Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
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Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Monsieur,
Il est discourtois, alors que vous savez que je suis inscrit sur ce forum, de parler de moi à l'encan ... Mais ce n'est rien à coté du reste !
J'avais bien annoncé que vous étiez un homme dangereux et vous venez de le prouver. Avez-vous répondu aux questions de fonds qui vous étaient posées ? La réponse est non bien évidemment, vous avez plutôt cherché à biaiser en cherchant les petites failles qui vous permettraient, selon votre noble habitude, de déstabiliser celui que vous prenez immédiatement pour un adversaire, en l'humiliant. Et le plus attristant c'est que généralement ça marche ! D'ailleurs d'aucuns le savent si bien qu'ils prennent tout de suite leurs précautions à en juger par l'attitude du responsable du blog de Radio Courtoisie qui s'est empressé de prendre votre défense en certifiant que vous étiez à ses yeux plutôt (j'adore le "plutôt") "respectable" . Mais je n'avais jamais dit que vous n'étiez pas respectable et, voyez-vous, Monsieur, pour moi curieusement votre "sale caractère" était plutôt une preuve d'honorabilité. D'ailleurs j'écoute, quand cela m'est loisible, vos émissions, et meme si je suis loin d'etre toujours en accord avec vous, je ne vous ai jamais agressé verbalement que je sache. J'avoue meme réécouter parfois quelques cassettes de vos "rocambolesques sorties" (celle par exemple où vous imitez les rappeurs est désopilante).
Puis également, étrangement, alors que je n'avais fait que rapporter des faits authentiques, qui auraient du d'ailleurs en choquer plus d'un, j'ai eu la surprise de voir s'afficher, en rouge, la mention indiquant qu'une telle initiative ne saurait qu'engager son émetteur. Il est vrai qu'on est jamais assez prudent ! Enfin passons...
Vous me traitez, en guise d'apéritif, de veneur "faisandé". Je me permettrais tout d'abord de vous faire remarquer qu'un veneur ne chasse que "le poil". Et puis si je ne m'abuse, en bas-français, le terme de faisandé veut bien dire "pourri", "vendu". Sur quelles bases osez-vous ainsi me diffamer ? D'ailleurs j'observe qu'aucune médiatisation n'est intervenue à ce sujet ("selon que vous serez petit ou puissant etc").. Car enfin mon casier judiciaire est totalement vierge et n'a jamais été noirci. Mais j'y viens, en lisant la suite : sous le prétexte débile que je ne serais peut-être après tout que CR ou OP soi-mêmes, vous voulez peut-etre me faire comprendre que j'aurais pu avoir été "acheté", mais vous délirez Monsieur ! Sachez que j'avais bien annoncé, sur ce forum, le plus clairement possible : "Je ne suis d'aucune faction, je les combattrai toutes". Rassurez-vous je suis seul et c'est bien seul que je devrai me défendre en cas d'attaque comme celle-la.
Mais n'était pas suffisant vous avez encore tenté un coup tordu supplémentaire encore plus bas, en vous gaussant d'une apparente faute d'orthographe (au demeurant grave). Sachez Monsieur que je suis comme certains : relire ma prose est pour moi un supplice mais je m'y astreins du mieux possible. Je pense que, par la magie de la Gestalt théorie, j'ai imprimé dans mon esprit "toutes les puissances". Evidemment je ne suis pas un agrégé de grammaire, je n'ai que cinq diplômes de l'enseignement supérieur mais, je le confesse, pas dans le secteur littéraire. D'ailleurs je vous le dis très simplement ce n'est pas la première faute que j'ai osé commettre et ce ne sera pas la dernière ! J'en vois aussi passer ici et je ne permets pas de jouer les pédants en le faisant lourdement remarquer à leurs auteurs ... (à suivre)
Il est discourtois, alors que vous savez que je suis inscrit sur ce forum, de parler de moi à l'encan ... Mais ce n'est rien à coté du reste !
J'avais bien annoncé que vous étiez un homme dangereux et vous venez de le prouver. Avez-vous répondu aux questions de fonds qui vous étaient posées ? La réponse est non bien évidemment, vous avez plutôt cherché à biaiser en cherchant les petites failles qui vous permettraient, selon votre noble habitude, de déstabiliser celui que vous prenez immédiatement pour un adversaire, en l'humiliant. Et le plus attristant c'est que généralement ça marche ! D'ailleurs d'aucuns le savent si bien qu'ils prennent tout de suite leurs précautions à en juger par l'attitude du responsable du blog de Radio Courtoisie qui s'est empressé de prendre votre défense en certifiant que vous étiez à ses yeux plutôt (j'adore le "plutôt") "respectable" . Mais je n'avais jamais dit que vous n'étiez pas respectable et, voyez-vous, Monsieur, pour moi curieusement votre "sale caractère" était plutôt une preuve d'honorabilité. D'ailleurs j'écoute, quand cela m'est loisible, vos émissions, et meme si je suis loin d'etre toujours en accord avec vous, je ne vous ai jamais agressé verbalement que je sache. J'avoue meme réécouter parfois quelques cassettes de vos "rocambolesques sorties" (celle par exemple où vous imitez les rappeurs est désopilante).
Puis également, étrangement, alors que je n'avais fait que rapporter des faits authentiques, qui auraient du d'ailleurs en choquer plus d'un, j'ai eu la surprise de voir s'afficher, en rouge, la mention indiquant qu'une telle initiative ne saurait qu'engager son émetteur. Il est vrai qu'on est jamais assez prudent ! Enfin passons...
Vous me traitez, en guise d'apéritif, de veneur "faisandé". Je me permettrais tout d'abord de vous faire remarquer qu'un veneur ne chasse que "le poil". Et puis si je ne m'abuse, en bas-français, le terme de faisandé veut bien dire "pourri", "vendu". Sur quelles bases osez-vous ainsi me diffamer ? D'ailleurs j'observe qu'aucune médiatisation n'est intervenue à ce sujet ("selon que vous serez petit ou puissant etc").. Car enfin mon casier judiciaire est totalement vierge et n'a jamais été noirci. Mais j'y viens, en lisant la suite : sous le prétexte débile que je ne serais peut-être après tout que CR ou OP soi-mêmes, vous voulez peut-etre me faire comprendre que j'aurais pu avoir été "acheté", mais vous délirez Monsieur ! Sachez que j'avais bien annoncé, sur ce forum, le plus clairement possible : "Je ne suis d'aucune faction, je les combattrai toutes". Rassurez-vous je suis seul et c'est bien seul que je devrai me défendre en cas d'attaque comme celle-la.
Mais n'était pas suffisant vous avez encore tenté un coup tordu supplémentaire encore plus bas, en vous gaussant d'une apparente faute d'orthographe (au demeurant grave). Sachez Monsieur que je suis comme certains : relire ma prose est pour moi un supplice mais je m'y astreins du mieux possible. Je pense que, par la magie de la Gestalt théorie, j'ai imprimé dans mon esprit "toutes les puissances". Evidemment je ne suis pas un agrégé de grammaire, je n'ai que cinq diplômes de l'enseignement supérieur mais, je le confesse, pas dans le secteur littéraire. D'ailleurs je vous le dis très simplement ce n'est pas la première faute que j'ai osé commettre et ce ne sera pas la dernière ! J'en vois aussi passer ici et je ne permets pas de jouer les pédants en le faisant lourdement remarquer à leurs auteurs ... (à suivre)
veneur- Régulier
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Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Monsieur Serge de Beketch a tout faux (suite)
A propos de la petite phrase qui m'a échappé et selon laquelle "je n'aurai plus rien à perdre des puissants", le fait de la relier au "vous en avez fait l'expérience" et au "veneur faisandé" donne son caractère immonde à vos digressions.
A mon corps défendant je vais être obligé de livrer une partie de ma vie personnelle : j'ai vécu professionnellement les procès "staliniens", la tentative de m'utiliser comme homme de paille, la faillite d'un patron parti avec la caisse, une "machination" (et seuls les avocats spécialisés savent ce que cela veut dire !) : requalification fiscale arbitraire, perte mystérieuse de points de retraite etc. et le pire : une vaccination d'un fils officier parachutiste, depuis atteint d'une très grave maladie. Vous comprendrez les distances que je peux prendre désormais vis à vis d'agressions de pacotille ou de discussions éthérées.
Mais comme je prétends être catholique, je vous pardonne mais c'est justement sur ce terrain là que j'entends croiser les fers avec vous ! Et là, vous allez avoir toutes les raisons de réellement me détester. Sachez, Monsieur, que je suis catholique tendance abbé Pierre, mâtiné de gnosticisme (oh pas celui décrit par un certain philosophe de gauche, non simplement celui des premiers chrétiens). C'est à dire que je pense que la hiérarchie de l'église s'est octroyée des pouvoirs exorbitants, sans rapport avec le message du Christ. Tout ceci pour vous dire que certaines de vos émissions me donnent de gros boutons quand j'entends des gloses infinies sur des sujets ultra mineurs (du moins à mes yeux) et des dissensions, étalées sur la place publique, très préjudiciables à l'unité de la chrétienté et à la soif de repères de beaucoup d'êtres humains.
Espérant que vous comprendrez que vous m'avez profondément blessé, sachez que si vous considérez la réciproque comme vraie je suis prêt à cesser la polémique à votre égard, étant donné que vous avez eu le courage de venir sur ce forum, qui n'est pas un chaud partisan de l'équipe dirigeante actuelle de Radio Courtoisie, mais toutefois pas encore celui d'inviter à votre émission un digne représentant (c'est à dire surtout pas moi) de celui-ci.
Sincères salutations
A propos de la petite phrase qui m'a échappé et selon laquelle "je n'aurai plus rien à perdre des puissants", le fait de la relier au "vous en avez fait l'expérience" et au "veneur faisandé" donne son caractère immonde à vos digressions.
A mon corps défendant je vais être obligé de livrer une partie de ma vie personnelle : j'ai vécu professionnellement les procès "staliniens", la tentative de m'utiliser comme homme de paille, la faillite d'un patron parti avec la caisse, une "machination" (et seuls les avocats spécialisés savent ce que cela veut dire !) : requalification fiscale arbitraire, perte mystérieuse de points de retraite etc. et le pire : une vaccination d'un fils officier parachutiste, depuis atteint d'une très grave maladie. Vous comprendrez les distances que je peux prendre désormais vis à vis d'agressions de pacotille ou de discussions éthérées.
Mais comme je prétends être catholique, je vous pardonne mais c'est justement sur ce terrain là que j'entends croiser les fers avec vous ! Et là, vous allez avoir toutes les raisons de réellement me détester. Sachez, Monsieur, que je suis catholique tendance abbé Pierre, mâtiné de gnosticisme (oh pas celui décrit par un certain philosophe de gauche, non simplement celui des premiers chrétiens). C'est à dire que je pense que la hiérarchie de l'église s'est octroyée des pouvoirs exorbitants, sans rapport avec le message du Christ. Tout ceci pour vous dire que certaines de vos émissions me donnent de gros boutons quand j'entends des gloses infinies sur des sujets ultra mineurs (du moins à mes yeux) et des dissensions, étalées sur la place publique, très préjudiciables à l'unité de la chrétienté et à la soif de repères de beaucoup d'êtres humains.
Espérant que vous comprendrez que vous m'avez profondément blessé, sachez que si vous considérez la réciproque comme vraie je suis prêt à cesser la polémique à votre égard, étant donné que vous avez eu le courage de venir sur ce forum, qui n'est pas un chaud partisan de l'équipe dirigeante actuelle de Radio Courtoisie, mais toutefois pas encore celui d'inviter à votre émission un digne représentant (c'est à dire surtout pas moi) de celui-ci.
Sincères salutations
veneur- Régulier
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Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cher intervenant,
Je précise aussi que notre remarque est antérieure à l'inscription de SdB.
Maintenant que la personne visée est inscrite, vous assumez.
Merci aussi de ne pas considérer que nous sommes vos adversaires.
Cordialement.
Le titre de votre sujet nous semblait inutilement enflammé surtout ramené à ce que vous indiquez dans votre premier message. Nous avions envisagé de changer le titre. Mais nous n'avons pas la possibilité ni vraiment la vocation de réparer toutes les facilités que se donnent les intervenants. Nous nous sommes contentés d'une note pour indiquer que la philosophie du site n'est pas de laissser tirer à vue sur les patrons d'émission de RC quelque ait été leur rôle dans l'usurpation.veneur a écrit:Puis également, étrangement, alors que je n'avais fait que rapporter des faits authentiques, qui auraient du d'ailleurs en choquer plus d'un, j'ai eu la surprise de voir s'afficher, en rouge, la mention indiquant qu'une telle initiative ne saurait qu'engager son émetteur. Il est vrai qu'on est jamais assez prudent ! Enfin passons...
Je précise aussi que notre remarque est antérieure à l'inscription de SdB.
Maintenant que la personne visée est inscrite, vous assumez.
Ne vous inquiétez pas pour cela, mon cher. On saura remettre tout le monde à sa place, même les stars en sursis du mercredi soir. "Faisandé" me paraît en effet "excessif" et discourtois (et peu flatteur pour la personne qui l'emploie) mais vous auriez dû soupeser l'effet de "coup tordu" sur l'orgueil de n'importe qui.veneur a écrit:D'ailleurs j'observe qu'aucune médiatisation n'est intervenue à ce sujet ("selon que vous serez petit ou puissant etc")...
Merci aussi de ne pas considérer que nous sommes vos adversaires.
Cordialement.
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Vous êtes tout de même assez impayables !
Je suis traité de tous les noms sur ce forum, d’homme dangereux, de menteur, de vendu, d’irresponsable. Je viens m’expliquer à visage découvert sans me cacher comme d’autres derrière un nom d’emprunt et, pour une innocente plaisanterie sur le pseudo d’un membre du forum, je suis décrété indigne !
Voilà bien des susceptibilités !
Mais puisque c’est ainsi, je présente mes excuses à Veneur. Je suis sincèrement désolé de l’avoir blessé Je n’avais pas le droit de sous-entendre qu’il était pourri puisque je ne le connais pas.
