JG Malliarakis part !!!!

Un grand merci à vous, Comte Zaroff, pour nous permettre de voir enfin la fameuse émission d'Apostrophe où tous les protagonistes étaient jeunes.
Il m'est étrange de voir Alain de Benoist imberbe !
Quant à vous, cher Mac Carthy, vous m'inquiétez ! Seriez-vous en train de vous gréciser ? Allez-vous remplacer la citation de Ronny par une autre néo-droitiste ? Allez-vous devenir le porte-parole d'Eléments sur ce forum ? Je tiens aussi (et surtout) à saluer votre honnêteté intellectuelle.
Bonne continuation et bonne soirée à tous. Moi, je et

L'émission est d'un ennui mortel. Tout comme la nouvelle droite d'ailleurs. Lansquenet, ne vous fâchez pas, je ne parlais pas des idées, mais des personnes!

Pour les très nostalgiques qui veulent néanmoins se donner du coeur au ventre, de l'espoir aux tripes, pour se dire qu'être de droite a encore un vrai sens, pour sortir de l'enlisement actuel dans les idéologies, voici ceci, qui reste finalement très actuel.

Jean Cau reste indépassable.

http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&from=fulltext&full=jean+cau&num_notice=1&total_notices=22

Et cela, qui prouve l'intelligence et l'ouverture d'esprit des hommes de droite de l'époque.

http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&from=fulltext&full=jean+cau&num_notice=4&total_notices=22

La prétendue "Nouvelle droite" mène à tout... à condition d'en sortir.
Le Quinquin est peut-être vulgaire, certainement prétentieux, parfois grotesque, souvent insupportable... mais il faut lui laisser qu'il n'y est pas resté.

Rantanplan a écrit:Le Quinquin est peut-être vulgaire, certainement prétentieux, parfois grotesque, souvent insupportable... mais il faut lui laisser qu'il n'y est pas resté.

Y est-il jamais entré, d'ailleurs? Je ne crois pas. Pour moi, HDL représente cet infect microcosme des nomenklaturistes qui prêchent le capitalisme libéral dont ils prétendent implicitement être les seuls à pouvoir le bien diriger. Il est de ces hauts fonctionnaires français convaincus d'appartenir à une race supérieure dont les spécimens, quand ils ne pantouflent pas en toute bonne conscience dans les grands groupes incestueusement dirigés, légitiment le pantouflage et le mélange des genres "à la française" en usant de circonvolutions idéologiques vainement horlogères.
"Chacun à sa place": une maxime gaullienne inaccessible à leur mode de pensée. Non, eux, ce serait plutôt "je suis partout"...

Quant à la "nouvelle droite", pour moi, elle se résume essentiellement à Alain de Benoist. La "nouvelle droite" n'existe plus. Je suis redevable à Benoist de m'avoir formé politiquement, d'une certaine manière. Merci Benoist. Et au revoir! Il s'assoupit, il s'embourgeoise, il se ramollit à vue d'oeil. Il s'emberlificote dans les citations. Il devient franchement rasoir. A vouloir se poser en penseur de référence, il se fait prosateur de révérence. Ce fut tout de même autre chose, et je préfère en rester à cet autre chose.
La soif de respectabilité conjuguée au syndrome du douillet confort groupusculaire des "lettres confidentielles" (en effet!) et des joutes sous pseudonymes dans des forums pour initiés ne fait pas des ravages qu'à Radio Courtoisie! Et je ne parle pas là que de HDL!...
Quant aux satellites de Robert de Herte, je n'ai jamais été impressionné. C'est la lecture de Champetier qui m'a définitivement vacciné contre la pieuse lecture des feuilles de chou paroissiales de la ND. Guy Debord avait-il vraiment besoin d'une paraphrase néo-droitiste? Fallait-il tenter l'audacieuse synthèse de Maurice Bardèche et de Gilles Deleuze?...
Tout ce petit monde a un peu oublié que la politique ne se fait pas en écrivant des livres.

