission President Jose Barroso said he was happy that his son was studying law, because under the new treaty: "lawyers have a beautiful future.” Süddeutsche Zeitung (25 June 2007)

On peut faire confiance au nouveau duo comique (Auguste et le clown blanc) Faquen/B-sketch pour rapidement en finir avec RC.

L'affaire est pliée. Entre l'agent du sytème qui ne s'en prend exclusivement qu'aux politiciens de droite et qui a amené à la ruine et à la désolation toutes les assos de droite qu'il a usurpées (CDH, VDF-R95) et l'indic du même système qui a envoyé aux enfers tous les médias de droite qu'il a touchés (créés souvent par plus talentueux que lui), je ne donne pas cher de l'oeuvre de RC déjà totalement détournée de son objet.

Ces ineptes en font leur chose et ils la casseront (c'est déjà bien entamé) plutôt que la céder.

Pour paraphraser Chateaubriand quand il décrit cette vison d'horreur qu'il dut supporter en apercevant Fouché au bras de Talleyrand ("le crime au bras du vice"), on pourrait dire que nous avons à RC maintenant la haine au bras cassé de la fatuité.

Pour conclure,

Rappelons que SDB et Faquen s'aiment tellement qu'ils ont cherché mutuellement à s'exclure au début des troubles...(car les bras cassés se haïssent naturellement. Qui aimeraient-ils de toute façon?).

Les âmes charitables qui ont cru bon d'intervenir à ces occasions n'ont pas fait oeuvre utile à mon sens.

Le Roi-Lune de Versailles doit mal vivre de surcroît que SdB se présente partout à présent comme le "patron fondateur" de RC. Ce sera peut-être bientôt son fossoyeur également. Il faut dire que Sa Seigneurie tant qu'elle est sous la tutelle de Monique ne peut envoyer de lettres de cachet...

Fais gaffe à tes os, Serge. La prochaine fois la terreur du Quartier Saint-Louis ne te loupera pas. Ce ne sera pas faute de t'avoir prévenu.

Bav.

J'ai mis sur mon blog un texte intitulé

"Sécurité sociale et concurrence : une réforme constitutionnellement possible."

Ce texte est certes ancien - il date de plus de dix ans - mais il a été écrit par un excellent professeur de droit, Christian Mouly, avec qui j'avais commencé à travailler le sujet, en économiste, et que, malheureusement, la maladie a emporté.

La suite des événements n'a pas altéré l'importance des arguments exposés. Elle m'a même amené à écrire, entre autres, en 2003 "La concurrence des systèmes sociaux" et, en 2005, "La société civile et la protection sociale".

Sa lecture devrait rendre l'espoir à certains libreforumeurs et affecter la prétendue omniscience des fora barbares .

Les Grands Esprits se rencontrent :

Mais , il faudra que Georges Lane , dise enfin à Radio Courtoisie , que le monopole de la Sécurité Sociale a BEL ET BIEN été abrogé , par les Directives Européennes 92/49/CEE , 92/50/CEE et 92/96/CEE , par la Loi du 19 Avril 2001 visée par ces Directives , par le Décrêt du 23 Novembre 2001 , portant création du Registre National des Mutuelles et visé par ces Directives , par l'Ordonnance du 12 Novembre 2004 , aussi visée par ces Directives , considérant le caractère financier des Mutuelles , des Assurances , et des Institutions de Prévoyance , afin de les mettre en concurrence !!!!!!!!

Je pourrai fournir à Georges Lane TOUTES LES INFORMATIONS NECESSAIRES , à ce sujet !!!!!

Heu... Je pense que Georges Lane est un peu informé du sujet.

Je voulais juste faire un petit rappel piquant. Pour l’Université annuelle du Club de l’Horloge du 18 novembre 1986 à Aix-en-Provence, l’usurpateur n’avait pas hésité à solliciter, à ouïr, puis à publier sous la marque CDH un exposé de celui qu’il a aujourd'hui le toupet de qualifier de "charlatan" !

Par ailleurs, ce texte développé et enrichi d’autres, avait donné un très bon petit bouquin publié par un valeureux éditeur indépendant.

Georges Lane n'est peut-être pas entièrement convaincu que l'obligation de payer la Sécu a disparu. Peut-être faudra-t-il une décision de la cour européenne qui rappelle que c'est au nom de la libre concurrence que le monopole a été supprimé, et que la concurrence ne serait pas loyale si les clients d'un assureur privé devaient aussi payer pour le monstre.

Rantanplan m'a subtilisé un os !

J'ai eu en effet l'occasion, entre autres, sur La page libérale , sur le blog de Laure Allibert et sur mon blog de dire qu'il y avait deux questions à bien distinguer :
* la question du monopole - qui du point de vue de la théorie économique nous situe du côté de l'offre - et
* la question de l'obligation de cotiser à l'OSSO (organisation de sécurité sociale obligatoire) - qui du point de vue de la théorie économique nous situe du côté de la demande -.

Les hommes de l'Etat et leurs sicaires jouent en France sur le silence enveloppant ce Janus.

Le fait est que les arguments juridiques faisant valoir la disparition du monopole situent du côté de l'offre. Ils me semblent logiques , mais je ne suis pas juriste.

En économiste, je m'intéresse aussi au côté de la demande et je considère que les textes communautaires sont muets sur ce côté.
Selon moi - et en particulier à la suite de la lecture de ce que Jacques Rueff a écrit sur le sujet dans la décennie 1950, il était alors président de chambre à la Cour de justice de Luxembourg -, le droit communautaire et le marché institutionnel "européen" à quoi donne lieu ce droit mettant de côté la demande, il y a toujours "obligation de cotiser à l'OSSO" .

Le point qui me semble donc essentiel aujourd'hui pour que la situation soit reconnue est que les juristes se préoccupent de mettre fin au silence fait sur ce dernier point.
Il faut qu'ils démontrent que l'obligation est en opposition avec la philosophie du droit communautaire - même calée du côté de l'offre -, à savoir la liberté de l'être humain, et cela, même si Jacques Rueff a pu écrire en 1958 que le marché institutionnel était une zone de "laisser-passer" (sic) et non pas une "zone de laisser-faire" (sic).

C'était la voie dans laquelle Christian Mouly s'engageait.