On avouera cependant qu’avec un tel pseudo, la plaisanterie (de mauvais goût, je le concède) était tentante. Or, comme le savent ceux qui m’écoutent, je résiste à toutes sauf à la tentation d’une plaisanterie de mauvais goût.
A présent venons en au fond de la question qui m’a conduit à intervenir sur ce forum.
Je n’ai pas l’habitude d’esquiver le combat. Et je ne trouvais pas acceptable que la seule version de ceux qui veulent détruire RC soit entendue.
J’ai été moi aussi humilié, au début, que Ferré n’aie pas jugé bon de m’informer du nom du successeur qu’il avait choisi. Puis je me suis rappelé que j’étais royaliste , violement hostile aux méthodes démocratiques donc favorable au führer prinzip et que si je n’étais pas content, je n’avais qu’a foutre le camp.
N’en ayant pas envie, je me suis résigné et j’ai fait l’effort de connaître mieux HdeL.
J’ai constaté que s’il n’est pas parfait (ni plus ni moins que Férré ou moi-même en tous cas) il est compétent, désintéressé et soucieux d’assurer la pérennité de la radio.
Dans le même temps, j’ai compris que les conjurés qui m’avaient proposé de me joindre au complot contre lui étaient mus pour l’essentiel par de vieilles haines intimes ou de médiocres ambitions personnelles, chacun croyant pouvoir, le moment venu, s’asseoir le trône avant ses complices.
Je n’avais donc rien de commun avec eux puisque je ne connaissais pas HdeL et que pour tout l’or du monde, je ne voudrais pas avoir la charge de diriger cette radio.
J’ai donc quitté la conjuration dès le début et je m’y suis opposé.
On a dit que Radio Courtoisie est une équipe. C’est faux.
C’est un moyen d’expression dont bénéficient des gens qui n’ont en commun que de postillonner dans le même micro.
Si Radio Courtoisie est une équipe, alors les voyageurs de la rame de métro qui vont de la Montparnasse à la gare de l’Est le soir à 18h sont aussi une équipe.
Et c’est cette absence d’idéologie et de centres d’intérêt communs qui fait justement le succès de la radio. Les cathos intégristes y trouvent leur compte, les cathos progressistes aussi si j’en crois Veneur. Les fachos, les roycos, les sarko, les Villieros, les Le Penos, les musicos, les libéraux même les homos, sans doute. Tout le monde.
Certains me reprochent de recevoir des gens bizarre mais d’autres ne croient pas qu’un prof de piano sans solfège ou qu’un créationniste soit plus bizarre et moins digne d’écoute qu’un type qui va vous torturer pendant vingt ans avec un clavier et des partitions couvertes de signes cabalistiques avant de vous laisser le bonheur de jouer “au clair de la lune” ou qu’un savanticule qui va vous emmernuyer pendant trois heures pour expliquer que la terre a cinq cent milliards d’années.
Et puis je ne suis, comme le dit le “Tout Puissant” que “la star du mercredi” . Ça laisse aux gens qui ne me supportent pas, six jours de tranquillité sans compter les innombrables mercredis ou j’ai la délicatesse de ne pas encombrer le studio.
C’est encore trop ? Ben tant pis, faudra vous y faire.
Le complot maintenant. Vous êtes vous posé une seule fois la question des motivations de ceux qui ont attaqué la radio et sa direction au micro même de cette radio ? Vous êtes vous demandé dans quelle autre radio, dans quel journal, dans quelle entreprise, dans quelle association on aurait avalé ça sans foutre dehors les mal élevés à coups de pompes dans le train ?
Vous êtes vous demandé à quelle tactique puérile au service d’une stratégie débile obéit la publication de ces interminables pastiches (pas dénués de verve au demeurant) que pas un curieux sur cent de prend la peine de lire et que pas un lecteur sur cent ne peut décoder ? (encore que je doute fort que l’un des conjurés ait éprouvé un plaisir sans mélange en se reconnaissant sous les traits du marquis de Merduccia… Il faudrait, cher auteur anonyme, mettre un peu plus d’eau de rose dans votre pastiche).
Croyez vous vraiment que des gens qui s’occupent à ça aient les moyens intellectuels, le courage, la compétence, l’entregent nécessaire pour être à la tête de Radio Courtoisie ?
Pour moi je ne le crois pas
Faites vous confiance à des gens qui viennent à grands cris provoquer Lesquen en combat à main nue devant le studio ou qui, toujours sur le trottoir du sudio, proposent à une poignée de “seniors” en écharpes azurées un simulacre de karaté interprété par une dame trop virile qui ponctue ses coups virtuels de « et Tchak pour Beketch, et Tchok pour Lesquen » ? (je n’invente rien. Ces pitreries ont bel et bien eu lieu )
Eh bien moi je préfère accorder ma confiance à quelqu’un de compétent même s’il a l’air d’avoir avalé un parapluie plutôt qu’a des sosies des Frères Stooges remontés aux anabolisants. C’est sans doute moins marrant mais c’est plus efficace.
Encore un mot Les motivations qu’Elkönig prête a ma position ne l’ honorent pas. Sans doute est-il de ces gens qui croient que l’argent peut tout acheter. C’est tant mieux pour lui si ça lui permet de se vendre sans état d’âme. Pour ma part, j’ai une plus haute idée de ce qui se fait et ne se fait pas. Je n’ai jamais touché un centime que je n’aie pas gagné par mon travail. Je n’ai pas eu besoin de Lesquen ni d’ailleurs de quiconque en dehors de mes amis et collaborateurs et de mon épouse pour faire naître et vivre le Libre Journal qui va, dans quinze jours, attaquer sa quinzième année d’existence
Et, puisque le sujet intéresse, le Libre Journal n’a pas, comme Elkönig l’affirme en toute ignorance « six ou sept cents abonnés” mais trois mille. ( je peux produire ma facture d‘imprimerie, les RG et le fisc en ont déjà connaissance.)
Enfin, le Libre journal est le seul périodique français qui n’a jamais fait payer un centime la publicité qu’il publie pour ses amis et ses abonnés. Toute autre publicité est refusée.
C’est ma conception du métier que j’exerce depuis quarante ans et je ne crois pas être en âge de changer sur ce point.
Grosses bises a tous. Sauf à Elkönig faute de moyens et, en revanche tout spécialement à Veneur pour me faire pardonner.
SdeB
Je suis traité de tous les noms sur ce forum, d’homme dangereux, de menteur, de vendu, d’irresponsable. Je viens m’expliquer à visage découvert sans me cacher comme d’autres derrière un nom d’emprunt et, pour une innocente plaisanterie sur le pseudo d’un membre du forum, je suis décrété indigne !
Voilà bien des susceptibilités !
Mais puisque c’est ainsi, je présente mes excuses à Veneur. Je suis sincèrement désolé de l’avoir blessé Je n’avais pas le droit de sous-entendre qu’il était pourri puisque je ne le connais pas.
On avouera cependant qu’avec un tel pseudo, la plaisanterie (de mauvais goût, je le concède) était tentante. Or, comme le savent ceux qui m’écoutent, je résiste à toutes sauf à la tentation d’une plaisanterie de mauvais goût.
A présent venons en au fond de la question qui m’a conduit à intervenir sur ce forum.
Je n’ai pas l’habitude d’esquiver le combat. Et je ne trouvais pas acceptable que la seule version de ceux qui veulent détruire RC soit entendue.
J’ai été moi aussi humilié, au début, que Ferré n’aie pas jugé bon de m’informer du nom du successeur qu’il avait choisi. Puis je me suis rappelé que j’étais royaliste , violement hostile aux méthodes démocratiques donc favorable au führer prinzip et que si je n’étais pas content, je n’avais qu’a foutre le camp.
N’en ayant pas envie, je me suis résigné et j’ai fait l’effort de connaître mieux HdeL.
J’ai constaté que s’il n’est pas parfait (ni plus ni moins que Férré ou moi-même en tous cas) il est compétent, désintéressé et soucieux d’assurer la pérennité de la radio.
Dans le même temps, j’ai compris que les conjurés qui m’avaient proposé de me joindre au complot contre lui étaient mus pour l’essentiel par de vieilles haines intimes ou de médiocres ambitions personnelles, chacun croyant pouvoir, le moment venu, s’asseoir le trône avant ses complices.
Je n’avais donc rien de commun avec eux puisque je ne connaissais pas HdeL et que pour tout l’or du monde, je ne voudrais pas avoir la charge de diriger cette radio.
J’ai donc quitté la conjuration dès le début et je m’y suis opposé.
On a dit que Radio Courtoisie est une équipe. C’est faux.
C’est un moyen d’expression dont bénéficient des gens qui n’ont en commun que de postillonner dans le même micro.
Si Radio Courtoisie est une équipe, alors les voyageurs de la rame de métro qui vont de la Montparnasse à la gare de l’Est le soir à 18h sont aussi une équipe.
Et c’est cette absence d’idéologie et de centres d’intérêt communs qui fait justement le succès de la radio. Les cathos intégristes y trouvent leur compte, les cathos progressistes aussi si j’en crois Veneur. Les fachos, les roycos, les sarko, les Villieros, les Le Penos, les musicos, les libéraux même les homos, sans doute. Tout le monde.
Certains me reprochent de recevoir des gens bizarre mais d’autres ne croient pas qu’un prof de piano sans solfège ou qu’un créationniste soit plus bizarre et moins digne d’écoute qu’un type qui va vous torturer pendant vingt ans avec un clavier et des partitions couvertes de signes cabalistiques avant de vous laisser le bonheur de jouer “au clair de la lune” ou qu’un savanticule qui va vous emmernuyer pendant trois heures pour expliquer que la terre a cinq cent milliards d’années.
Et puis je ne suis, comme le dit le “Tout Puissant” que “la star du mercredi” . Ça laisse aux gens qui ne me supportent pas, six jours de tranquillité sans compter les innombrables mercredis ou j’ai la délicatesse de ne pas encombrer le studio.
C’est encore trop ? Ben tant pis, faudra vous y faire.
Le complot maintenant. Vous êtes vous posé une seule fois la question des motivations de ceux qui ont attaqué la radio et sa direction au micro même de cette radio ? Vous êtes vous demandé dans quelle autre radio, dans quel journal, dans quelle entreprise, dans quelle association on aurait avalé ça sans foutre dehors les mal élevés à coups de pompes dans le train ?
Vous êtes vous demandé à quelle tactique puérile au service d’une stratégie débile obéit la publication de ces interminables pastiches (pas dénués de verve au demeurant) que pas un curieux sur cent de prend la peine de lire et que pas un lecteur sur cent ne peut décoder ? (encore que je doute fort que l’un des conjurés ait éprouvé un plaisir sans mélange en se reconnaissant sous les traits du marquis de Merduccia… Il faudrait, cher auteur anonyme, mettre un peu plus d’eau de rose dans votre pastiche).
Croyez vous vraiment que des gens qui s’occupent à ça aient les moyens intellectuels, le courage, la compétence, l’entregent nécessaire pour être à la tête de Radio Courtoisie ?
Pour moi je ne le crois pas
Faites vous confiance à des gens qui viennent à grands cris provoquer Lesquen en combat à main nue devant le studio ou qui, toujours sur le trottoir du sudio, proposent à une poignée de “seniors” en écharpes azurées un simulacre de karaté interprété par une dame trop virile qui ponctue ses coups virtuels de « et Tchak pour Beketch, et Tchok pour Lesquen » ? (je n’invente rien. Ces pitreries ont bel et bien eu lieu )
Eh bien moi je préfère accorder ma confiance à quelqu’un de compétent même s’il a l’air d’avoir avalé un parapluie plutôt qu’a des sosies des Frères Stooges remontés aux anabolisants. C’est sans doute moins marrant mais c’est plus efficace.
Encore un mot Les motivations qu’Elkönig prête a ma position ne l’ honorent pas. Sans doute est-il de ces gens qui croient que l’argent peut tout acheter. C’est tant mieux pour lui si ça lui permet de se vendre sans état d’âme. Pour ma part, j’ai une plus haute idée de ce qui se fait et ne se fait pas. Je n’ai jamais touché un centime que je n’aie pas gagné par mon travail. Je n’ai pas eu besoin de Lesquen ni d’ailleurs de quiconque en dehors de mes amis et collaborateurs et de mon épouse pour faire naître et vivre le Libre Journal qui va, dans quinze jours, attaquer sa quinzième année d’existence
Et, puisque le sujet intéresse, le Libre Journal n’a pas, comme Elkönig l’affirme en toute ignorance « six ou sept cents abonnés” mais trois mille. ( je peux produire ma facture d‘imprimerie, les RG et le fisc en ont déjà connaissance.)
Enfin, le Libre journal est le seul périodique français qui n’a jamais fait payer un centime la publicité qu’il publie pour ses amis et ses abonnés. Toute autre publicité est refusée.
C’est ma conception du métier que j’exerce depuis quarante ans et je ne crois pas être en âge de changer sur ce point.
Grosses bises a tous. Sauf à Elkönig faute de moyens et, en revanche tout spécialement à Veneur pour me faire pardonner.
SdeB
beketch- Psychologue - Ufologue
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Date d'inscription : 26/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cettte démonstration omet ce qui est pour certains un critère essentiel de jugement - et fut historiquement le facteur déclenchant de la crise : l'emploi de la force en lieu et place de la conviction.
Le Génie de Versailles semble tellement avide de s'imposer aux autres que je l'ai entendu à dix reprises tenter d'en remontrer à des gens qui en savaient a priori plus que lui dans leurs domaines de compétence respectifs - et, inévitablement, répéter des énormités dans des domaines que j'avais étudiés pendant ces quelques années qui lui manquent sur tant de sujets.
Je sais même un épisode où il avait choqué un grand savant par l'agressivité de ses propos, alors qu'en fait ils n'étaient en désaccord sur rien. Un individu capable de blesser quelqu'un avec qui il est d'accord sur tout peut-il convaincre qu'il n'est que la victime d'un "complot" ? Et peut-on lui faire confiance pour diriger, comme il a pris l'initiative de prétendre le faire, les personnalités qui, avec Jean Ferré, ont fait Radio Courtoisie ?