Comte Zaroff a écrit:L'émission est d'un ennui mortel. Tout comme la nouvelle droite d'ailleurs. Lansquenet, ne vous fâchez pas, je ne parlais pas des idées, mais des personnes!

Pour les très nostalgiques qui veulent néanmoins se donner du coeur au ventre, de l'espoir aux tripes, pour se dire qu'être de droite a encore un vrai sens, pour sortir de l'enlisement actuel dans les idéologies, voici ceci, qui reste finalement très actuel.

Jean Cau reste indépassable.

Cher Comte Zaroff,

Personnellement, je suis nostalgique d'Apostrophe qui élevait un peu le niveau intellectuel par rapport à ce qu'on fait maintenant avec le trio nuisible Ruquier - Fogiel - Ardisson. Aujourd'hui, ces histrions n'oseraient pas inviter un de la « N.D. ». Que ferait d'ailleurs un néo-droitiste dans ce genre d'émission stupide ? Cela serait, à mon avis, une perte de temps inutile.
Pour Cau, je partage votre opinion. Ses pamphlets des années 1970 sont remarquables.

Rantanplan a écrit: La prétendue "Nouvelle droite" mène à tout... à condition d'en sortir.
Le Quinquin est peut-être vulgaire, certainement prétentieux, parfois grotesque, souvent insupportable... mais il faut lui laisser qu'il n'y est pas resté.

Permettez-moi, cher Rantanplan, de vous rappeler que le GRECE ne s'est jamais intitulé « Nouvelle Droite », terme donné par la Grande Presse lors de la campagne de l'été 1979. Cette expression fut un temps reprise par Eléments « la revue de la N.D. ». Le débat fit rage dans les années 1980 entre les tenants de l'expression « N.D. » et ceux qui proposaient « Nouvelle culture européenne ».
Quant aux liens entre Henry de Lesquen et la N.D., j'en parle ci-dessous.

Comte Zaroff a écrit:

Rantanplan a écrit:Le Quinquin est peut-être vulgaire, certainement prétentieux, parfois grotesque, souvent insupportable... mais il faut lui laisser qu'il n'y est pas resté.

Y est-il jamais entré, d'ailleurs? Je ne crois pas. Pour moi, HDL représente cet infect microcosme des nomenklaturistes qui prêchent le capitalisme libéral dont ils prétendent implicitement être les seuls à pouvoir le bien diriger. Il est de ces hauts fonctionnaires français convaincus d'appartenir à une race supérieure dont les spécimens, quand ils ne pantouflent pas en toute bonne conscience dans les grands groupes incestueusement dirigés, légitiment le pantouflage et le mélange des genres "à la française" en usant de circonvolutions idéologiques vainement horlogères.
"Chacun à sa place": une maxime gaullienne inaccessible à leur mode de pensée. Non, eux, ce serait plutôt "je suis partout"...

Quant à la "nouvelle droite", pour moi, elle se résume essentiellement à Alain de Benoist. La "nouvelle droite" n'existe plus. Je suis redevable à Benoist de m'avoir formé politiquement, d'une certaine manière. Merci Benoist. Et au revoir! Il s'assoupit, il s'embourgeoise, il se ramollit à vue d'oeil. Il s'emberlificote dans les citations. Il devient franchement rasoir. A vouloir se poser en penseur de référence, il se fait prosateur de révérence. Ce fut tout de même autre chose, et je préfère en rester à cet autre chose.
La soif de respectabilité conjuguée au syndrome du douillet confort groupusculaire des "lettres confidentielles" (en effet!) et des joutes sous pseudonymes dans des forums pour initiés ne fait pas des ravages qu'à Radio Courtoisie! Et je ne parle pas là que de HDL!...
Quant aux satellites de Robert de Herte, je n'ai jamais été impressionné. C'est la lecture de Champetier qui m'a définitivement vacciné contre la pieuse lecture des feuilles de chou paroissiales de la ND. Guy Debord avait-il vraiment besoin d'une paraphrase néo-droitiste? Fallait-il tenter l'audacieuse synthèse de Maurice Bardèche et de Gilles Deleuze?...
Tout ce petit monde a un peu oublié que la politique ne se fait pas en écrivant des livres.