Quand on se prétend "libéral", on ne cherche pas à accaparer les fruits d'un travail commun ; quand on cite Hayek, on devrait penser à transformer des rivaux en partenaires au lieu de les traiter en ennemis. Quand on se dit "conservateur", on n'agit pas comme ces technocrates à la française qui croient que leur intelligence les dispense d'apprendre les métiers qu'ils prétendent exercer : cette illusion n'habite que ceux qui ne risquent rien parce qu'ils n'ont rien investi et que ce sont les autres qui paieront les pots cassés.
Quand on est honnête, on n'appelle pas "soviet" le gouvernement consensuel : un "soviet" n'en étant qu'une façade pour camoufler un pouvoir tyrannique et criminel, c'est affubler une conception politique du nom de son contraire exact. Que penser de lui s'il ne le comprend pas ? Et qu'en penser, a fortiori, s'il le comprend ?
On voit qu'il n'a guère l'habitude d'organiser ni de convaincre : n'incarne-t-il pas au contraire, par le métier qu'il a choisi d'exercer et par les méthodes qu'il y pratique, ce Pays Légal qui fait aujourd'hui au Pays Réel, c'est-à-dire à la société civile, une violence sans précédent, et le détruit à vue d'oeil ?
Alors, qu'il le fasse par calcul ou par imprégnation du milieu de prédateurs irresponsables où il vit et dont il est qu'on le reconnaisse ou non, le voit-on tellement agir autrement que par la force et par la menace, lui qui n'a rien créé ? Procédés destructeurs et qui ne surprendront qu'une fois.
On voit donc mal en quoi son gouvernement est la succession légitime de Jean Ferré : on a plutôt l'impression qu'il en prend le contre-pied en tout ; et il est utopique et absurde de prétendre qu'on le traite comme s'il était son héritier. Le droit associatif ne le permet pas, il donne le pouvoir de fait à celui qui en est le principe moteur, le véritable patron : la légitimité n'existe donc pas au départ, elle ne peut que se construire avec le temps.
A ce titre, on est quand même surpris de voir que son étude passée de la politique n'a pas donné au Génie de Versailles les idées qui lui eussent permis d'asseoir une autorité réelle, au lieu d'invoquer administrativement un "droit" et de procéder à des "révocations" - comme si les bénévoles d'une association juridiquement bancale voire inexistante étaient des fonctionnaires qui n'auraient qu'à se plier aux ordres d'un "supérieur".
Du point de vue de cette légitimité-là, la seule qui puisse être réelle, il aurait pu faire ses preuves dans le seul domaine où un énarque puisse servir, représenter la radio et la défendre vis-à-vis des nuisibles politico-bureaucratiques. En sortant de ce rôle, non seulement il n'est plus crédible, mais il exprime lui-même la nuisance contre laquelle il aurait dû la protéger.
A ce titre, il n'est qu'un exemple de plus de la trahison de leurs devoirs par les hommes de l'Etat français.
Le Génie de Versailles semble tellement avide de s'imposer aux autres que je l'ai entendu à dix reprises tenter d'en remontrer à des gens qui en savaient a priori plus que lui dans leurs domaines de compétence respectifs - et, inévitablement, répéter des énormités dans des domaines que j'avais étudiés pendant ces quelques années qui lui manquent sur tant de sujets.
Je sais même un épisode où il avait choqué un grand savant par l'agressivité de ses propos, alors qu'en fait ils n'étaient en désaccord sur rien. Un individu capable de blesser quelqu'un avec qui il est d'accord sur tout peut-il convaincre qu'il n'est que la victime d'un "complot" ? Et peut-on lui faire confiance pour diriger, comme il a pris l'initiative de prétendre le faire, les personnalités qui, avec Jean Ferré, ont fait Radio Courtoisie ?
Quand on se prétend "libéral", on ne cherche pas à accaparer les fruits d'un travail commun ; quand on cite Hayek, on devrait penser à transformer des rivaux en partenaires au lieu de les traiter en ennemis. Quand on se dit "conservateur", on n'agit pas comme ces technocrates à la française qui croient que leur intelligence les dispense d'apprendre les métiers qu'ils prétendent exercer : cette illusion n'habite que ceux qui ne risquent rien parce qu'ils n'ont rien investi et que ce sont les autres qui paieront les pots cassés.
Quand on est honnête, on n'appelle pas "soviet" le gouvernement consensuel : un "soviet" n'en étant qu'une façade pour camoufler un pouvoir tyrannique et criminel, c'est affubler une conception politique du nom de son contraire exact. Que penser de lui s'il ne le comprend pas ? Et qu'en penser, a fortiori, s'il le comprend ?
On voit qu'il n'a guère l'habitude d'organiser ni de convaincre : n'incarne-t-il pas au contraire, par le métier qu'il a choisi d'exercer et par les méthodes qu'il y pratique, ce Pays Légal qui fait aujourd'hui au Pays Réel, c'est-à-dire à la société civile, une violence sans précédent, et le détruit à vue d'oeil ?
Alors, qu'il le fasse par calcul ou par imprégnation du milieu de prédateurs irresponsables où il vit et dont il est qu'on le reconnaisse ou non, le voit-on tellement agir autrement que par la force et par la menace, lui qui n'a rien créé ? Procédés destructeurs et qui ne surprendront qu'une fois.
On voit donc mal en quoi son gouvernement est la succession légitime de Jean Ferré : on a plutôt l'impression qu'il en prend le contre-pied en tout ; et il est utopique et absurde de prétendre qu'on le traite comme s'il était son héritier. Le droit associatif ne le permet pas, il donne le pouvoir de fait à celui qui en est le principe moteur, le véritable patron : la légitimité n'existe donc pas au départ, elle ne peut que se construire avec le temps.
A ce titre, on est quand même surpris de voir que son étude passée de la politique n'a pas donné au Génie de Versailles les idées qui lui eussent permis d'asseoir une autorité réelle, au lieu d'invoquer administrativement un "droit" et de procéder à des "révocations" - comme si les bénévoles d'une association juridiquement bancale voire inexistante étaient des fonctionnaires qui n'auraient qu'à se plier aux ordres d'un "supérieur".
Du point de vue de cette légitimité-là, la seule qui puisse être réelle, il aurait pu faire ses preuves dans le seul domaine où un énarque puisse servir, représenter la radio et la défendre vis-à-vis des nuisibles politico-bureaucratiques. En sortant de ce rôle, non seulement il n'est plus crédible, mais il exprime lui-même la nuisance contre laquelle il aurait dû la protéger.
A ce titre, il n'est qu'un exemple de plus de la trahison de leurs devoirs par les hommes de l'Etat français.
Dernière édition par le Dim 28 Jan 2007 - 5:06, édité 4 fois
Rantanplan- Bavard
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Je voulais simplement préciser que le philosophe de gauche de mon message était : Michel Onfray.
Le veneur
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Je suis absolument désolé d'avoir donné aux modérateurs du travail supplémentaire. Qu'ils me pardonnent eux-aussi mais j'étais vraiment ulcéré, au moment où mes doigts s'activaient sur le clavier !
Bien à eux et félicitations, quand meme, pour leur travail difficile
Le veneur
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veneur- Régulier
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Humble fourmi cotisante parmi les anonymes de la radio, j'essaie désespérément de comprendre vos messages, Messieurs. J'ai essayé avec une équerre à la main gauche et un compas à la main droite, mais ça n'a rien donné...
Dans tout bal masqué, il y a un moment où l'on lève le masque pour dix secondes, histoire de faire repartir les commérages et les suppositions. Sinon, on s'ennuie ferme et on va voir ailleurs si l'on y est...
Finalement, c'est Serge de Beketch qui sonne le plus juste. Tout d'abord parce qu'on comprend tout! Notamment quand il écrit
Vous êtes vous demandé à quelle tactique puérile au service d’une stratégie débile obéit la publication de ces interminables pastiches (pas dénués de verve au demeurant) que pas un curieux sur cent de prend la peine de lire et que pas un lecteur sur cent ne peut décoder ?
Cent, mille, dix mille, un million de fois raison! Et d'autres choses encore... qui sonnent vrai à mon, oreille, certes vierge de toute intrigue courtoisienne.
Quant à la:
poignée de “seniors” en écharpes azurées un simulacre de karaté interprété par une dame trop virile qui ponctue ses coups virtuels de « et Tchak pour Beketch, et Tchok pour Lesquen » ?
on veut la vidéo!...
Quant aux vexations orthographiques, cela ne vole pas haut. Premièrement, tout le monde fait des fautes, y compris les agrégés de grammaire, en tapant sur un clavier. Deuxièmement, il existe la fonction "Editer" qui permet de se corriger et de se corriger encore après relecture...
Bref, même si je doute que le suppositoire de Lesquen soit dépourvu de toute ambition personnelle et, surtout, de toute volonté d'instrrumentalisation politique de la radio à des fins de "normalisation" idéologique par voie de recentrage "national-libéral" (je cite), la balle est, pour l'instant, dans le camp des anti, car Serge de Beketch a marqué, pour moi, un certain nombre de points!!
A moins que le voile ne se lève: qui est qui?
Dans tout bal masqué, il y a un moment où l'on lève le masque pour dix secondes, histoire de faire repartir les commérages et les suppositions. Sinon, on s'ennuie ferme et on va voir ailleurs si l'on y est...
Finalement, c'est Serge de Beketch qui sonne le plus juste. Tout d'abord parce qu'on comprend tout! Notamment quand il écrit
Vous êtes vous demandé à quelle tactique puérile au service d’une stratégie débile obéit la publication de ces interminables pastiches (pas dénués de verve au demeurant) que pas un curieux sur cent de prend la peine de lire et que pas un lecteur sur cent ne peut décoder ?
Cent, mille, dix mille, un million de fois raison! Et d'autres choses encore... qui sonnent vrai à mon, oreille, certes vierge de toute intrigue courtoisienne.
Quant à la:
poignée de “seniors” en écharpes azurées un simulacre de karaté interprété par une dame trop virile qui ponctue ses coups virtuels de « et Tchak pour Beketch, et Tchok pour Lesquen » ?
on veut la vidéo!...
Quant aux vexations orthographiques, cela ne vole pas haut. Premièrement, tout le monde fait des fautes, y compris les agrégés de grammaire, en tapant sur un clavier. Deuxièmement, il existe la fonction "Editer" qui permet de se corriger et de se corriger encore après relecture...
Bref, même si je doute que le suppositoire de Lesquen soit dépourvu de toute ambition personnelle et, surtout, de toute volonté d'instrrumentalisation politique de la radio à des fins de "normalisation" idéologique par voie de recentrage "national-libéral" (je cite), la balle est, pour l'instant, dans le camp des anti, car Serge de Beketch a marqué, pour moi, un certain nombre de points!!
A moins que le voile ne se lève: qui est qui?
Comte Zaroff- Habitué
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Rantanplan a écrit:Cettte démonstration omet ce qui est pour certains un critère essentiel de jugement - et fut historiquement le facteur déclenchant de la crise : l'emploi de la force en lieu et place de la conviction.
Le Génie de Versailles semble tellement avide de s'imposer aux autres que je l'ai entendu à dix reprises tenter d'en remontrer à des gens qui en savaient a priori plus que lui dans leurs domaines de compétence respectifs - et, inévitablement, répéter des énormités dans des domaines que j'avais étudiés pendant ces quelques années qui lui manquent sur tant de sujets.
Je sais même un épisode où il avait choqué un grand savant par l'agressivité de ses propos, alors qu'en fait ils n'étaient en désaccord sur rien. Un individu capable de blesser quelqu'un avec qui il est d'accord sur tout peut-il convaincre qu'il n'est que la victime d'un "complot" ? Et peut-on lui faire confiance pour diriger, comme il a pris l'initiative de prétendre le faire, les personnalités qui, avec Jean Ferré, ont fait Radio Courtoisie ?
Quand on se prétend "libéral", on ne cherche pas à accaparer les fruits d'un travail commun ; quand on cite Hayek, on devrait penser à transformer des rivaux en partenaires au lieu de les traiter en ennemis. Quand on se dit "conservateur", on n'agit pas comme ces technocrates à la française qui croient que leur intelligence les dispense d'apprendre les métiers qu'ils prétendent exercer : cette illusion n'habite que ceux qui ne risquent rien parce qu'ils n'ont rien investi et que ce sont les autres qui paieront les pots cassés.
Quand on est honnête, on n'appelle pas "soviet" le gouvernement consensuel : un "soviet" n'en étant qu'une façade pour camoufler un pouvoir tyrannique et criminel, c'est affubler une conception politique du nom de son contraire exact. Que penser de lui s'il ne le comprend pas ? Et qu'en penser, a fortiori, s'il le comprend ?
On voit qu'il n'a guère l'habitude d'organiser ni de convaincre : n'incarne-t-il pas au contraire, par le métier qu'il a choisi d'exercer et par les méthodes qu'il y pratique, ce Pays Légal qui fait aujourd'hui au Pays Réel, c'est-à-dire à la société civile, une violence sans précédent, et le détruit à vue d'oeil ?
Alors, qu'il le fasse par calcul ou par imprégnation du milieu de prédateurs irresponsables où il vit et dont il est qu'on le reconnaisse ou non, le voit-on tellement agir autrement que par la force et par la menace, lui qui n'a rien créé ? Procédés destructeurs et qui ne surprendront qu'une fois.
On voit donc mal en quoi son gouvernement est la succession légitime de Jean Ferré : on a plutôt l'impression qu'il en prend le contre-pied en tout ; et il est utopique et absurde de prétendre qu'on le traite comme s'il était son héritier. Le droit associatif ne le permet pas, il donne le pouvoir de fait à celui qui en est le principe moteur, le véritable patron : la légitimité n'existe donc pas au départ, elle ne peut que se construire avec le temps.
A ce titre, on est quand même surpris de voir que son étude passée de la politique n'a pas donné au Génie de Versailles les idées qui lui eussent permis d'asseoir une autorité réelle, au lieu d'invoquer administrativement un "droit" et de procèder à des "révocations" - comme si les bénévoles d'une association juridiquement bancale voire inexistante étaient des fonctionnaires qui n'auraient qu'à se plier aux ordres d'un "supérieur".
Du point de vue de cette légitimité-là, la seule qui puisse être réelle, il aurait pu s'imposer utile dans le seul domaine où un énarque puisse servir, représenter la radio et la défendre vis-à-vis des nuisibles politico-bureaucratiques. En sortant de ce rôle, non seulement il n'est plus crédible, mais il exprime lui-même la nuisance contre laquelle il aurait dû la protéger.
A ce titre, il n'est qu'un exemple de plus de la trahison de leurs devoirs par les hommes de l'Etat français.
Ceci me semble très convaincant. Dans le comptage des points, ça m'a tout l'air d'un strike.
Mac Carthy- Pilier du forum
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cher intervenant,Comte Zaroff a écrit:A moins que le voile ne se lève: qui est qui?
Ce n'est pas la première fois que je vous lis faire la remarque et je vais définitivement régler la question. Les inscrits du forum ont le choix de s'inscire sous peudo ou "en clair". Point. C'est comme cela sur tous les fora de la planète.
Les personnes concernées ont été invitées à être plus explicites de toute façon.
L'Admin
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cher veneur,veneur a écrit:Je suis absolument désolé d'avoir donné aux modérateurs du travail supplémentaire. Qu'ils me pardonnent eux-aussi mais j'étais vraiment ulcéré, au moment où mes doigts s'activaient sur le clavier !
Bien à eux et félicitations, quand meme, pour leur travail difficile
Le veneur
L'Equipe de nuit est ravie de votre message et cela ira droit au coeur de la persone qui officiait hier.
Même s'il est hors de questions que les admins entrent dans le débat, merci de ne pas considérer qu'ils sont favorables à l'autre camp.
Cordialement.
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
merci pour ta réception fort et clair du message de SdB.Comte Zaroff a écrit:Bref, même si je doute que le suppositoire de Lesquen soit dépourvu de toute ambition personnelle et, surtout, de toute volonté d'instrrumentalisation politique de la radio à des fins de "normalisation" idéologique par voie de recentrage "national-libéral" (je cite), la balle est, pour l'instant, dans le camp des anti, car Serge de Beketch a marqué, pour moi, un certain nombre de points!!
A moins que le voile ne se lève: qui est qui?
ça fait du bien.
Quant aux vélléités de "recentrage national-libéral", je ne ferai
que me répéter: chaque patron de RC est libre de tenir sa boutique comme il l'entend.
Henry est le gardien du dogme.
Jean-Gilles & Garello peuvent continuer, voire amplifier, leurs émissions
libérales & libre-échangistes.
Ils pourraient inviter François Guillaumat qui en rajouterait certainement quelques couches savoureuses, bravo.
OCB- Factieux hdliste
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Date d'inscription : 22/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cher Monsieur,
Nous avons été ravis de votre intervention. Je souhaite que nous ayons le plaisir de vous relire prochainement sur le Forum Libéré.
J'espère que vous aurez la charité de remarquer que vous n'avez pas été ici empêché de vous exprimer alors que sur le forum "totalement libre" dont vous parliez lors de votre dernière émission vous eussiez été "banni" pour moins d'un dixième de ce que vous avez pu dire ici en toute liberté. Nous mettons un point d'honneur à ne pas ressembler aux gens que nous critiquons et notre état d'esprit n'est pas de "remercier" nos contradicteurs.
Combien de temps vous le pardonnera-t-il, certains se posent la question.
Ma position (et je vous renvoie à l'ensemble de ce que j'ai écrit ici comme sur un ex-forum) a toujours consisté à dire que vous cherchiez à surnager dans la tempête. Pour ma part, j'ai trop de sympathie pour les anarchistes de droite pour vous critiquer.
Mais justement l’absence de publicité implique votre maintien sur RC, ce qui n’est pas un reproche. C’est le fait de tous les patrons d’émission.
Je serais comblé d'avoir votre réponse.
En souhaitant vous écouter longtemps sur RC.
Votre obligé,
Victor.
Nous avons été ravis de votre intervention. Je souhaite que nous ayons le plaisir de vous relire prochainement sur le Forum Libéré.
J'espère que vous aurez la charité de remarquer que vous n'avez pas été ici empêché de vous exprimer alors que sur le forum "totalement libre" dont vous parliez lors de votre dernière émission vous eussiez été "banni" pour moins d'un dixième de ce que vous avez pu dire ici en toute liberté. Nous mettons un point d'honneur à ne pas ressembler aux gens que nous critiquons et notre état d'esprit n'est pas de "remercier" nos contradicteurs.
Que j'eusse aimé que vous fussiez plus précis. Pour ma part, je me suis contenté de dire que vous aviez opté pour une stratégie de survie sur RC.beketch a écrit:Vous êtes tout de même assez impayables !
Je suis traité de tous les noms sur ce forum, d’homme dangereux, de menteur, de vendu, d’irresponsable.
Ce qui contraint parfois le "Président" à lire des mises en demeure du CSA en direct avec interdiction de faire des commentaires.beketch a écrit:Or, comme le savent ceux qui m’écoutent, je résiste à toutes sauf à la tentation d’une plaisanterie de mauvais goût.
Combien de temps vous le pardonnera-t-il, certains se posent la question.
Comme susdit, vous avez pu ici donner votre point de vue. J'espère à ce titre que vous réfléchissez à ma petite proposition. Nous n’avons pas peur de la saine contradiction ici, parce que nous ne craignons guère les gens d'en face.beketch a écrit:A présent venons en au fond de la question qui m’a conduit à intervenir sur ce forum.
Je n’ai pas l’habitude d’esquiver le combat. Et je ne trouvais pas acceptable que la seule version de ceux qui veulent détruire RC soit entendue.
Cela tombe sous le sens. Avec les événements récents on en était convaincu.beketch a écrit:On a dit que Radio Courtoisie est une équipe. C’est faux.
C’est un moyen d’expression dont bénéficient des gens qui n’ont en commun que de postillonner dans le même micro.
Si Radio Courtoisie est une équipe, alors les voyageurs de la rame de métro qui vont de la Montparnasse à la gare de l’Est le soir à 18h sont aussi une équipe.
Oui et c'est cet esprit de JF que nous cherchons à protéger ici. Pour l'instant nous ne voyons comme "diversité" que ce qui arrange les calculs électoraux de banlieue de votre allié de circonstance.beketch a écrit:Et c’est cette absence d’idéologie et de centres d’intérêt communs qui fait justement le succès de la radio.
Mais on adore! Je m'empresse de dire que j'eusse été tout autant scandalisé si c'est vous qui aviez fait les frais du hdlisme.beketch a écrit:Et puis je ne suis, comme le dit le “Tout Puissant” que “la star du mercredi” . Ça laisse aux gens qui ne me supportent pas, six jours de tranquillité sans compter les innombrables mercredis ou j’ai la délicatesse de ne pas encombrer le studio.
C’est encore trop ? Ben tant pis, faudra vous y faire.
J'ai un peu de mal à vous suivre, cher Monsieur. Si les exercices de style en question ("pastiche" est un terme péjoratif et moi je les trouve très réussis) ne sont lus par personne et incompréhensibles, pourquoi posent-ils problème? Feraient-ils mouche?beketch a écrit:Vous êtes vous demandé à quelle tactique puérile au service d’une stratégie débile obéit la publication de ces interminables pastiches (pas dénués de verve au demeurant) que pas un curieux sur cent de prend la peine de lire et que pas un lecteur sur cent ne peut décoder ?
Il est entendu que sans entregent le Roi-Lune de Versailles n'aurait pas pu mener son putsch de délégué de classe. Par ailleurs les hommes "compétents" de Bercy que je connais n'ont pas le temps de diriger quatre ou cinq associations, plus un parti politique municipal, plus un média même associatif. Je vous renvoie à notre argumentaire anti-HdL.beketch a écrit:Croyez vous vraiment que des gens qui s’occupent à ça aient les moyens intellectuels, le courage, la compétence, l’entregent nécessaire pour être à la tête de Radio Courtoisie ?
C'est Monsieur de Beketch qui l'a dit! Mon cher, rejoignez notre équipe! Vous savez bien que c'est ici que souffle l'esprit de la liberté et du talent! Il est écrit que nous serons tôt ou tard du même côté. Cela m'étonnerait que la petite Corée du Nord de M. Petigaulois vous intéresse vraiment...beketch a écrit:Eh bien moi je préfère accorder ma confiance à quelqu’un de compétent même s’il a l’air d’avoir avalé un parapluie plutôt qu’a des sosies des Frères Stooges remontés aux anabolisants.
Ma position (et je vous renvoie à l'ensemble de ce que j'ai écrit ici comme sur un ex-forum) a toujours consisté à dire que vous cherchiez à surnager dans la tempête. Pour ma part, j'ai trop de sympathie pour les anarchistes de droite pour vous critiquer.
Le Forum Libéré : Le Forum qui vous donne l'info qu'il vous faut! A comparer avec d'autres crémeries.beketch a écrit:Et, puisque le sujet intéresse, le Libre Journal n’a pas, comme Elkönig l’affirme en toute ignorance « six ou sept cents abonnés” mais trois mille. ( je peux produire ma facture d‘imprimerie, les RG et le fisc en ont déjà connaissance.)
Enfin, le Libre journal est le seul périodique français qui n’a jamais fait payer un centime la publicité qu’il publie pour ses amis et ses abonnés. Toute autre publicité est refusée.
Mais justement l’absence de publicité implique votre maintien sur RC, ce qui n’est pas un reproche. C’est le fait de tous les patrons d’émission.
Merci à vous d'être venu.beketch a écrit:Grosses bises a tous. Sauf à Elkönig faute de moyens et, en revanche tout spécialement à Veneur pour me faire pardonner.
SdeB
Je serais comblé d'avoir votre réponse.
En souhaitant vous écouter longtemps sur RC.
Votre obligé,
Victor.
Dernière édition par le Sam 27 Jan 2007 - 18:46, édité 1 fois
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Nous veillerons à ce que nos talentueux intervenants soient un peu moins hermétiques pour le grand public, en effet. C'est un souci que votre serviteur a depuis quelques jours.Comte Zaroff a écrit:Cent, mille, dix mille, un million de fois raison! Et d'autres choses encore... qui sonnent vrai à mon, oreille, certes vierge de toute intrigue courtoisienne.
Cher ami, je plaisante bien sûr mais seriez-vous en train de dire que le dernier qui a parlé a raison?Comte Zaroff a écrit:Bref, même si je doute que le suppositoire de Lesquen soit dépourvu de toute ambition personnelle et, surtout, de toute volonté d'instrrumentalisation politique de la radio à des fins de "normalisation" idéologique par voie de recentrage "national-libéral" (je cite), la balle est, pour l'instant, dans le camp des anti, car Serge de Beketch a marqué, pour moi, un certain nombre de points!!
Donc si Stevie s'inscrit sur ce forum, en admettant qu'il sache lire et écrire et qu'il se déclare hdliste depuis qu'il est tout petit, vous adhérez?
Donnez-nous les points en question. Je rappèlerai les faits : AG fantômatique et lettres signées de Président sain ni de corps ni d'esprit...Des questions?
Le hdlisme n' a pas commencé en novembre 2006. C'est une action préméditée depuis 2003 où beaucoup d'intérêt convergent.
Bien à vous.
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
''
Le dernier qui a parlé a raison? Bien sûr que non! Mais quand Stevie dit quelque chose, ça me donne toujours à penser!...
Revenons à nos moutons. Admettez que je ne peux guère former mon jugement que d'après ce que je lis ça et là, et sur ce que j'en comprends!... Pas toujours simple. Bien entendu, je ne remets nullement en cause le droit absolu de chacun d'avancer ou non à découvert sur le forum, mais le débat devient tellement crypté qu'on se croirait dans une parodie des Guignols de l'Info par les Inconnus pour une chaîne cablée lettonne sous-titrée en serbo-croate!
Je m'explique.
N'étant ni un forcené de la démocratie, ni une grenouille de bénitier du libéralisme, l'autoritarisme de Lesquen ne me gêne pas en soi. Admettons que Reichman et Pichon n'aient pas joué très franc jeu. Lesquen aurait alors beau jeu de se présenter en sauveur de la continuité et de recourir à des méthodes autoritaires. Et Serge de B. serait fondé de se rallier au parti de la légitimité. Jusqu'ici, l'argumentaire de Serge de B. tient la route.
Autoritarisme légitime, donc. Eh bien non, car il ne suffit pas d'avoir raison pour être légitime. Il faut encore le prouver aux hommes libres qui doivent reconnaître votre légitimité. Autoritarisme oui, mais impérativement éclairé. Sinon, c'est un autoritarisme sans autorité, voué à finir dans les poubelles de l'histoire. Et c'est là que Lesquen se trompe. S'il veut être légitime contre des patrons de LJ aussi anciens et fondateurs que Reichman et Pichon, il ne peut QUE s'appuyer sur les adhérents et les auditeurs. Méthode plébiscitaire. Appel au peuple contre les intrigues courtisanes. Or cela mérite un minimum d'explications. Et il n'en prend pas le chemin, en refusant toute explication à la radio. Parce qu'il sait qu'il a tort? Parce qu'il pense que son argent suffira à faire taire les voix dissidentes et à étouffer la discussion?
C'est là, je trouve, la limite du raisonnement de Serge de B., que je salue très chaleureusement au passage, en humble fan de son esprit et de son verbe que je suis.
Autant vous dire que le suppositoire de Lesquen m'est tout sauf sympathique.
Le dernier qui a parlé a raison? Bien sûr que non! Mais quand Stevie dit quelque chose, ça me donne toujours à penser!...
Revenons à nos moutons. Admettez que je ne peux guère former mon jugement que d'après ce que je lis ça et là, et sur ce que j'en comprends!... Pas toujours simple. Bien entendu, je ne remets nullement en cause le droit absolu de chacun d'avancer ou non à découvert sur le forum, mais le débat devient tellement crypté qu'on se croirait dans une parodie des Guignols de l'Info par les Inconnus pour une chaîne cablée lettonne sous-titrée en serbo-croate!
Je m'explique.
N'étant ni un forcené de la démocratie, ni une grenouille de bénitier du libéralisme, l'autoritarisme de Lesquen ne me gêne pas en soi. Admettons que Reichman et Pichon n'aient pas joué très franc jeu. Lesquen aurait alors beau jeu de se présenter en sauveur de la continuité et de recourir à des méthodes autoritaires. Et Serge de B. serait fondé de se rallier au parti de la légitimité. Jusqu'ici, l'argumentaire de Serge de B. tient la route.