Cher Comte Zaroff,

Contrairement à vous, je pense que Henry de Lesquen et son Club font partie de la N.D., dans une version plus acceptable et donc plus respectable, car la N.D. est une constellation principalement constituée de personnes qui cherchent à transformer en théories métapolitiques leurs désaccords personnels, d'où cet éclatement.
Il y a - navré pour l'énumération ! - :
— le Club de l'Horloge,
— Polémia de Jean-Yves Le Gallou,
— Le GRECE et ses dissidences souvent féroces, à savoir :
— Terre et Peuple de Pierre Vial,
— Guillaume Faye, proche de Vial, mais qui est un électron libre (génial mais fantasque),
— Synergies européennes de Robert Steuckers.
Et je ne vous mentionne pas les réceptacles du deuxième cercle comme la NRH de Dominique Venner ou les Identitaires !!!
Bref, chacun fait son petit bout de chemin sans oublier de polémiquer avec les autres !

Comte Zaroff a écrit:
Quant aux satellites de Robert de Herte, je n'ai jamais été impressionné. C'est la lecture de Champetier qui m'a définitivement vacciné contre la pieuse lecture des feuilles de chou paroissiales de la ND. Guy Debord avait-il vraiment besoin d'une paraphrase néo-droitiste?

Charles Champetier, personne fort brillante, fut pendant dix ans (de ses 20 ans à ses 30 ans) le n° 2 de la « N.D. » et fut un temps considéré comme le successeur d'Alain de Benoist avant de cesser toute activité et de se retirer de la vie métapolitique.

Comte Zaroff a écrit:
Tout ce petit monde a un peu oublié que la politique ne se fait pas en écrivant des livres.

Entièrement d'accord avec vous. Pierre Vial associe, lui, combat culturel et combat politique d'abord au FN, puis au MNR et maintenant à Europe Identité et à Terre et Peuple.

Comte Zaroff a écrit:
Guy Debord avait-il vraiment besoin d'une paraphrase néo-droitiste?

Bien que marxiste, Debord est un penseur intéressant (ou en tout cas non négligeable). Et puis un homme qui lit Retz n'est pas totalement mauvais…

Comte Zaroff a écrit:
Fallait-il tenter l'audacieuse synthèse de Maurice Bardèche et de Gilles Deleuze?...

Serait-ce une allusion à Maurice G. Dantec ?

Cher Lansquenet,

Vous avez parfaitement raison: la ND est une nébuleuse bien plus vaste que le simple GRECE. Mais A. de B. reste pour moi la figure de proue la plus remarquable de cette nébuleuse. Quant à HDL et à son horlogerie, hier comme aujourd'hui, ce ne sont que minables tentatives, ratées d'ailleurs, de séduction mielleuse des "élites" et d'entrisme maladroit dans les "cercles du pouvoir", sur fond de profondes névroses personnelles et de brouilles intempestives entre profonds névrosés.
Le GRECE a produit des textes. Le Club de l'Horloge n'a même pas réussi à jamais donner l'heure exacte!

J'aime bien Debord: ce n'est pas du tout lui que je mettais en cause!! Je ne suis hostile à aucun penseur intelligent qui m'enrichit, quelque soit sa chapelle, son "lieu" ou ses "tendances". Ce que je n'aime pas, c'est la logorrhée en forme de paraphrase des grands penseurs, spécialité bien française entretenue de génération en génération au nom de la soi-disant "culture générale" et qui tient lieu de "débat intellectuel" entre prosateurs poseurs. Champetier, garçon intelligent au demeurant, a-t-il compris qu'il était tombé dans ce travers?