Autoritarisme légitime, donc. Eh bien non, car il ne suffit pas d'avoir raison pour être légitime. Il faut encore le prouver aux hommes libres qui doivent reconnaître votre légitimité. Autoritarisme oui, mais impérativement éclairé. Sinon, c'est un autoritarisme sans autorité, voué à finir dans les poubelles de l'histoire. Et c'est là que Lesquen se trompe. S'il veut être légitime contre des patrons de LJ aussi anciens et fondateurs que Reichman et Pichon, il ne peut QUE s'appuyer sur les adhérents et les auditeurs. Méthode plébiscitaire. Appel au peuple contre les intrigues courtisanes. Or cela mérite un minimum d'explications. Et il n'en prend pas le chemin, en refusant toute explication à la radio. Parce qu'il sait qu'il a tort? Parce qu'il pense que son argent suffira à faire taire les voix dissidentes et à étouffer la discussion?
C'est là, je trouve, la limite du raisonnement de Serge de B., que je salue très chaleureusement au passage, en humble fan de son esprit et de son verbe que je suis.
Autant vous dire que le suppositoire de Lesquen m'est tout sauf sympathique.
Comte Zaroff- Habitué
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Le début était fort bon, et la fin me laisse sur ma faim.Comte Zaroff a écrit:''
Le dernier qui a parlé a raison? Bien sûr que non! Mais quand Stevie dit quelque chose, ça me donne toujours à penser!...
Revenons à nos moutons. Admettez que je ne peux guère former mon jugement que d'après ce que je lis ça et là, et sur ce que j'en comprends!... Pas toujours simple. Bien entendu, je ne remets nullement en cause le droit absolu de chacun d'avancer ou non à découvert sur le forum, mais le débat devient tellement crypté qu'on se croirait dans une parodie des Guignols de l'Info par les Inconnus pour une chaîne cablée lettonne sous-titrée en serbo-croate!
Je m'explique.
N'étant ni un forcené de la démocratie, ni une grenouille de bénitier du libéralisme, l'autoritarisme de Lesquen ne me gêne pas en soi. Admettons que Reichman et Pichon n'aient pas joué très franc jeu. Lesquen aurait alors beau jeu de se présenter en sauveur de la continuité et de recourir à des méthodes autoritaires. Et Serge de B. serait fondé de se rallier au parti de la légitimité. Jusqu'ici, l'argumentaire de Serge de B. tient la route.
Autoritarisme légitime, donc. Eh bien non, car il ne suffit pas d'avoir raison pour être légitime. Il faut encore le prouver aux hommes libres qui doivent reconnaître votre légitimité. Autoritarisme oui, mais impérativement éclairé. Sinon, c'est un autoritarisme sans autorité, voué à finir dans les poubelles de l'histoire. Et c'est là que Lesquen se trompe. S'il veut être légitime contre des patrons de LJ aussi anciens et fondateurs que Reichman et Pichon, il ne peut QUE s'appuyer sur les adhérents et les auditeurs. Méthode plébiscitaire. Appel au peuple contre les intrigues courtisanes. Or cela mérite un minimum d'explications. Et il n'en prend pas le chemin, en refusant toute explication à la radio. Parce qu'il sait qu'il a tort? Parce qu'il pense que son argent suffira à faire taire les voix dissidentes et à étouffer la discussion?
C'est là, je trouve, la limite du raisonnement de Serge de B., que je salue très chaleureusement au passage, en humble fan de son esprit et de son verbe que je suis.
Autant vous dire que le suppositoire de Lesquen m'est tout sauf sympathique.
Que faire, alors ?
Un vote démocratique à bulletin secret qui nous donnerait naturellement
Henry majoritaire, donc légitime ?
N'ajoutons pas la farce à la crise nerveuse.
OCB- Factieux hdliste
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Que faire? Wait and see.
Deux scénarios sont envisageables.
1. Lesquen s'en tient à la gestion. Les LJ continuent librement. La purge s'arrête à Reichman et Pichon. Lesquen est progressivement accepté par tous. Sa raideur lui est pardonnée au vu de ses nombreuses qualités, moins apparentes au premier coup d'oeil. La courbe des cotisations reste stable, puis augmente. Quelques gros contributeurs s'y mettent, alléchés par la respectabilité du nouveau patron de la radio dans les cercles de la nomenklatura. Quelques nouveaux font leur apparition, pour le meilleur et pour le pire.
2. Lesquen gère, dirige, préside, soliloque. La présidence lui monte à la tête. Il met son grain de sel partout. La purge se poursuit. La ligne politique se précise: UMPF toutes, mâtinée d'un peu de FN pour faire "toutes les droites". Les conflits se multiplient. Le peuple grogne. Les cotisations baissent. Les forums explosent en invectives. Couacs en série à l'antenne. Brigitte Level lance une pétition sur le net. La presse du régime se délecte. Jusqu'ici discret, un homme s'avance alors, un homme bon, cultivé, de bon aloi et de caractère souple, un homme souriant, d'expérience et de bon sens. Voici enfin l'unité. Tout le monde rentre au bercail. Même Jean-Christophe Mounicq. Lesquen se met en retrait.
Pour l'instant, je pencherais plutôt pour le scénario 1.
Deux scénarios sont envisageables.
1. Lesquen s'en tient à la gestion. Les LJ continuent librement. La purge s'arrête à Reichman et Pichon. Lesquen est progressivement accepté par tous. Sa raideur lui est pardonnée au vu de ses nombreuses qualités, moins apparentes au premier coup d'oeil. La courbe des cotisations reste stable, puis augmente. Quelques gros contributeurs s'y mettent, alléchés par la respectabilité du nouveau patron de la radio dans les cercles de la nomenklatura. Quelques nouveaux font leur apparition, pour le meilleur et pour le pire.
2. Lesquen gère, dirige, préside, soliloque. La présidence lui monte à la tête. Il met son grain de sel partout. La purge se poursuit. La ligne politique se précise: UMPF toutes, mâtinée d'un peu de FN pour faire "toutes les droites". Les conflits se multiplient. Le peuple grogne. Les cotisations baissent. Les forums explosent en invectives. Couacs en série à l'antenne. Brigitte Level lance une pétition sur le net. La presse du régime se délecte. Jusqu'ici discret, un homme s'avance alors, un homme bon, cultivé, de bon aloi et de caractère souple, un homme souriant, d'expérience et de bon sens. Voici enfin l'unité. Tout le monde rentre au bercail. Même Jean-Christophe Mounicq. Lesquen se met en retrait.
Pour l'instant, je pencherais plutôt pour le scénario 1.
Comte Zaroff- Habitué
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Date d'inscription : 17/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Le 1 est sur les rails.Comte Zaroff a écrit:Que faire? Wait and see.
Deux scénarios sont envisageables.
1. Lesquen s'en tient à la gestion. Les LJ continuent librement. La purge s'arrête à Reichman et Pichon. Lesquen est progressivement accepté par tous. Sa raideur lui est pardonnée au vu de ses nombreuses qualités, moins apparentes au premier coup d'oeil. La courbe des cotisations reste stable, puis augmente. Quelques gros contributeurs s'y mettent, alléchés par la respectabilité du nouveau patron de la radio dans les cercles de la nomenklatura. Quelques nouveaux font leur apparition, pour le meilleur et pour le pire.
Pour l'instant, je pencherais plutôt pour le scénario 1.
(Victor s'est proposé pour le charbon, mais nous sommes à l'électricité, et demain à l'atomik).
Et si l'armée des 3000 cotisants volontaires de Denikine nous la font
dans la cotisation supplétive, nous sommes sauvés.
Dernière édition par le Sam 27 Jan 2007 - 20:07, édité 1 fois
OCB- Factieux hdliste
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Comte Zaroff a écrit:
Pour l'instant, je pencherais plutôt pour le scénario 1.
Ce serait presque dommage, le coup de la pétition sur internet ça m'a mis l'eau à la bouche !
Mac Carthy- Pilier du forum
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Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Comte Zaroff a écrit:''
Autoritarisme légitime, donc. Eh bien non, car il ne suffit pas d'avoir raison pour être légitime. Il faut encore le prouver aux hommes libres qui doivent reconnaître votre légitimité. Autoritarisme oui, mais impérativement éclairé. Sinon, c'est un autoritarisme sans autorité, voué à finir dans les poubelles de l'histoire. Et c'est là que Lesquen se trompe.
Sauf que votre doute est sans objet car chaque patron d'émission est entièrement libre, avec ou sans Henry.
L'autoritarisme supposé (et réel) est donc sans objet pour ce qui est du fond de RC.
En revanche, une autorité inflexible quant à la gestion, les sous, les comptes, le développement, les rapports avec le monde extérieur,
c'est plutôt bien vu, et Henry est the right man.
OCB- Factieux hdliste
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Date d'inscription : 22/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cher Monsieur de Beketch,
Vous me voyez fort triste de me voir ostracisé de votre bisou collectif (vous avez le bisou communautaire, voire communiste ! Qui l’eût cru ?).
D’autant que vous me soupçonnez (ô injustice) d’avoir le mauvais esprit de vouloir stipendier un tel bonheur, et une volupté si rare, dont je fort marri d’être, par vos soins, privé…
Allons, allons, ne me faites pas plus mauvais, et plus intéressé que je suis.!
Je n’ai rien du grand méchant loup capitaliste que vous stigmatisez.
C’est même tout le contraire…
Embrassons-nous, Folleville !
Quoique les bisous pimentés de poil de barbe et de moustache ne soient guère dans mes mœurs, ni mes habitudes…
Mais s’il faut passer outre cette prévention, au prix du rare privilège d’un témoignage de votre affection, je consentirai volontiers à y souscrire…
« Souscription » qui n’a rien d’un appel à cotisations, ou à contributions monétaires…
Je n’avais je vous l’affirme, aucune intention malveillante en parlant de « l’appel de la soupe » que constitue votre dévouement hebdomadaire à Radio Courtoisie.
Nous ne savons que trop les aléas et difficultés auxquels sont exposés, de nos jours, les meilleurs organes de presse écrite, - et, mon Dieu ! rien ne saurait être écarté des moyens mis à disposition, ou employés à les faire vivre et survivre !
Le terme, je l’avoue, était peut-être un peu vif… Mais, je suis parfois comme vous, et je ne renonce pas à résumer l’évidence d’un terme aussi frappant que frappé au coin du bon sens. Je n’apprendrai pas à un délicat et fin prosateur de votre talent qu’il faut faire parfois mouche, en outrepassant, parfois, pour cela, l’élémentaire bienséance. A ce titre d’ailleurs (si j’ose écrire), l’épithète « courtoise », qui figure dans la dénomination de votre journal, est autant une déclaration « d’identité radiophonique », qu’une plaisante antiphrase, où se révèle votre génie de l’humour, et votre sens de la litote…
Au reste, je regrettais, si vous m’avez bien lu, que cet impératif économique ne fît du loup que vous êtes (qu’importe que vous préfériez vous comparer au sanglier), un chien domestique, contraint de se limer les crocs, quand on vous connut et qu’on vous apprécia plus mordant, - n’ayant nulle crainte de laisser la marque de vos mâchoires dans la chair des mollets les plus respectables, ou les mieux chaussés du bas de soie des fausses distinctions…
Bref, mon impatience, et le ton quelque peu polémique de mes remarques n’exprimaient que ma perplexité, et ma vraie compassion chrétienne, qui faisait que, jugeant de votre position actuelle et du dilemme où elle vous place, je vous plaignais grandement d’être obligé de vous livrer à l’exercice (si éloigné de votre tempérament naturel) du panégyrique stalinien, ou Nord coréen, à la louange d’un chef, dont vous convenez vous-même que son air « d’avoir avalé un parapluie » le met à mille lieues des idoles habituelles à qui va votre admiration, voire votre dévotion.
Quoi de moins propre, en effet, à exercer votre respect, que le charisme « de suppositoire » d’un percepteur de Bercy devenu Conducator ?
On vous préféra, jadis et naguère, Monsieur de Beketch, enclin à appliquer votre révérence au « Führerprinzip » envers des personnalités historiquement plus charismatiques, politiquement plus marquantes, - fût-ce par leurs transcendants ridicules, toujours assez baroques pour demeurer, au moins, divertissants…
Je vous plaignais, vous sentant malheureux, au fond, de cette situation, qui bride vos élans, vous mettant à l’étroit (oserais-je dire « sous surveillance » ?) sous un nouveau pouvoir dont le tout-puissant grand Œil, circonscrit en son triangle de nuées, se mêle, tel jadis celui de Moscou, de ne pas vous perdre de vue, et d’immiscer son pouvoir de contrôle jusque dans la liberté chérie dont vous jouissiez jusqu’ici, de faire œuvre de votre verve, pensant (non sans quelque insolente candeur) n'avoir de comptes à en rendre à quiconque qu’à vous-même.
Le « national-anarchiste » que vous êtes au fond doit bien souffrir de ce « régime », où vous vous retrouvez, en votre "libre journal" du Mercredi, mis dans la fâcheuse, désagréable position de n’importe quel grand auteur russe sous les Soviets, comblé de gloire et de privilèges, - mais dont les préséances, l’appartement moscovite, le siège à l’Union des Ecrivains, la villa en Crimée, pour être joujoux dorés, n’en étaient pas moins cage, fil à la patte, et résidences surveillées...
Je pense à vous, comme Baudelaire à Andromaque, - et « à ce grand cygne avec des gestes fous », contraint de se contenter d’une cage de ménagerie, et du ruisseau à sec du pavé parisien… pardon, d’un grand canal de Versailles tristement asséché et aride.
Ou pour être plus clair, je vous imagine mal persister longtemps, sans en souffrir, à vous contenir et vous contraindre ainsi, dans un souci de prudence lié à un intérêt personnel (que je ne juge pas, comme vous pensez répréhensible), mais dont j’admire qu’il soit votre souci principal, et que vous semblez prêt à faire passer, lucidement, avec un grand pragmatisme, avant l’expression naturelle de votre talent et de votre tempérament habituels de « fouteur de pieds dans le plat », et de polémiste souvent sainement enragé de juste et sainte colère…
Pour en terminer (puisque vous avez la bonté de nous tenir au fait du rayonnement éditorial de votre organe de liaison, en nous révélant le nombre actuel de souscripteurs) je suis moi-même ravi pour vos prospérités personnelles que le nombre de vos abonnés ait doublé en deux ans, et que mes sources (pourtant bien reliées et étayées) soient désormais obsolètes.
Je vois l’urgente nécessité de mettre à jour mes infos.
Mais je vous remercie d’y contribuer ici, ce qui m’évitera d’avoir à faire le travail, - car je n’ai aucune raison de mette en doute la parole du principal et seul bénéficiaire de ce providentiel afflux de clientèle.
Ce succès qui vous honore prouve, d’ailleurs, combien efficace est la tribune radiophonique que vous tenez (hélas ! de plus en plus sporadiquement) le Mercredi soir.
Il prouve aussi que le dévouement de l’homme-sandwich Gofman n’est pas vain, et que les meilleures et plus anciennes méthodes de réclame sont comme la terre vue par E. Berl et exprimée par un défunt Maréchal de France, : « Elles ne mentent pas ! ».
Je reste sincèrement admiratif de cette renommée et de cette audience ma foi méritées, - et vous charge, en particulier, de mes meilleures et admiratives salutations à P. Gofman, qui, arpentant tous les parvis, trottoirs, places publiques et péristyles de Paris dans la bise et les frimas, (« dans le froid et l’avanie » comme dirait l’autre), afin de divulguer la bonne parole à la criée, nous démontre les vertus publicitaires ignorées de l’Ecole péripatéticienne.
En voilà de l’esprit de résistance, et du dévouement physique à la bonne cause!
Remarquons aussi, - et ce n’est pas votre moindre qualité – que, des patrons d’émissions de R.C., dont on attendrait que leur grande majorité silencieuse s’exprimât, vous êtes à ce jour le seul a avoir consenti à donner votre point de vue, à vous exposer à la contradiction, et à intervenir dans nos débats à visage découvert.
En bref, nos sommes très heureux de vous compter parmi les intervenants du Forum Libéré, - dont vous connaissez désormais le chemin -, et nous nous tenons, avec plaisir, prêts à poursuivre avec vous ces fructueux et éclairants échanges.
D’autant (mais ce trait n'a pas dû échapper à votre sagacité) qu’ici la parole et l’information sont libres : à condition d’être talentueuses, et – cela va de soi – documentées, et argumentées.
Cordiales et courtoises Salutations !
Erlkönig.
Vous me voyez fort triste de me voir ostracisé de votre bisou collectif (vous avez le bisou communautaire, voire communiste ! Qui l’eût cru ?).
D’autant que vous me soupçonnez (ô injustice) d’avoir le mauvais esprit de vouloir stipendier un tel bonheur, et une volupté si rare, dont je fort marri d’être, par vos soins, privé…
Allons, allons, ne me faites pas plus mauvais, et plus intéressé que je suis.!
Je n’ai rien du grand méchant loup capitaliste que vous stigmatisez.
C’est même tout le contraire…
Embrassons-nous, Folleville !
Quoique les bisous pimentés de poil de barbe et de moustache ne soient guère dans mes mœurs, ni mes habitudes…
Mais s’il faut passer outre cette prévention, au prix du rare privilège d’un témoignage de votre affection, je consentirai volontiers à y souscrire…
« Souscription » qui n’a rien d’un appel à cotisations, ou à contributions monétaires…
Je n’avais je vous l’affirme, aucune intention malveillante en parlant de « l’appel de la soupe » que constitue votre dévouement hebdomadaire à Radio Courtoisie.
Nous ne savons que trop les aléas et difficultés auxquels sont exposés, de nos jours, les meilleurs organes de presse écrite, - et, mon Dieu ! rien ne saurait être écarté des moyens mis à disposition, ou employés à les faire vivre et survivre !
Le terme, je l’avoue, était peut-être un peu vif… Mais, je suis parfois comme vous, et je ne renonce pas à résumer l’évidence d’un terme aussi frappant que frappé au coin du bon sens. Je n’apprendrai pas à un délicat et fin prosateur de votre talent qu’il faut faire parfois mouche, en outrepassant, parfois, pour cela, l’élémentaire bienséance. A ce titre d’ailleurs (si j’ose écrire), l’épithète « courtoise », qui figure dans la dénomination de votre journal, est autant une déclaration « d’identité radiophonique », qu’une plaisante antiphrase, où se révèle votre génie de l’humour, et votre sens de la litote…
Au reste, je regrettais, si vous m’avez bien lu, que cet impératif économique ne fît du loup que vous êtes (qu’importe que vous préfériez vous comparer au sanglier), un chien domestique, contraint de se limer les crocs, quand on vous connut et qu’on vous apprécia plus mordant, - n’ayant nulle crainte de laisser la marque de vos mâchoires dans la chair des mollets les plus respectables, ou les mieux chaussés du bas de soie des fausses distinctions…
Bref, mon impatience, et le ton quelque peu polémique de mes remarques n’exprimaient que ma perplexité, et ma vraie compassion chrétienne, qui faisait que, jugeant de votre position actuelle et du dilemme où elle vous place, je vous plaignais grandement d’être obligé de vous livrer à l’exercice (si éloigné de votre tempérament naturel) du panégyrique stalinien, ou Nord coréen, à la louange d’un chef, dont vous convenez vous-même que son air « d’avoir avalé un parapluie » le met à mille lieues des idoles habituelles à qui va votre admiration, voire votre dévotion.
Quoi de moins propre, en effet, à exercer votre respect, que le charisme « de suppositoire » d’un percepteur de Bercy devenu Conducator ?
On vous préféra, jadis et naguère, Monsieur de Beketch, enclin à appliquer votre révérence au « Führerprinzip » envers des personnalités historiquement plus charismatiques, politiquement plus marquantes, - fût-ce par leurs transcendants ridicules, toujours assez baroques pour demeurer, au moins, divertissants…
Je vous plaignais, vous sentant malheureux, au fond, de cette situation, qui bride vos élans, vous mettant à l’étroit (oserais-je dire « sous surveillance » ?) sous un nouveau pouvoir dont le tout-puissant grand Œil, circonscrit en son triangle de nuées, se mêle, tel jadis celui de Moscou, de ne pas vous perdre de vue, et d’immiscer son pouvoir de contrôle jusque dans la liberté chérie dont vous jouissiez jusqu’ici, de faire œuvre de votre verve, pensant (non sans quelque insolente candeur) n'avoir de comptes à en rendre à quiconque qu’à vous-même.
Le « national-anarchiste » que vous êtes au fond doit bien souffrir de ce « régime », où vous vous retrouvez, en votre "libre journal" du Mercredi, mis dans la fâcheuse, désagréable position de n’importe quel grand auteur russe sous les Soviets, comblé de gloire et de privilèges, - mais dont les préséances, l’appartement moscovite, le siège à l’Union des Ecrivains, la villa en Crimée, pour être joujoux dorés, n’en étaient pas moins cage, fil à la patte, et résidences surveillées...
Je pense à vous, comme Baudelaire à Andromaque, - et « à ce grand cygne avec des gestes fous », contraint de se contenter d’une cage de ménagerie, et du ruisseau à sec du pavé parisien… pardon, d’un grand canal de Versailles tristement asséché et aride.
Ou pour être plus clair, je vous imagine mal persister longtemps, sans en souffrir, à vous contenir et vous contraindre ainsi, dans un souci de prudence lié à un intérêt personnel (que je ne juge pas, comme vous pensez répréhensible), mais dont j’admire qu’il soit votre souci principal, et que vous semblez prêt à faire passer, lucidement, avec un grand pragmatisme, avant l’expression naturelle de votre talent et de votre tempérament habituels de « fouteur de pieds dans le plat », et de polémiste souvent sainement enragé de juste et sainte colère…
Pour en terminer (puisque vous avez la bonté de nous tenir au fait du rayonnement éditorial de votre organe de liaison, en nous révélant le nombre actuel de souscripteurs) je suis moi-même ravi pour vos prospérités personnelles que le nombre de vos abonnés ait doublé en deux ans, et que mes sources (pourtant bien reliées et étayées) soient désormais obsolètes.
Je vois l’urgente nécessité de mettre à jour mes infos.
Mais je vous remercie d’y contribuer ici, ce qui m’évitera d’avoir à faire le travail, - car je n’ai aucune raison de mette en doute la parole du principal et seul bénéficiaire de ce providentiel afflux de clientèle.
Ce succès qui vous honore prouve, d’ailleurs, combien efficace est la tribune radiophonique que vous tenez (hélas ! de plus en plus sporadiquement) le Mercredi soir.
Il prouve aussi que le dévouement de l’homme-sandwich Gofman n’est pas vain, et que les meilleures et plus anciennes méthodes de réclame sont comme la terre vue par E. Berl et exprimée par un défunt Maréchal de France, : « Elles ne mentent pas ! ».
Je reste sincèrement admiratif de cette renommée et de cette audience ma foi méritées, - et vous charge, en particulier, de mes meilleures et admiratives salutations à P. Gofman, qui, arpentant tous les parvis, trottoirs, places publiques et péristyles de Paris dans la bise et les frimas, (« dans le froid et l’avanie » comme dirait l’autre), afin de divulguer la bonne parole à la criée, nous démontre les vertus publicitaires ignorées de l’Ecole péripatéticienne.
En voilà de l’esprit de résistance, et du dévouement physique à la bonne cause!
Remarquons aussi, - et ce n’est pas votre moindre qualité – que, des patrons d’émissions de R.C., dont on attendrait que leur grande majorité silencieuse s’exprimât, vous êtes à ce jour le seul a avoir consenti à donner votre point de vue, à vous exposer à la contradiction, et à intervenir dans nos débats à visage découvert.
En bref, nos sommes très heureux de vous compter parmi les intervenants du Forum Libéré, - dont vous connaissez désormais le chemin -, et nous nous tenons, avec plaisir, prêts à poursuivre avec vous ces fructueux et éclairants échanges.
D’autant (mais ce trait n'a pas dû échapper à votre sagacité) qu’ici la parole et l’information sont libres : à condition d’être talentueuses, et – cela va de soi – documentées, et argumentées.
Cordiales et courtoises Salutations !
Erlkönig.
Dernière édition par le Sam 27 Jan 2007 - 23:26, édité 1 fois
Erlkönig- Habitué
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Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Que de réponses à donner !
Je vais, on me pardonnera, faire court autant que possible.
Victor,
Non je ne pratique aucune politique de survie. Je me borne comme je l’ai toujours fait à dire ce que je pense. Et je répète que ma décision de préférer HdeL aux frères Stooges relève uniquement du souci que j’ai de la survie de RC.
Quand il m’arrive de passer la ligne jaune, seul le CSA peut me sanctionner et si mon éviction est mise en balance avec la suppression de RC. Je partirai.
Bien sûr, je constate que le forum me laisse une totale liberté de parole et je l’en remercie ;, J’ajoute que les relations seraient beaucoup plus faciles si les intervenants faisaient l’économie de propos inutilement blessants comme “le génie de Versailles” et autres qui n’apportent rien au débat et qui, si elles sont justifiées entre ennemis politiques devaient être écartées entre gens qui, au total, sont du même bord avec toutes les nuances possibles.
Vous écrivez : « J'ai un peu de mal à vous suivre. Si les exercices de style en question ("pastiche" est un terme péjoratif et moi je les trouve très réussis) ne sont lus par personne et incompréhensibles, pourquoi posent-ils problème? Feraient-ils mouche? »
Vous vous méprenez. Ce que je veux simplement dire, c’est que ce genre d’enfantillage montre que ses auteurs n’ont pas le sens des priorités et que, par conséquent, ils n’ont pas les qualités nécessaires pour diriger Radio Courtoisie.
Lesquen, lui, ne perd pas son temps en brocards baroques.
Au demeurant, pastiche n’a rien de péjoratif. (“imitation du style et de la manière de différents maîtres” dit Littré. Et les exercices de style de Reboux et Müller sont bel et bien des pastiches. )
Zaroft ,
vous parlez d’“AG fantômatique et lettres signées de Président sain ni de corps ni d'esprit”
Je constate que personne en vingt ans, n’a reproché à Jeanb Ferré de n’avoir réuni aucune AG mais que deux jours après son entrée en fonction, on criait à la trahison parce que HdeL n’avait pas encore comblé cette lacune. Depuis, je pense que ceux qui réclamaient une AG en ont eu leur content, Non ?
Quant à Monsieur Langlois, s’il est physiquement malade, il est parfaitement sain d’esprit contrairement à c que vous insinuez. Les membres du CA peuvent en témoigner. J’ajoute que ces derniers parfaitement bénévoles, inconnus et désintéressés n’ont strictement aucun intérêt à soutenir telle coterie ou telle autre.
Erlkönig,
vous êtes entêté dans l’erreur méchante.
Vous me prétiez six à sept cents abonnés. Je corrige et je vous dis trois mille. Vous “acceptez de croire que le nombre de {mes} abonnés a doublé en deux ans ” et vous ajoutez que vos “sources sont pourtant bien reliées et étayées.” Et bien vous devriez vous méfier de vos sources. Elles sont polluées.
Je ne serais pas étonné de découvrir que le fournisseur de ces reliures et de ces étais est doté par la nature de l’alopécie paradoxalement barbichue et donjuanesque de ce bon Landru, autre menteur fieffé.
Mais parlons chiffres puisque, décidément, ça vous travaille.
D’abord, vous conviendrez que trois mille n’est pas le double de six cents ou sept cents.
Ensuite, si nous sommes d’accord sur ce point élémentaire, je vous propose de me suivre dans un calcul simple.
L’abonnement coûte 110 euros. (c’est écrit dessus)
Le CA du Libre Journal serait donc, selon vos sources de 700X110 soit 77000 euros l’an.
Ou si vous préférez moins de 6500 euros par mois.
Le coût de l’exemplaire livré (saisie des textes, mise en page, papier, impression, routage frais postaux) est de 2 euros.
Je publie trois numéros par mois.