Dantec, comment vous dire? Son cas ne relève pas pour moi du domaine de la "pensée politique" mais de la médecine générale: une meilleure hygiène de vie, moins de lecture sous fumette, moins de vodka au petit-déjeuner, moins d'ecsta entre deux chapitres, moins d'amphét à l'heure du thé, et surtout plus de promenades en plein air et plus de ballades sur le "théâtre des opérations", comme il dit...

Pour les uns comme pour les autres, la métapolitique en chambre a ses limites!

Comte,

Sur Champetier je serai moins sévère que vous, même s’il est vrai que ce garçon a présenté tous les symptômes de la ND que vous analysez très justement. Ce qui l’a à mon sens perdu intellectuellement c’est qu’il est tombé totalement dans le chaudron de l’idéologie de la dénonciation de « la marchandisation du monde, l’axiomatique de l’intérêt, et la réification des rapports sociaux en lui opposant le don et le contre-don ». Derrière ce verbiage un peu minable se cachait un garçon plus intéressant. Quant à cette construction idéologique, en réalité un lego fait de bric et de broc, dont les pièces ont été empruntées pour une grande part à la gauche du Mauss, ce n’était que du « josé-bovisme » droitisé. Non pas d’ailleurs que tout y soit faux ou inintéressant mais c’est, disons, très exagéré. Et cela permet aussi d’éviter certains sujets beaucoup plus réels, mais plus risqués à aborder.

Comte Zaroff a écrit:Cher Lansquenet,

Vous avez parfaitement raison: la ND est une nébuleuse bien plus vaste que le simple GRECE. Mais A. de B. reste pour moi la figure de proue la plus remarquable de cette nébuleuse. Quant à HDL et à son horlogerie, hier comme aujourd'hui, ce ne sont que minables tentatives, ratées d'ailleurs, de séduction mielleuse des "élites" et d'entrisme maladroit dans les "cercles du pouvoir", sur fond de profondes névroses personnelles et de brouilles intempestives entre profonds névrosés.
Le GRECE a produit des textes. Le Club de l'Horloge n'a même pas réussi à jamais donner l'heure exacte!

J'aime bien Debord: ce n'est pas du tout lui que je mettais en cause!! Je ne suis hostile à aucun penseur intelligent qui m'enrichit, quelque soit sa chapelle, son "lieu" ou ses "tendances". Ce que je n'aime pas, c'est la logorrhée en forme de paraphrase des grands penseurs, spécialité bien française entretenue de génération en génération au nom de la soi-disant "culture générale" et qui tient lieu de "débat intellectuel" entre prosateurs poseurs. Champetier, garçon intelligent au demeurant, a-t-il compris qu'il était tombé dans ce travers?

Dantec, comment vous dire? Son cas ne relève pas pour moi du domaine de la "pensée politique" mais de la médecine générale: une meilleure hygiène de vie, moins de lecture sous fumette, moins de vodka au petit-déjeuner, moins d'ecsta entre deux chapitres, moins d'amphét à l'heure du thé, et surtout plus de promenades en plein air et plus de ballades sur le "théâtre des opérations", comme il dit...

Pour les uns comme pour les autres, la métapolitique en chambre a ses limites!

Cher Comte Zaroff,

Je partage entièrement votre avis sur la N.D. et sur Dantec qui est un vrai « dingue littéraire » (il devrait plaire à certains participants de ce forum…), mais n'est pas Léon Bloy qui veut !