Soit, toujours selon vos sources 700X3=2100.
2100 exemplaire à 2 euros font 4200 euros par mois.
6500 euros- 4200 euros , restent = 2300 euros.
A présent dites moi un secret si vos sources qui n’ignorent rien de ce monde et de la vie vous y autorisent : comment feriez vous avec 2300 euros par mois pour payer cent M2 de bureaux Place Franz Liszt, l’eau, le gaz, l’électricité, les fournitures, cinq abonnements téléphoniques, deux abonnements à Noos, un salaire, modeste certes, mais indispensable à la survie de la bête, plus les notes de frais afférentes a l’exercice de la profession de journaliste (déplacements, repas etc.)
Si vous savez faire, comme on dit outre-Quievrain, je suis tout ouie.
Erlkönig, vous êtes peut-être le roi des aulnes mais certainement pas le prince des comptables et je comprends mieux que vous fassiez confiance à Landru et au Schtroumpf plutôt qu’à Lesquen ; ET si l’on vous dit que je comble le déficit en vendant mes charmes, allez sur Google pour voir ma tête, ça vous ramènera à la réalité.
Mac Carthy
quelque sympathie que j’aie pour votre prometteur pseudonyme, je dois vous dire que je ne partage pas votre décompte de points de bowling
Le strike de Rantanplan n’est même pas un spare.
D’abord, je l’ai dit, une démonstration sérieuse comme celle que revendique Rantanplan suppose que l’on fasse l’économie d’expressions comme “Le Génie de Versailles” qui n’apporte rien au débat.
Pour le reste, l’argumentation me paraît hors sujet.
S’agissant de diriger RC, nous avons besoin d’un homme qui ait le temps, les moyens intellectuels, la compétence de gestionnaire et l’entregent.
Pour le reste, qu’il “semble tellement avide de s'imposer aux autres” qu’il “ tente d'en remontrer à des gens qui en savaient a priori plus que lui dans leurs domaines de compétence respectifs” qu’il “ ait choqué un grand savant par l'agressivité de ses propos” n’a strictement rien à voir avec ce qui nous intéresse.
Je suppose qu’il ne sait pas faire le triple saut périlleux et, figurez vous, je m’en tamponne le coquillard avec une patte d’alligator femelle..
En revanche, qu’il soit un “faux libéral" me plairait plutôt si c’était vrai….Hélas, le Club de l’Horloge n’est pas une annexe d’Arolsen.
Qu’il appelle "soviet" le bric à brac d’incompétences, d’ambitions, de vanités et d’appétits que vous appelez vous sans rire “gouvernement consensuel” me paraît tout à fait adéquat si l’on s’en réfère aux méthodes utilisées par les postulants au pouvoir.
Enfin, il ne “ prétend” pas “ qu'on le traite comme s'il était l’héritier de Jean Ferré.”
Il agit comme tel. Vite et efficacement.
Je comprends bien que cela ne plaise pas à ceux qui se sont campés sur la voie en espérant que la locomotive allait s’arrêter mais ils auraient dû réfléchir plus tôt.
Le fauteuil de président du CA de RC n’est pas, contrairement au trône de toutes les russies, “occupatif”. Il ne suffit pas de pousser celui qui y est assis et de prendre sa place pour avoir le droit de régner. Il y faut une légitimité.
Et quoiqu’en disent les uns et les autres, une chose est absolument sure : s’agissant de légitimité, celle de HdeL vaut jusqu’à plus ample informé, largement celle de ses soi-disant rivaux.
Quant aux prétendus "révocations", le rejet par le tribunal des référés de la requête de l’un des conjurés démontre assez qu’elles relèvent du fantasme.
Je répète que les tranches horaires sont de la seule responsabilité du CA qui est attributaire des fréquences et peut comme tel disposer de ses horaires à la convenance de ses membres réunis en assemblée.
Voilà, J’ai essayé d’être complet, véridique et le plus bref possible.
Cela dit, je comprendrais que mes apparition à l’écran commencent à en fatiguer quelques uns et je leur en demande pardon.
Je ne distribue plus de grosses bises car le roi des Aulnes en tirerait des conclusions que je préfère éviter.
Salut, donc, et Fraternité !
S de B.
Je vais, on me pardonnera, faire court autant que possible.
Victor,
Non je ne pratique aucune politique de survie. Je me borne comme je l’ai toujours fait à dire ce que je pense. Et je répète que ma décision de préférer HdeL aux frères Stooges relève uniquement du souci que j’ai de la survie de RC.
Quand il m’arrive de passer la ligne jaune, seul le CSA peut me sanctionner et si mon éviction est mise en balance avec la suppression de RC. Je partirai.
Bien sûr, je constate que le forum me laisse une totale liberté de parole et je l’en remercie ;, J’ajoute que les relations seraient beaucoup plus faciles si les intervenants faisaient l’économie de propos inutilement blessants comme “le génie de Versailles” et autres qui n’apportent rien au débat et qui, si elles sont justifiées entre ennemis politiques devaient être écartées entre gens qui, au total, sont du même bord avec toutes les nuances possibles.
Vous écrivez : « J'ai un peu de mal à vous suivre. Si les exercices de style en question ("pastiche" est un terme péjoratif et moi je les trouve très réussis) ne sont lus par personne et incompréhensibles, pourquoi posent-ils problème? Feraient-ils mouche? »
Vous vous méprenez. Ce que je veux simplement dire, c’est que ce genre d’enfantillage montre que ses auteurs n’ont pas le sens des priorités et que, par conséquent, ils n’ont pas les qualités nécessaires pour diriger Radio Courtoisie.
Lesquen, lui, ne perd pas son temps en brocards baroques.
Au demeurant, pastiche n’a rien de péjoratif. (“imitation du style et de la manière de différents maîtres” dit Littré. Et les exercices de style de Reboux et Müller sont bel et bien des pastiches. )
Zaroft ,
vous parlez d’“AG fantômatique et lettres signées de Président sain ni de corps ni d'esprit”
Je constate que personne en vingt ans, n’a reproché à Jeanb Ferré de n’avoir réuni aucune AG mais que deux jours après son entrée en fonction, on criait à la trahison parce que HdeL n’avait pas encore comblé cette lacune. Depuis, je pense que ceux qui réclamaient une AG en ont eu leur content, Non ?
Quant à Monsieur Langlois, s’il est physiquement malade, il est parfaitement sain d’esprit contrairement à c que vous insinuez. Les membres du CA peuvent en témoigner. J’ajoute que ces derniers parfaitement bénévoles, inconnus et désintéressés n’ont strictement aucun intérêt à soutenir telle coterie ou telle autre.
Erlkönig,
vous êtes entêté dans l’erreur méchante.
Vous me prétiez six à sept cents abonnés. Je corrige et je vous dis trois mille. Vous “acceptez de croire que le nombre de {mes} abonnés a doublé en deux ans ” et vous ajoutez que vos “sources sont pourtant bien reliées et étayées.” Et bien vous devriez vous méfier de vos sources. Elles sont polluées.
Je ne serais pas étonné de découvrir que le fournisseur de ces reliures et de ces étais est doté par la nature de l’alopécie paradoxalement barbichue et donjuanesque de ce bon Landru, autre menteur fieffé.
Mais parlons chiffres puisque, décidément, ça vous travaille.
D’abord, vous conviendrez que trois mille n’est pas le double de six cents ou sept cents.
Ensuite, si nous sommes d’accord sur ce point élémentaire, je vous propose de me suivre dans un calcul simple.
L’abonnement coûte 110 euros. (c’est écrit dessus)
Le CA du Libre Journal serait donc, selon vos sources de 700X110 soit 77000 euros l’an.
Ou si vous préférez moins de 6500 euros par mois.
Le coût de l’exemplaire livré (saisie des textes, mise en page, papier, impression, routage frais postaux) est de 2 euros.
Je publie trois numéros par mois.
Soit, toujours selon vos sources 700X3=2100.
2100 exemplaire à 2 euros font 4200 euros par mois.
6500 euros- 4200 euros , restent = 2300 euros.
A présent dites moi un secret si vos sources qui n’ignorent rien de ce monde et de la vie vous y autorisent : comment feriez vous avec 2300 euros par mois pour payer cent M2 de bureaux Place Franz Liszt, l’eau, le gaz, l’électricité, les fournitures, cinq abonnements téléphoniques, deux abonnements à Noos, un salaire, modeste certes, mais indispensable à la survie de la bête, plus les notes de frais afférentes a l’exercice de la profession de journaliste (déplacements, repas etc.)
Si vous savez faire, comme on dit outre-Quievrain, je suis tout ouie.
Erlkönig, vous êtes peut-être le roi des aulnes mais certainement pas le prince des comptables et je comprends mieux que vous fassiez confiance à Landru et au Schtroumpf plutôt qu’à Lesquen ; ET si l’on vous dit que je comble le déficit en vendant mes charmes, allez sur Google pour voir ma tête, ça vous ramènera à la réalité.
Mac Carthy
quelque sympathie que j’aie pour votre prometteur pseudonyme, je dois vous dire que je ne partage pas votre décompte de points de bowling
Le strike de Rantanplan n’est même pas un spare.
D’abord, je l’ai dit, une démonstration sérieuse comme celle que revendique Rantanplan suppose que l’on fasse l’économie d’expressions comme “Le Génie de Versailles” qui n’apporte rien au débat.
Pour le reste, l’argumentation me paraît hors sujet.
S’agissant de diriger RC, nous avons besoin d’un homme qui ait le temps, les moyens intellectuels, la compétence de gestionnaire et l’entregent.
Pour le reste, qu’il “semble tellement avide de s'imposer aux autres” qu’il “ tente d'en remontrer à des gens qui en savaient a priori plus que lui dans leurs domaines de compétence respectifs” qu’il “ ait choqué un grand savant par l'agressivité de ses propos” n’a strictement rien à voir avec ce qui nous intéresse.
Je suppose qu’il ne sait pas faire le triple saut périlleux et, figurez vous, je m’en tamponne le coquillard avec une patte d’alligator femelle..
En revanche, qu’il soit un “faux libéral" me plairait plutôt si c’était vrai….Hélas, le Club de l’Horloge n’est pas une annexe d’Arolsen.
Qu’il appelle "soviet" le bric à brac d’incompétences, d’ambitions, de vanités et d’appétits que vous appelez vous sans rire “gouvernement consensuel” me paraît tout à fait adéquat si l’on s’en réfère aux méthodes utilisées par les postulants au pouvoir.
Enfin, il ne “ prétend” pas “ qu'on le traite comme s'il était l’héritier de Jean Ferré.”
Il agit comme tel. Vite et efficacement.
Je comprends bien que cela ne plaise pas à ceux qui se sont campés sur la voie en espérant que la locomotive allait s’arrêter mais ils auraient dû réfléchir plus tôt.
Le fauteuil de président du CA de RC n’est pas, contrairement au trône de toutes les russies, “occupatif”. Il ne suffit pas de pousser celui qui y est assis et de prendre sa place pour avoir le droit de régner. Il y faut une légitimité.
Et quoiqu’en disent les uns et les autres, une chose est absolument sure : s’agissant de légitimité, celle de HdeL vaut jusqu’à plus ample informé, largement celle de ses soi-disant rivaux.
Quant aux prétendus "révocations", le rejet par le tribunal des référés de la requête de l’un des conjurés démontre assez qu’elles relèvent du fantasme.
Je répète que les tranches horaires sont de la seule responsabilité du CA qui est attributaire des fréquences et peut comme tel disposer de ses horaires à la convenance de ses membres réunis en assemblée.
Voilà, J’ai essayé d’être complet, véridique et le plus bref possible.
Cela dit, je comprendrais que mes apparition à l’écran commencent à en fatiguer quelques uns et je leur en demande pardon.
Je ne distribue plus de grosses bises car le roi des Aulnes en tirerait des conclusions que je préfère éviter.
Salut, donc, et Fraternité !
S de B.
beketch- Psychologue - Ufologue
- Nombre de messages : 31
Réputation : 0
Date d'inscription : 26/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Cher Monsieur de Beketch.
Rassurez-vous, je ne tire aucune conclusion oblique de vos distributions de bisous... Mais il est des accolades qui font penser au vers de Racine dans "Britannicus" :
"J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer".
De plus, je ne m'acharnerai pas "méchamment", - ce n'est pas mes habitudes -, à contester vos assertions. Ce serait jouer les marchands de tapis, que de débattre plus avant sur ce point précis des "tirages" du "LJ de la France Courtoise".
Concluons, en disant que votre journal a du moins ceci pour lui : c'est qu'en tant qu'organe de presse, il fit sans doute plus (et continuera à faire sans doute plus) pour contribuer au rayonnement médiatique et à l'audience de R.C. que "l'organe de développement" inventé, dans une fumeuse distraction de technnocrate saisi par la débauche, par la cervelle énarchique de votre nouveau chef légitimement autoproclamé...
Pour vous informer à mon tour, en passant, avant de clore ce sujet, en vous laissant à vos 3000 abonnés : non, ce n'est pas d'O. Pichon (je suppose que le "Landru" chauve et barbu que vous décrivez ne peut être, en votre esprit, que celui-ci) que je tenais les "renseignements" dont je faisais état, et dont votre brillante démonstration comptable me contraint, je l'admets, à réviser la véracité.
Vous dites les amateurs d'AG et autres procédures certes fastidieuses (mais hélas!) légalement obligatoires dans le cadre du fonctionnement des Associations type 1901, avoir (si je vous suis bien) eu, depuis trois mois, leur "content"...
Il semble, à ce jour, qu'on nous ait seulement parlé de "réunions" (dont la dernière en date du 23/01).
Est-il loisible de vous demander ce que sont ces A.G., pour le moment, à nos yeux, fantômes, qui auraient eu lieu "depuis la disparition de J.Ferré"? En supposant, évidemment, si les règles requises ont été appliqués, que vous y fûtes convoqué dans les formes, et y ayez participé.
A moins qu'à vos yeux, la discussion sur un coin de table, entre quelques patrons (dont vous n'étiez pas du nombre, au reste) et leur "Président", assis autour d'une nappe vineuse de fin de repas, qui a prolongé le déjeuner du 12/11 ne vous semble digne d'être ainsi pompeusement nommée : "assemblée générale"?