Sur Champetier je serai moins sévère que vous, même s’il est vrai que ce garçon a présenté tous les symptômes de la ND que vous analysez très justement. Ce qui l’a à mon sens perdu intellectuellement c’est qu’il est tombé totalement dans le chaudron de l’idéologie de la dénonciation de « la marchandisation du monde, l’axiomatique de l’intérêt, et la réification des rapports sociaux en lui opposant le don et le contre-don ». Derrière ce verbiage un peu minable se cachait un garçon plus intéressant. Quant à cette construction idéologique, en réalité un lego fait de bric et de broc, dont les pièces ont été empruntées pour une grande part à la gauche du Mauss, ce n’était que du « josé-bovisme » droitisé. Non pas d’ailleurs que tout y soit faux ou inintéressant mais c’est, disons, très exagéré. Et cela permet aussi d’éviter certains sujets beaucoup plus réels, mais plus risqués à aborder.

Cher Hannibal,

Je suis assez d'accord avec vous. Charles Champetier a peut-être eu ras-le-bol de faire toutes les revues grécistes d'Eléments à Nouvelle Ecole en passant par Krisis !!! A-t-il voulu relâcher un peu la pression pour s'occuper de sa petite et nombreuse famille (je crois qu'il a cinqu ou six enfants !) ? A-t-il été las du « parisanisme intello » comme le furent en leur temps Guillaume Faye, Robert Steuckers et les contestataires des « Critiques dextristes » du printemps 2000 ?
Je pense de plus en plus que la N.D. est surtout une affaire de génération (ceux qui sont nés entre 1942 et 1947), d'où ses échecs répétitifs avec les jeunes générations… Bref, un beau gâchis !

Je serai sans doute moins sévère que vous, messieurs. J'ai beaucoup reçu d'A de B, y compris lorsque je l'ai durement critiqué pour son néo-paganisme assez éloigné du véritable : un adversaire qui donne à penser fait tout de même un cadeau magnifique. Et je lis toujours Eléments avec intérêt... du moins quand je parviens à le trouver.
Il m'arrive même de fréquenter l'Agora du GRECE où j'ai du poster cinq messages en deux ou trois mois. Je ne suis pas toujours d'accord avec ce qui s'y écrit, j'ai des réserves sur les noces d'une tradition largement fantasmatique avec l'écologie la plus haineuse vis à vis des oeuvres humaines et je ne crois pas que le bonheur absolu suivrait un retour collectif au néolithique, mais j'y trouve du grain à moudre, des interrogations, des objections intéressantes à mes propres questionnements.
Je n'en dirais pas autant du Club de l'Horloge. J'ai essayé de lire leurs publications, du moins les articles en ligne, pour me faire honnêtement une idée de ce qu'ils étaient devenus. Je n'ai pas réussi à dépasser les deux premières pages, jamais. Le sommeil irrésistible m'entraînait dans ses rets... J'ai bien essayé de me pincer, redoutant que l'âge, brusquement, n'amoindrisse mes facultés intellectuelles. Peine perdue. J'ai culpabilisé, mais abandonné.
Si ça l'a jamais été, ce n'est plus le même monde. Et je dois dire que leur (Club de l'Horloge) façon de présenter le libéralisme me l'avait fait rejeter assez violemment. C'est Mallia, avec son Insolent qui a corrigé cette désastreuse première impression.

Chère Guinevere,

Alain de Benoist est un formidable penseur dont j'apprécie toujours les analyses quand bien même elles contredisent celles de Pierre Vial ou de Guillaume Faye.
Si vous êtes à Paris, sachez que Eléments se trouve souvent dans des librairies amies comme La Licorne bleue, la Librairie nationale ou Primatice. On arrive aussi à trouver quelques n° dans les Relais H près des gares.
Le Club de l'Horloge se veut libéral, national et démocrate. Cela me fait penser à la quadrature du cercle… Bon, mais il cherche à réfléchir, c'est déjà ça…

Oui, c'est simplement que mes circuits obligés (boulot boulot) ne m'amènent pas souvent à proximité des librairies amies. Mais je viens de trouver le dernier n° à l'un des relais H des Halles, sur le quai du RER B.