J'ai la faiblesse de vous croire plus exigeant sur la précision des termes, et la véracité du sens des mots, quant à l'objet qu'ils désignent...
Enfin, pour finir en vous "rassurant" à nouveau : nous ne trouverons jamais trop fournies, fréquentes, et informatives vos interventions sur ce Forum, pourvu qu'elles contribuent à y éclairer la légitime perplexité des auditeurs, ailleurs qu'ici privés de tout débat libre, et de toute clé d'interprétation des événements.
Votre point de vue nous est, au reste, d'autant plus précieux, que directement issu d'une personne au plus haut point concernée par la situation actuelle de Radio Courtoisie.
Sachant que vous n'avez pas l'habitude de "mâcher" vos propos, nous ne saurons trop attendre de votre proverbiale franchise.
Rassurez-vous, je ne tire aucune conclusion oblique de vos distributions de bisous... Mais il est des accolades qui font penser au vers de Racine dans "Britannicus" :
"J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer".
De plus, je ne m'acharnerai pas "méchamment", - ce n'est pas mes habitudes -, à contester vos assertions. Ce serait jouer les marchands de tapis, que de débattre plus avant sur ce point précis des "tirages" du "LJ de la France Courtoise".
Concluons, en disant que votre journal a du moins ceci pour lui : c'est qu'en tant qu'organe de presse, il fit sans doute plus (et continuera à faire sans doute plus) pour contribuer au rayonnement médiatique et à l'audience de R.C. que "l'organe de développement" inventé, dans une fumeuse distraction de technnocrate saisi par la débauche, par la cervelle énarchique de votre nouveau chef légitimement autoproclamé...
Pour vous informer à mon tour, en passant, avant de clore ce sujet, en vous laissant à vos 3000 abonnés : non, ce n'est pas d'O. Pichon (je suppose que le "Landru" chauve et barbu que vous décrivez ne peut être, en votre esprit, que celui-ci) que je tenais les "renseignements" dont je faisais état, et dont votre brillante démonstration comptable me contraint, je l'admets, à réviser la véracité.
Vous dites les amateurs d'AG et autres procédures certes fastidieuses (mais hélas!) légalement obligatoires dans le cadre du fonctionnement des Associations type 1901, avoir (si je vous suis bien) eu, depuis trois mois, leur "content"...
Il semble, à ce jour, qu'on nous ait seulement parlé de "réunions" (dont la dernière en date du 23/01).
Est-il loisible de vous demander ce que sont ces A.G., pour le moment, à nos yeux, fantômes, qui auraient eu lieu "depuis la disparition de J.Ferré"? En supposant, évidemment, si les règles requises ont été appliqués, que vous y fûtes convoqué dans les formes, et y ayez participé.
A moins qu'à vos yeux, la discussion sur un coin de table, entre quelques patrons (dont vous n'étiez pas du nombre, au reste) et leur "Président", assis autour d'une nappe vineuse de fin de repas, qui a prolongé le déjeuner du 12/11 ne vous semble digne d'être ainsi pompeusement nommée : "assemblée générale"?
J'ai la faiblesse de vous croire plus exigeant sur la précision des termes, et la véracité du sens des mots, quant à l'objet qu'ils désignent...
Enfin, pour finir en vous "rassurant" à nouveau : nous ne trouverons jamais trop fournies, fréquentes, et informatives vos interventions sur ce Forum, pourvu qu'elles contribuent à y éclairer la légitime perplexité des auditeurs, ailleurs qu'ici privés de tout débat libre, et de toute clé d'interprétation des événements.
Votre point de vue nous est, au reste, d'autant plus précieux, que directement issu d'une personne au plus haut point concernée par la situation actuelle de Radio Courtoisie.
Sachant que vous n'avez pas l'habitude de "mâcher" vos propos, nous ne saurons trop attendre de votre proverbiale franchise.
Erlkönig- Habitué
- Nombre de messages : 117
Réputation : 0
Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
L’incompétence d’Henri de Lesquen, sauf très vraisemblablement pour les aspects administratifs, est flagrante (écoute de la radio, fête de la langue française). A mon avis, elle n’est pas soluble dans (ou par) le dévouement des patrons d’émission en exercice. Je dis cela sans m’arrêter ni à son ton ni à son attitude générale, comme le font, superficiellement, certains intervenants sur les forums.
Il est inutile de s’étendre sur les échos de querelles qui échappent vraisemblablement en grande partie aux auditeurs, et sur les péripéties autour.
Quelle que soit la position de Serge de Béketch, sa sincérité et son ironie sont appréciés, mais son caractère entier ferait que je ne m’en remettrais pas à son avis, si je n’avais pas d’éléments pour avoir le mien.
Il est inutile de s’étendre sur les échos de querelles qui échappent vraisemblablement en grande partie aux auditeurs, et sur les péripéties autour.
Quelle que soit la position de Serge de Béketch, sa sincérité et son ironie sont appréciés, mais son caractère entier ferait que je ne m’en remettrais pas à son avis, si je n’avais pas d’éléments pour avoir le mien.
auditeur-haut-diseur- Intervenant
- Nombre de messages : 75
Réputation : 0
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Monsieur Serge de Beketch a tout faux ...
Oui, ce ne serait pas la première fois qu'il interprèterait faussement et le rapport des forces et l'interprétation morale à donner aux événements. Parler de Führerprinzip fait partie de ces contresens, puisque l'expression désigne un pouvoir né de l'emploi criminel de la force alors que c'est l'autorité naturelle, assise sur l'ancienneté et l'expérience, qui est seule légitime.
Je l'ai vu se tromper assez souvent sur les sujets que je connaissais pour que l'idée ne me vienne plus de le croire sur parole sur ceux que je ne connais pas. On rigole si c'est drôle, et on n'en tire pas trop de conséquences.
Pourquoi faire semblant de ne pas comprendre ? Le fait que le Génie de Versailles a fait preuve à plusieurs reprises d'incompétence prétentieuse (ce pourquoi il mérite cette dénomination, qui correspond d'ailleurs à l'idée qu'il se fait de lui-même) et d'agressivité gratuite, le fait que cette relation aux autres traduit la mentalité propre au métier qu'il exerce, dans une dépendance criminelle du socialisme en place, le fait que sa démarche dément à bien des égards les principes qu'il proclame, tout cela permet de juger sa prétention à jouer les entrepreneurs et les patrons dans un métier où il vient de débarquer. C'est une chose de ne pas savoir faire le triple saut périlleux, c'en est une autre de s'instituer professeur de voltige alors qu'on n'y connaît rien. Peut-être, en bon fonctionnaire, s'attend-il à recevoir l'argent de l'Etat pour couvrir ses destructions ?
Il a déjà traité en ennemis ses premiers critiques, alors qu'ils n'avaient formé aucun plan contre lui et donc aucun complot (merci de l'avoir confirmé) : on peut parier que d'autres en feront les frais, s'il est vrai que le scorpion ne peut pas s'empêcher de piquer.
La seule "légitimité" du Génie de Versailles tient à ce que, soi-disant, J. F. l'aurait choisi comme successeur. Mais c'est une présomption à laquelle la déclaration publique de Jean-Luc de Carbuccia a porté un coup sévère, et pour qui partage l'analyse que celle-ci contient, convaincant. Gloser sur la manière dont d'admirables auteurs ont brodé sur la chose, discuter de leur capacité à gérer (comme si ce n'était pas hors sujet, et au cas où ce ne le serait pas, si le but du Génie n'était pas justement de leur donner ce loisir d'écrire), c'est seulement détourner l'attention de cette lettre, de ce qu'elle contient et de ce qu'elle implique pour qui croit que le Génie s'est Génialement débarrassé de ses adversaires.
Ramenons donc le débat sur l'essentiel :
On peut donc sérieusement douter que ce fût l'intention de J. F. de donner un pouvoir de décision à M. l'Administrateur Civil en le laissant entrer au Conseil ; et soupçonner au contraire que celui-ci détourne le Conseil de son rôle, subvertit l'organisation de la Radio telle qu'il l'avait voulue et trahit sa confiance en invoquant ses apparences légales pour se déclarer le patron.
Seulement, comme le Conseil était réellement inexistant, le relâchement même de ses procédures peut laisser la place pour le combattre sur le terrain du droit.
Je l'ai vu se tromper assez souvent sur les sujets que je connaissais pour que l'idée ne me vienne plus de le croire sur parole sur ceux que je ne connais pas. On rigole si c'est drôle, et on n'en tire pas trop de conséquences.
Pourquoi faire semblant de ne pas comprendre ? Le fait que le Génie de Versailles a fait preuve à plusieurs reprises d'incompétence prétentieuse (ce pourquoi il mérite cette dénomination, qui correspond d'ailleurs à l'idée qu'il se fait de lui-même) et d'agressivité gratuite, le fait que cette relation aux autres traduit la mentalité propre au métier qu'il exerce, dans une dépendance criminelle du socialisme en place, le fait que sa démarche dément à bien des égards les principes qu'il proclame, tout cela permet de juger sa prétention à jouer les entrepreneurs et les patrons dans un métier où il vient de débarquer. C'est une chose de ne pas savoir faire le triple saut périlleux, c'en est une autre de s'instituer professeur de voltige alors qu'on n'y connaît rien. Peut-être, en bon fonctionnaire, s'attend-il à recevoir l'argent de l'Etat pour couvrir ses destructions ?
Il a déjà traité en ennemis ses premiers critiques, alors qu'ils n'avaient formé aucun plan contre lui et donc aucun complot (merci de l'avoir confirmé) : on peut parier que d'autres en feront les frais, s'il est vrai que le scorpion ne peut pas s'empêcher de piquer.
La seule "légitimité" du Génie de Versailles tient à ce que, soi-disant, J. F. l'aurait choisi comme successeur. Mais c'est une présomption à laquelle la déclaration publique de Jean-Luc de Carbuccia a porté un coup sévère, et pour qui partage l'analyse que celle-ci contient, convaincant. Gloser sur la manière dont d'admirables auteurs ont brodé sur la chose, discuter de leur capacité à gérer (comme si ce n'était pas hors sujet, et au cas où ce ne le serait pas, si le but du Génie n'était pas justement de leur donner ce loisir d'écrire), c'est seulement détourner l'attention de cette lettre, de ce qu'elle contient et de ce qu'elle implique pour qui croit que le Génie s'est Génialement débarrassé de ses adversaires.
Ramenons donc le débat sur l'essentiel :
Enfin, on parle de "légalité" : n'est-ce pas en effet de la légalité que se réclame M. l'Administrateur Civil ? - parce qu'on se demande bien quel autre argument lui reste, et celui-ci, on sait ce qu'il vaut : le Conseil d'Administration n'était qu'une façade pour permettre à J. F. de faire ce qu'il voulait, ce que tout le monde acceptait parce que sans lui, il n'y aurait rien eu. Il n'en faisait pas partie et ses membres n'avaient jamais exercé aucun pouvoir : gâteux ou pas, ils en sont toujours incapables.Avenir de Radio Courtoisie
Jean Ferré, à qui me liait une amitié de plus d'un demi-siècle, m'avait proposé d'associer Lumière 101, "radio historique" chrétienne fondée en 1981, à la demande d'autorisation de Radio-Courtoisie.
Nous partagions le même esprit d'indépendance à l'égard des "idées reçues" et le même attachement à la courtoisie, particulièrement chère à Lumière101, fidèle à la tradition chrétienne, courtoise par excellence.
C'est le même esprit qui anime les nombreux auditeurs, seuls financiers de cette radio, qui permettent à tous les patrons d'émission, si différents soient-ils, et à leurs invités de s'exprimer dans une entière liberté.
Le 27 juillet dernier Jean Ferré me recommanda de veiller à la survie de la radio et me confia par écrit la charge de rassembler et de publier ses souvenirs. Il quittait ce monde peu après.
Le 26 octobre dernier, je déposai donc le titre de "Radio Courtoisie" à l'INPI au nom de Roger Ferré, plus proche et fidèle parent de Jean Ferré.
Jeudi dernier, 18 janvier, le notaire de Jean Ferré me confirmait également que j'avais été désigné comme son exécuteur testamentaire.
Jean Ferré était "Président du Comité éditorial". À lui tout seul il était le Comité éditorial. Le président du Comité éditorial inspirait la gestion et l'administration de la radio qui lui étaient naturellement subordonnées.
Ce fonctionnement, sous la maîtrise d'un fondateur entièrement dévoué à son oeuvre et indépendant de tout parti politique, a assuré le succès et le développement de cette radio pendant 18 ans. Personne n'avait à y redire, la liberté de chacun et le cahier des charges étant respectés.
Le Conseil éditorial est par vocation et pratique la tête de la radio. Il doit comprendre tous les patrons d'émission. C'est à lui de désigner et de contrôler l'instance chargée de la gestion de Radio Courtoisie, et certainement pas l'inverse.
Tout individu qui s'y opposerait et s'autoproclamerait patron de Radio Courtoisie entraînerait cette radio libre dans une dérive sectaire et fatale.
C'est pourquoi j'ai adhéré et accepté de présider à l'Amicale des Responsables d'Émission de Radio Courtoisie et Lumière 101 (Arcole), fidèle gardienne de l'oeuvre de Jean Ferré et garante d'une liberté qui fait honneur à la Bande FM.
Paris, le 22 janvier 2007
Jean-Luc de Carbuccia
Président d'Arcole
Arcole, Sodem, 39 rue du Cherche-Midi, 75006 Paris
ass.arcole@free.fr
On peut donc sérieusement douter que ce fût l'intention de J. F. de donner un pouvoir de décision à M. l'Administrateur Civil en le laissant entrer au Conseil ; et soupçonner au contraire que celui-ci détourne le Conseil de son rôle, subvertit l'organisation de la Radio telle qu'il l'avait voulue et trahit sa confiance en invoquant ses apparences légales pour se déclarer le patron.
Seulement, comme le Conseil était réellement inexistant, le relâchement même de ses procédures peut laisser la place pour le combattre sur le terrain du droit.
Dernière édition par le Mar 30 Jan 2007 - 8:54, édité 7 fois
Rantanplan- Bavard
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